Semua Bab Le Roi Lycan et sa Tentation Sombre: Bab 671 - Bab 680

VICTORIASans attendre sa réponse, j’ai commencé à courir sur les toits, les tuiles se détachant par plaques sous mes pieds.J’ai toujours gardé une distance prudente des cavaliers.Nous nous sommes arrêtés au sommet d’un bâtiment, et j’ai enfin pu voir où ils se dirigeaient.D’énormes murs noirs et épais séparaient cette zone en déclin d’une autre.Je n’ai pas pu voir au-delà, mais lorsque les imposantes portes oppressantes se sont ouvertes pour laisser passer ces loups, l’odeur qui s’en est échappée n’avait rien à voir avec la puanteur d’ici.J’ai aperçu quelques maisons derrière ces murs – une ville prospère nichée à l’intérieur, protégée par de hautes barrières.Alors que les gens ici mouraient dans la crasse, il était évident que la vie de l’autre côté était bonne.La séparation était limpide – entre vampires et loups-garous.Que se passait-il donc ici ?« On dirait qu’ils distribuent de la nourriture là-bas », a dit Rousse en pointant un endroit où les gens s’entassaient

VICTORIAMarius l’a réprimandée à nouveau. J’en avais un peu assez de ses crises.« Que veux-tu que je dise ?! Que je remercie la Déesse d’avoir donné à ces chiens le pouvoir de nous détruire, de nous garder comme esclaves, de nous bannir dans ces égouts ?! »Elle a crié, sautant de son tabouret, qui s’est renversé bruyamment.Peu importe les efforts de Marius pour la calmer, elle s’est enfuie en pleurant.Un silence inconfortable a rempli la pièce.« Je suis désolé pour ça… elle est juste plus honnête et dit ce que nous pensons tous », m’a dit Marius, embarrassé.« Que se passe-t-il ici entre vous et les loups-garous ? »« Tu ne sais vraiment rien ? » a demandé cet Oscar, et j’ai secoué la tête.« Eh bien, je viens d’ailleurs », ai-je répondu brièvement.C’est ainsi que j’ai appris la situation dans ce royaume, divisé entre deux grandes puissances : les loups-garous et les vampires.« Et pourquoi vous traitent-ils ainsi ? Juste parce qu’ils le peuvent ? »J’ai interrogé Mar

VICTORIANous n’étions qu’à un souffle l’un de l’autre, et je l’ai vu baisser son visage pour embrasser mes joues.Il a léché mes larmes avec patience, se rapprochant lentement de mes lèvres.Je ne l’ai pas arrêté – je l’ai laissé m’embrasser.Sa bouche s’est déplacée sur la mienne, sa langue traçant les contours, essayant de s’y glisser.Il m’a doucement allongée sur les couvertures, son torse dur pressé contre le mien, une main soutenant mon dos et l’autre agrippant ma taille.J’ai senti son poids me dominer, me clouant au sol, s’installant entre mes jambes.Son baiser sensuel est devenu plus profond, plus passionné, plus agressif.Nos crocs se sont heurtés, et le désir a pulsé brûlant dans nos veines.Sa main a glissé sous ma jupe, caressant mes cuisses nues.Dans l’obscurité, nos gémissements étouffés se sont mêlés au son de baisers désespérés.J’étais rongée par le besoin, avide de me nourrir. Mes pupilles se sont rétrécies en fentes cramoisies.Cela faisait longtemps q

VICTORIAJe l’ai vu s’avancer vers moi, débordant de confiance.Il avait apparemment oublié ce dont une vampire bien nourrie était capable – et je n’étais même pas au sommet de ma forme.Le fouet a claqué, volant vers mon cou avec un rugissement de ses lèvres.Je me suis élancée si vite qu’il ne m’a même pas vue arriver.Son bras était encore levé après avoir brandi l’arme. Ses yeux se sont rétrécis quand je suis apparue soudainement devant lui.« Quoi… ?! Aaaah, sale garce ! »Il a reculé d’un bond alors que mes griffes acérées se sont enfoncées dans son visage, arrachant un bon morceau.Je visais ses yeux, mais il a réagi à temps pour les sauver.Avant qu’il ne puisse riposter, j’ai saisi la poignée du fouet et l’ai enroulé autour de son cou.À ce moment-là, il essayait de se transformer en loup, mordant sauvagement vers moi.Mais mes deux mains ont serré le cuir si fort contre sa gorge que des bruits d’étouffement ont retenti presque immédiatement.Il ne pouvait pas se tr

VICTORIADéesse, qu’il était fort.Le salaud devant moi s’est figé.Je jure que même son petit organe a probablement eu peur au point de se rétracter.Avec un rugissement bestial, il a été saisi par le cou et soulevé du sol, arraché de moi.À travers la lumière qui filtrait par les rabats ouverts, j’ai vu toute la scène sauvage.Il n’avait même pas complètement pris sa forme de lycan, mais l’Alpha a enfoncé ses mâchoires à moitié formées dans la gorge de l’homme, arrachant sa trachée.Le hurlement s’est éteint dans la poitrine du lieutenant.Les bruits du combat ont attiré quelques soldats dehors, juste à temps pour voir cet homme sauvage traîner le cadavre.Sous leurs regards stupéfaits, il a arraché la tête du type d’un coup de griffes.J’avais vu ma part de scènes brutales dans ma vie.Mon propre père était sacrément assoiffé de sang, mais le Seigneur pouvait clairement rivaliser avec sa cruauté sadique.« Que jamais l’idée de faire quelque chose d’aussi ignoble à une fem