All Chapters of Je Me Venge, Cendres à la Main: Chapter 411 - Chapter 420

Après avoir raccroché, la douceur du visage d’Isabelle s’est effacée en un instant, laissant place à une expression dure et froide.Elle a fixé le téléphone dans sa main, puis a murmuré : « Vieille sorcière, attends un peu. Quand j’en aurai fini avec ton fils, ce sera ton tour. »À ce moment-là, Alex était assis dans son bureau, le front plissé, manifestement préoccupé. Soudain, l’écran de son téléphone s’est allumé.Une notification d’actualité est apparue : « Théo Chrétien et Léa Bernard en couple : voyage romantique, mariage en vue ? »En voyant s’afficher ces images où Léa et Théo semblaient si proches, Alex a ressenti une vague d’agacement inexplicable.Il a pris son téléphone et a appelé Léa, mais une voix froide et mécanique a répondu : « Désolé, le numéro que vous appelez est temporairement indisponible… »Irrité, Alex a jeté son téléphone sur le canapé. Il sentait son cœur oppressé, comme si une flamme sourde brûlait en lui.À l’hôpital, Marie était allongée sur son lit

Alex a enfin obtenu la reconnaissance du Groupe des Richard, au terme d’une période éprouvante sous traitement.Dans le vaste bureau du président, les dossiers s’entassaient en désordre sur le bureau de chêne massif. Le front plissé, les yeux cernés de fatigue, Alex se battait contre l’épuisement. Il s’est frotté les tempes, douloureuses, dans un effort pour rester lucide. Mais la situation de l’entreprise ne lui laissait aucun répit.La maladie soudaine de sa mère, Marie, combinée à une série de décisions stratégiques désastreuses, avait plongé le groupe dans une crise sans précédent.« Président Richard, prenez un café », a dit Isabelle en entrant, une tasse fumante à la main. Un sourire doux éclairait son visage, et son regard exprimait une profonde sollicitude. « Vous êtes là depuis ce matin. Il faut faire une pause. »Alex a levé les yeux vers elle. Son visage bienveillant lui a réchauffé le cœur.Il a pris la tasse, en a bu une gorgée. Derrière l’amertume du café, il a perçu

Léa est rentrée chez elle. Théo l’attendait déjà, un dîner généreux posé sur la table.Ils ont échangé sur les prochaines étapes, dans une atmosphère calme et complice.La banque a rejeté sans détour la demande de prêt du Groupe des Richard. Le motif était clair : la santé financière du groupe inspirait trop d’inquiétude.Dans le bureau du président, Alex a jeté les dossiers sur la table, dans un bruit sec et plein d’agacement. Il s’est frotté le front, tentant de dissiper une fatigue qui ne le quittait plus. Tout lui semblait s’écrouler.Isabelle est entrée, un verre de lait chaud entre les mains. Elle portait une robe de chambre rose pâle, qui ajoutait à l’intimité de la scène.« Alex, ne t’épuise pas comme ça. Bois un peu de lait, repose-toi, d’accord ? », a-t-elle murmuré, d’une voix douce, pleine d’inquiétude.Alex a pris le verre, en a bu une gorgée. La chaleur du lait a apporté un bref soulagement.« La situation est désastreuse. Je suis complètement perdu… », a-t-il souf

Louis a commencé à mettre la pression sur Isabelle pour qu’elle prenne rapidement le contrôle d’Alex, afin d’assurer leur mainmise sur les actifs du Groupe des Richard.Elle a fait mine d’accepter, mais elle nourrissait ses propres ambitions.Elle ne convoitait pas seulement les biens du groupe ; elle voulait aussi Alex. Elle voulait qu’il ne puisse plus jamais se passer d’elle.L’action du Groupe des Richard a plongé en chute libre. L’ambiance dans les bureaux est devenue si étouffante que chacun avait du mal à respirer.Alex fixait l’écran de son ordinateur, les yeux rivés sur les chiffres qui défilaient, glacials et implacables. Ses sourcils se sont froncés, ses tempes battaient à tout rompre.Il a ressenti une impuissance qu’il n’avait jamais connue auparavant. L’empire commercial dont il avait été si fier menaçait de s’effondrer à tout instant.Il a serré la main d’Isabelle, s’accrochant à la chaleur de sa paume. Il a pris une longue inspiration, tentant de retrouver son cal

Alex a posé sur Isabelle un regard difficile à lire. Il ne lui a rien répondu. Il a simplement saisi le verre d’eau posé sur la table et en a bu une longue gorgée.Il se sentait mal. Une colère sourde bouillonnait en lui, mais il refusait de laisser paraître sa vulnérabilité devant elle.« Alex, ne reste pas comme ça… Dis-moi ce qui ne va pas, je peux t’aider à trouver une solution », a murmuré Isabelle en s’approchant, avant de le prendre doucement dans ses bras. Sa voix avait cette douceur capable de faire taire les douleurs les plus tenaces.Tout à coup, il a demandé, l’air sérieux : « Isabelle… dis-moi. Est-ce que les gens autour de moi sont vraiment sincères ? »Sa voix était basse, à peine teintée d’un doute qu’on aurait pu croire imperceptible.Le corps d’Isabelle s’est légèrement tendu. Mais elle a vite repris contenance. Elle a levé les yeux vers lui, avec une expression empreinte de sincérité.« Alex… qu’est-ce que tu racontes ? Bien sûr qu’ils le sont. Tu es le préside