Semua Bab Patron Irrésistible : Prisonnière de Ton Charme: Bab 261 - Bab 270

Point de vue d'HenryJe me sentais affreusement mal. J'arrivais à peine à me concentrer sur mon travail. Mon père était en train de me rendre la vie impossible. Il exigeait toujours plus d'argent et ce voyage en Amérique. J'avais cru qu'une fois sa pension mensuelle reçue, il partirait. Mais non. Cette fois, il semblait déterminé à nous détruire complètement, ma sœur et moi.Ma mère était passée d'un voyage à un autre. Elle m'avait assuré qu'elle ne remettrait pas les pieds en ville tant que « le démon ne serait pas expulsé ». Le pire, c'est qu'elle avait raison. Depuis son arrivée, ma vie était devenue un véritable enfer.Pour ne rien arranger, j'avais reçu un message d'Hébé. Elle me demandait pourquoi Isa racontait partout qu'on avait été ensemble. Je n'avais aucune idée d'où ma sœur avait tiré ça. Il fallait que je l'appelle pour comprendre ce qui se passait.« Salut, Hébé ! » ai-je dit d'une voix lasse quand elle a décroché.« Tu as intérêt à avoir une bonne explication, Hen

Point de vue d'HenryJ'ai aidé ma sœur à monter dans sa voiture. J'étais inquiet pour elle après le spectacle d'horreur que notre père venait de nous offrir. Hébé était fragile – malgré tout, elle aimait cet homme et avait du mal à se détacher de ce vaurien. Je savais que la journée avait été particulièrement éprouvante pour elle.J'ai sorti mon téléphone et j'ai appelé Édouard tout en me dirigeant vers ma voiture dans le parking. Je lui ai expliqué tout ce qui s'était passé, et il m'a dit qu'il rentrerait immédiatement pour s'occuper d'elle. Cela m'a un peu rassuré. J'ai promis de passer plus tard. Je suis monté dans ma voiture et j'ai pris la direction du Cercle Social avec un terrible pressentiment.En arrivant au Cercle Social, plus par habitude qu'autre chose, je me suis garé à mon emplacement habituel, celui près du mur au fond du parking. Je suis entré dans le club en me sentant fatigué – épuisé, pour être honnête. Peut-être qu'après avoir parlé au directeur et réglé cette af

Point de vue d'HenryJ'avais au moins réussi à la faire m'écouter. Je savais qu'elle ne me pardonnerait pas comme ça, en une seule conversation ； mais j'aurais au moins l'occasion de tout clarifier avant de la reconquérir.Pour l'instant, j'avais besoin d'une douche froide pour calmer mon corps qui la réclamait désespérément. Je ne pouvais pas commettre d'erreur avec elle à nouveau, sous peine de la perdre définitivement. Il me fallait donc contrôler ce désir fou que j'avais de la toucher.Quand je me suis allongé nu à ses côtés, elle semblait déjà endormie. Je suis resté là à contempler son visage paisible, ses boucles éparpillées sur l'oreiller, et les courbes de son magnifique corps dessinées sous le drap fin qui la couvrait. Sa peau d'ébène brillait merveilleusement sous les rayons de lune qui traversaient la fenêtre aux rideaux ouverts. J'avais préféré les laisser ainsi pour avoir un peu de lumière sur elle, me permettant de l'observer.Je me suis endormi en rêvant de cette fe

Point de vue d'HenryJ'étais planté devant la porte de l'appartement de Sandrine, hypnotisé par la plus belle femme du monde qui se tenait devant moi, vêtue seulement d'un débardeur blanc moulant et d'un string assorti. Impossible de ne pas la désirer.« Henry, je viens de me réveiller avec l'appel de Melissa, puis le tien... j'ai complètement oublié que je n'étais pas habillée. Mais bon, tu as déjà tout vu, non ? Entre et installe-toi pendant que je me prépare », m'a-t-elle dit, légèrement gênée.Quand Sandrine m'a tourné le dos pour s'éloigner, je n'ai pas pu me contenir. Je suis entré, j'ai fermé la porte et je l'ai attirée dans mes bras, pressant nos bouches ensemble dans un baiser ardent, humide et passionné. Lorsque nous nous sommes séparés pour reprendre notre souffle, je lui ai souri.« Bonjour, ma déesse ! Tu es magnifique ! »Je l'ai relâchée, et elle a descendu le couloir d'un pas quelque peu chancelant, me laissant derrière avec un large sourire. Je l'avais embrassée,

J'ai quitté la maison d'Alexandre et me suis rendu chez Hébé, mais je n'arrivais pas à chasser de mon esprit l'image de Sandrine avec Michel. La jalousie me rendait complètement fou. À mon arrivée, ma sœur m'a accueilli dans ses bras, et j'ai pu lire sur son visage toute la souffrance que Raimbaut lui avait causée. Cette fois, elle avait enfin ouvert les yeux, même si, hélas, cette prise de conscience ait été si douloureuse pour elle.Nous avons commencé à discuter, et je lui ai tout raconté : mes découvertes au Cercle Social concernant le harcèlement, les plaintes potentielles contre Raimbaut ; ce qu'il avait fait à Sandrine, ce que j'avais fait à Sandrine, et comment il s'était mis à la traquer.À la fin de notre conversation, j'étais allongé sur le canapé, la tête sur les genoux de ma sœur, pleurant comme un enfant et regrettant d'être cet idiot impulsif, qui agit avant de réfléchir. Ma sœur m'a conseillé de me battre pour Sandrine et d'implorer son pardon sans perdre un instant.