Semua Bab Patron Irrésistible : Prisonnière de Ton Charme: Bab 511 - Bab 520

Point de vue de FlavianJe suis arrivé au bureau des filles aussi vite que possible. Ma petite chérie était surprise de me voir là si tôt.« Détective, il reste encore plus d'une heure avant mon service. » Elle s'est levée et m'a serré dans ses bras, mais elle s'est rapidement écartée.« Je connais ce parfum, Flavian. Ce n'est pas le tien. » Ma petite chérie m'a regardé, visiblement contrariée.« Oui, tu le connais, c’est pour ça que je suis là si tôt. » J'étais déjà inquiet avant, mais maintenant, en voyant le visage de Manu, j'ai commencé à paniquer. « J'étais avec Sabrina. Mais s'il te plaît, écoute-moi. »« Bien sûr que je vais t'écouter. Mais je veux savoir exactement pourquoi son parfum est partout sur toi. » Ma petite chérie a dit cela en s'asseyant dans sa chaise, les yeux fixés sur moi.« Eh bien... » J'étais sur le point de commencer mes explications quand Patrick est sorti de son bureau, l'air distrait. « Tu ne salues plus tes amis, Patrick ? »« Oh, salut, Flavian. D

Point de vue d'EmmanuelleEn entrant dans la chambre, j'ai vu Flavian assis dans le fauteuil, plongé dans sa lecture. Il portait un pantalon léger et un tricot. Il a levé les yeux et m'a vue passer devant lui sans un mot pour me diriger vers la salle de bains. J'ai fermé la porte pour qu'il ne me suive pas. J'avais un plan.Après ma douche, j'ai enfilé une lingerie rose en dentelle transparente. J'ai saisi une écharpe dans le placard et suis retournée dans la chambre. J'ai posé l'écharpe sur la table de nuit, consciente de son regard sur moi, puis me suis tournée vers lui. Il avait mis son livre de côté et m'observait. Quand je me suis retournée, il m'a adressé un demi-sourire. Je me suis approchée et me suis penchée pour être à sa hauteur.« Maintenant, explique-moi, détective. Tu es entré dans la chambre de cette vache, et elle n'était qu'en soutien-gorge et culotte ? »Il a soupiré, son sourire s'estompant tandis qu'il acquiesçait.« Et que s'est-il passé ensuite ? »« Manu...

Point de vue de PascalJ'avais beau essayer de comprendre où les choses avaient mal tourné entre Virginie et moi. Ces derniers temps, je ne faisais que tenter de réparer ce qui s'était brisé entre nous. Et c'était exactement le problème : je ne savais même pas quel était le problème. La seule chose que je savais, c'est qu'elle était constamment irritée et impatiente. Tout semblait la déranger et la stresser.J'étais tellement submergé par cela que je fonctionnais en pilote automatique. Je n'avais même pas pris la peine d'apprendre à connaître ma nouvelle assistante. Vaguement, j'avais l'impression qu'elle me rappelait quelqu'un, mais c'était peut-être juste mon imagination puisque je n'arrivais pas à me souvenir de qui. Cependant, elle paraissait assez efficace. En deux jours de présence, c'était comme si elle n'était même pas là. Je la voyais à peine, mais le travail était fait. Je trouvais toujours tout bien organisé sur mon bureau.Peut-être devrais-je l'inviter à déjeuner pour m

Point de vue de BrenoCette enquête officieuse que Flavian m'avait demandé de mener m'excitait énormément. Toute cette histoire me semblait étrange, pourtant tout avait été traité comme naturel et considéré comme une simple coïncidence.C'était un samedi matin quand je suis arrivé très tôt dans cette petite ville. J'ai fait un tour en voiture pour mieux observer les lieux. C'était une petite agglomération urbaine, entourée d'une vaste campagne. Il aurait été très difficile pour un médecin de faire des visites à domicile dans de nombreux endroits. Mais la ferme où la femme enceinte était morte en couches ne se trouvait qu'à vingt minutes de la ville, avec une bonne route qui y menait.Je suis retourné au centre-ville, j'ai flâné autour de la place, j'ai déjeuné dans un petit restaurant sympathique. J'ai bavardé avec quelques résidents âgés en leur disant que j'envisageais de m'installer dans la région. Personne n'a rien dit d'utile. On aurait dit un endroit où il ne se passait jamais

Point de vue d'EmmanuelleJ'ai observé le père de Flavian par-dessus la tasse que je portais à mes lèvres. J'ai reposé la tasse et me suis tournée directement vers lui.« Monsieur Moreno, j'ai quitté la maison pour aller à l'université. Comme je vous l'ai dit, mon père m'a toujours soutenue. Mais ma mère, comme votre épouse, aurait préféré que je reste à la maison et que je me marie. Ce n'était pas dans mes projets », ai-je répondu avec un sourire poli. Il se montrait courtois avec moi, alors je n'avais aucune raison de ne pas l'être en retour.« Ah, oui. Vous aviez un objectif précis. Et vous travaillez aussi avec Alexandre Miller, je comprends que vous êtes sa secrétaire. Avez-vous obtenu ce poste grâce à Flavian ? » Sa façon de poser la question laissait entendre que j'avais profité de Flavian.« Non, monsieur. J'ai rencontré Flavian au mariage d'Alexandre. Je suis amie avec lui et sa femme, j'étais demoiselle d'honneur à leur mariage, avec Flavian comme cavalier. Avant, je trav