Lahat ng Kabanata ng Le Roi Lycan et sa Tentation Sombre: Kabanata 261 - Kabanata 270

NARRATEURAlessandre a rugi avec force, exhibant ses crocs, ses pupilles rouges se rétrécissant, dégageant l’aura intimidante d’un vampire puissant. À son commandement, les guerriers sont sortis de leur stupéfaction et ont obéi. BAM ! Les portes se sont ouvertes brusquement et il est entré d’un pas résolu, libérant toute sa puissance supérieure, écrasant toute pensée de rébellion. Sa mère l’observait, les yeux grands ouverts, au fond de la salle, près des tables des dirigeants. Elle a porté une main tremblante à sa bouche, des larmes coulant à la vue de la tête de son époux. Elle comprenait. La douleur brûlante de la perte de son compagnon l’a assaillie soudainement, mais elle ne saisissait pas comment cela avait pu se produire. Il venait tout juste de partir pour s’entretenir avec leur fils. À présent, tout prenait sens. Son cœur tremblait, consumé par l’angoisse et la trahison. Alessandre ne lui a jeté même pas un regard en montant les escaliers. Il s’est tourné vers

NARRATEURSilas s’est figé. Il n’appréciait pas le contact physique, sauf lorsqu’il s’agissait de Sigrid, mais il a supporté l’étreinte avec stoïcisme, évitant toute réaction inappropriée. Malgré les moments de gêne, cet après-midi-là, Silas a retrouvé un fragment de sa famille. Cependant, au fond de lui, la seule famille qu’il reconnaissait véritablement était la femme à ses côtés. Tout l’amour qu’il portait en lui était destiné à elle, tandis que tout le reste s’était évanoui.Profitant d’un moment de solitude alors que sa tante entraînait Sigrid à la cuisine pour préparer le thé de l’après-midi, Silas s’est approché du bébé dans le berceau. Les tatouages sombres ne se limitaient plus au visage de l’enfant, mais s’étendaient, envahissant lentement son petit corps. Silas a étendu deux doigts et les a posés sur le front du bébé. Instantanément, la magie noire s’est tordue, résistant et luttant contre son expulsion. Le bébé a poussé un cri de douleur. Cette énergie maléfique

NARRATEURLucrecia recherchait désespérément des indices, des allusions ludiques à chaque coin de rue. Elle avait croisé des couples, des trios, des quatuors, et même des quintettes se prélassant sur l’herbe, adossés aux haies du labyrinthe, ou assis sur des bancs. À l’intérieur de cette vaste structure de jardin, se trouvaient également de petites cours, des fontaines, des bancs et des recoins isolés, conçus uniquement pour le plaisir. Elle appréciait se perdre dans ce dédale de feuillage, mais ce soir, rien ne semblait l’attirer. Ces yeux... elle n’arrivait pas à chasser ces yeux noirs de son esprit. Cet esclave avait levé la tête, ne serait-ce qu’un instant, et ce regard mortel, la Déesse, lui rappelait tant son Gray. Il y avait quelque chose d’étrange chez lui. Elle n’arrivait pas à le cerner complètement, mais elle ressentait le besoin de le revoir. Où cette prude, Electra, avait-elle déniché un tel spécimen ? Et il semblait si bien proportionné. Electra... cette

NARRATEUR« Déesse… » Sigrid a été dégoûtée.Dans d’autres circonstances - si les participants étaient consentants - cela aurait pu être excitant. Mais comme ça, ce n’était que répugnant.Les deux esclaves masculins ont palpé la femme entre eux, leurs mains glissant entre ses jambes, pétrissant et suçant ses seins.Bientôt, elle s’est mise à genoux entre eux, sa bouche et ses mains travaillant leurs longueurs.À côté d’elle, Lucrecia semblait bien divertie.Sigrid examinait la pièce, cherchant l’esclave qu’elle recherchait. Juste pour être sûre - elle ne voulait pas se tromper.Elle était à 99 % certaine que celui qu’elle devait sauver était Umbros, mais ce 1 % restant était focalisé sur un certain esclave qui éveillait quelque chose de profond en elle.Elle avait besoin de confirmation.Alors que les gémissements s’amplifiaient et que la brune aux seins généreux et à la peau pâle montait sur l’un des esclaves allongés, chevauchant celui-ci tout en suçant l’autre debout à côté

NARRATEURSigrid était désespérée. Il devait y avoir un portail magique quelque part - dans ces murs, le plafond…« Merde ! » a-t-elle explosé, emplie de rage et d’impuissance.Silas était fort, mais elle avait encore peur. Ils n’auraient jamais dû se séparer.Soudain, au milieu de son désespoir, une douleur aiguë a traversé sa poitrine, trop intense pour être ignorée.Elle a serré son sternum.Déesse, qu’est-ce que c’était encore ?Son esprit était en désordre, sa vision floue tandis que ses mains fouillaient frénétiquement, touchant pierre par pierre, essayant de trouver l’ouverture magique.Elle devait se calmer. Elle en accusait son état de panique. Elle perdait le contrôle.Électra se débattait à l’intérieur de sa prison, plus folle que jamais, hurlant pour être libérée.« Pas maintenant, toi, folle furieuse ! » a-t-elle hurlé, enfermant son esprit avec tout ce qu’elle avait.Elle ne pouvait pas se permettre de diviser son pouvoir en ce moment, s’affaiblissant juste pour