Semua Bab Le Roi Lycan et sa Tentation Sombre: Bab 661 - Bab 670

AIDAN En l’espace d’une demi-heure, nous sommes passés d’un état de panique totale à une chaleur intense, échangeant baiser après baiser. « Chut. », ai-je murmuré avec désir en caressant délicatement ce mamelon rose de ma langue. Ma bouche a laissé des marques sur toute sa peau. Je voulais que chacun sache qu’elle m’appartenait. Je ne craignais pas de devoir me battre à nouveau pour elle. Je l’ai embrassée avec intention. Mes doigts se sont enfoncés dans la chair de ses hanches et de ses fesses, la faisant gémir contre moi. Sa chaleur intime enveloppait mon membre d’un massage si serré que je serrais les dents. « Mmm, Aidan... Ah... » J’adorais entendre mon nom sur ses lèvres à chaque fois que je caressais ses seins et que je me frottais contre elle sans retenue. « Chérie, il est temps pour la punition. », ai-je déclaré avec assurance, me penchant pour la regarder. Ses yeux bleus, empreints d’innocence, clignaient vers moi, manifestant une certaine confusi

AIDAN Cet après-midi-là, comme si cela était devenu une habitude, nous nous sommes réunis dans la bibliothèque. Honnêtement, je préférais la compagnie de mon compagnon récemment marqué plutôt que d’être entouré d’une atmosphère dominée par la testostérone. Je supposais que mon empressement ne passait pas inaperçu. « Chiot, personne ne va kidnapper quelqu’un dans ce château, alors détends-toi ! », a lancé mon père en me donnant une tape vigoureuse sur l’épaule. Je le regardais sans répondre. C’est lui, parmi tous, qui me disait cela. Le même homme incapable de passer trente minutes sans toucher ma mère. « Je n’arrive toujours pas à croire que tu l’aies obtenue aussi facilement, chanceux bâtard », a raillé Aldric en sirotant sa boisson, confortablement installé dans un fauteuil. Bien qu’ils continuent à me mettre à l’épreuve à chaque occasion, j’ai le sentiment qu’ils baissent leur garde, notamment mon beau-père. Il restait silencieux, assis près de la fenêt

VICTORIAJ’ai toujours aspiré à mener une existence riche en aventures, en périls exaltants et en un amour capable de me bouleverser profondément... ainsi que mon intimité. Eh bien, une bonne nouvelle : c’était précisément ce que j’ai découvert. Non seulement je me suis retrouvée dans un environnement marqué par des conflits intenses et des événements extraordinaires en devenir, mais j’ai également rencontré l’homme destiné à transformer radicalement mon univers. Certes... au départ, il y en avait deux, mais cela était une autre histoire. Ce qui me pesait véritablement, cependant, c’était l’absence de ma famille, de mes parents. Croyez-moi, j’ai tout mis en œuvre pour tenter de les joindre. J’ai même exploré un tunnel suspect qui semblait mener quelque part. Malheureusement, ces vampires insensés l’ont fait exploser grâce à la magie lors de leur fuite. Je n’avais donc d’autre choix que de poursuivre mes recherches de réponses. En attendant, tout en cherchant un portail, je pou

VICTORIA Il l’a dit avec amertume. Le loup derrière moi était en état d’alerte. Je sentais sa main près de ma taille, prête à me ramener à ses côtés. « Non. Je le jure sur ma mère, la chose la plus sacrée que j’aie eue. Père, j’essayais de trouver un moyen de revenir... mais je ne savais pas comment. » Et je ne mentais pas, j’avais vraiment essayé. « Lors du bref instant où Katherine m’a rendu visite dans un rêve, nous avons à peine pu échanger. Elle a mentionné quelque chose à propos de mon sang coulant sur une chose... mais je ne savais pas comment interpréter cet indice partiel. Le rêve s’est interrompu trop brusquement. Ce monde n’est pas comme le nôtre. La magie y fonctionne différemment, avec trop d’interférences. » Je l’ai expliqué aussi rapidement que possible, faisant de mon mieux, bien qu’il reste encore beaucoup de non-dits. « Papa... » Je me suis approchée, prenant ses mains froides. Derrière moi, un grognement d’avertissement retentissait. Oui,

« Rousse, vas-tu bien ? »Je me suis relevée du sol, encore étourdie.Cette sensation de chute et de rotation infinie avait été particulièrement désagréable.« Oui, Mademoiselle Victoria. », a-t-il répondu une voix rauque.Il s’est redressé de toute sa hauteur, projetant une ombre imposante qui dominait tout autour de lui.Sa capuche noire, qu’il portait habituellement, était tombée, dévoilant ses cheveux grisonnants.Ses yeux, presque blancs, fixaient intensément les miens.Bien que je sois habituée aux morts-vivants, Rousse demeurait impressionnant, même à mes yeux.Toujours vêtu de noir, robuste, sérieux, avec ces profondes cicatrices qui marquaient son corps pâle.« Où penses-tu que nous nous trouvons ? », lui ai-je demandé en observant la ruelle où nous avions atterri.L’odeur nauséabonde des déchets entassés en petits tas, encadrée par des murs noirs et souillés.« Je n’ai jamais été dans un endroit semblable dans notre royaume. »« Je ne crois pas que nous soyons chez nous, Rous