Semua Bab Le Roi Lycan et sa Tentation Sombre: Bab 241 - Bab 250

SIGRID« Attends ! » Renata m’a appelée alors que notre conversation touchait à sa fin.Il y avait encore trop de questions en suspens, trop de plans inachevés, mais nous ne pouvions pas tout discuter en une seule nuit.En plus, mon esprit revenait sans cesse à la grotte où j’avais laissé Silas. Je m’inquiétais pour lui.« Cela te protégera », a-t-elle dit, enlevant un magnifique collier avec une chaîne en or délicate et un pendentif en forme de goutte noire.« Il empêchera ton pouvoir de Selenia de se révéler accidentellement. »Je l’ai pris avec curiosité. Si c’était son but, cela serait extrêmement utile.« Quand tu combattras Morgana, cela empêchera ton aura de Selenia de s’échapper du manoir et d’alerter tout le domaine à ce que tu es. Ils ne penseront qu’à une dispute entre sœurs pour le pouvoir », a-t-elle expliqué, attachant le pendentif magique contre ma peau, où il s’est posé froidement.« Très bien, je le prends. Merci », ai-je répondu, me sentant un peu mal à l’aise.

SIGRIDUn grognement profond m’a échappé de la gorge lorsque j’ai rejeté la tête en arrière, perdue dans l’extase et le désir.Mes jambes étaient largement écartées, les pieds pointés vers le ciel, tandis que des mains possessives et rugueuses serraient mes cuisses, et une bouche lascive dévorait mon sexe.« Silas… aahhh… attends… » J’ai imploré miséricorde.Mon clitoris était délicieusement torturé entre ses dents, ses lèvres suçant et gloussant avec des sons obscènes, sa langue traînant de mon périnée, de haut en bas de toute ma fente.Avec mon monde plongé dans le noir, tout ce que je pouvais faire était de me soumettre aux désirs sombres et sans retenue que cet homme me faisait ressentir.« Mmmmnn », j’ai mordu ma lèvre, gênée par mes cris qui ressemblaient à ceux d’une putain, mais la chaleur m’a submergée.Puis j’ai senti ses doigts écartant les replis tendres, exposant complètement mon entrée rose et luisante.La pointe de sa langue a tracé des cercles autour sans pénétre

Tellement de premières fois avec elle - mon premier baiser sincère, mes premiers vrais contacts et étreintes, la première fois que j’ai même légèrement compris pourquoi ces femmes étaient si envoûtées et obsédées par ce que je ressens maintenant.La regarder au-dessus de moi, qui était si excitée, qui me chevauchait avec un pur désir sur mon corps misérable, mon sexe se réjouissant du plaisir de prendre sa féminité, l’élevant aux sommets - seulement moi. Elle est à moi, seulement à moi.Elle a hurlé, arquant le dos, appelant mon nom, me disant que j’étais son mâle, son homme... J’étais enflammé par son feu. Elle n’avait aucune idée de ce qu’elle me faisait.Ces lèvres pleines et sensuelles s’entrouvraient, tout son être tremblait, ses yeux aveuglés, mais je la voyais. Elle seule. Son esprit brillait en dehors de ce corps de sorcière.Ma noirceur avait toujours soif de cette lumière - pour la prendre, pour la déclarer comme nôtre.Son vagin se contractait frénétiquement, s’épanchan

SILAS« AH ! C’EST VOTRE FAUTE, LES ESCLAVES ! »Elle rugissait avec une fureur incontrôlable, haletante et couverte de sueur. Sa magie destructrice s’est déchaînée, tranchant la tête de plusieurs femmes innocentes présentes dans la pièce. C’était un véritable massacre, et au milieu de ce chaos, deux cris résonnaient. Je me suis accroupi près de la porte, me protégeant de son assaut, observant à travers la fente. Une part de moi ressentait le besoin de les sauver. Ils étaient innocents et ne méritaient pas d’être punis pour être issus d’un ventre aussi corrompu. « APPORTEZ-LES-MOI ! MAINTENANT ! »« Oui, madame. », a balbutié le serviteur en lui tendant les deux bébés, tous deux de sexe masculin. J’ai espéré, pour une fois, voir une lueur de compassion dans ses yeux, un peu de chaleur, étant donné qu’ils étaient ses propres enfants. Elle a invoqué deux poignards acérés dans ses mains. Une peur sourde s’est emparée de ma poitrine : elle allait les tuer ! « NON ! »Sa

SILASChaque jour, nous nous éveillons dans la peur, tels des animaux traqués par des vampires, des sorcières et des lycans. Mes parents, dans leur détresse, me disaient que cette nouvelle reine allait rétablir l’équilibre, qu’il suffisait de lui accorder du temps et de lui faire confiance. J’ai suivi leurs conseils, même après avoir été enlevé de mon foyer, emmené loin, enchaîné, humilié et brisé. J’ai toujours gardé en mémoire ces mots d’encouragement : un jour, tout changera... cela s’améliorera... il suffit de persévérer... faites confiance à la Reine, et vous serez sauvés... Cependant, à l’approche de la mort, j’ai découvert son véritable visage. Tout comme ces sorcières, elle a effacé ses péchés. Elle nous a également utilisés en secret, comme des bêtes, dans le but d’élever sa propre lignée. Je les méprise. Je déteste encore plus les Selenia, pour leur hypocrisie et leurs mensonges, pour nous avoir donné de l’espoir tout en nous laissant massacrer. Au moins, Lucre