Tous les chapitres de : Chapitre 131 - Chapitre 140

RhéaOh snap !Étais-je bon pour faire ce qu'il voulait que je fasse ?Non, je ne l'étais pas.Il était mon premier, la seule personne que j'aie jamais accueillie avec ma bouche. Je n'avais pas beaucoup d'expérience avec qui que ce soit, pas même avec lui.Pourtant, je ne pouvais pas le laisser gagner puisque cela a été déclaré une compétition. Je suis donc descendu du lit.Il était déjà sorti de son pantalon, assis sur le lit avec ses jambes écartées et sa bite de sept pouces debout dégoulinant de pré-sperme pendant qu'il attendait que ma bouche la plus chère lui serve de plaisir.Ses yeux sombres étaient fixés sur moi, observant chacun de mes mouvements. Et sous un tel examen, nu nu, j'étais censé me sentir même un peu timide, mais je savais que le léger mouvement de mes seins, ou la façon dont mes yeux rencontraient les siens, étaient suffisants pour secouer sa bite.Je me suis positionné entre ses jambes, et mes mains se sont enroulées autour de la base de sa bite.« Ça a l'air pl

Rhea Je me suis réveillé au milieu de la nuit. La pièce était calme, l'air était encore lourd avec l'odeur de ce qui s'était passé entre nous. Mon corps était fatigué, mais pas mon esprit. Je me suis tourné sur le côté et j'ai vu Damon dormir à côté de moi. Son visage était calme, sa respiration douce et régulière. Pendant une seconde, j'ai oublié tout le reste.Il avait l'air paisible. Tellement au courant de ce qui allait arriver.Je me suis dit que je partirais avant le matin. C'était le plan. Partir avant que les choses ne deviennent plus difficiles, avant qu'il ne commence à poser des questions auxquelles je ne pouvais pas répondre. Mais regarder son visage rendait impossible de bouger. Mon cœur me faisait mal d'une manière à laquelle je ne m'attendais pas. Je ne voulais pas y aller. Pas comme ça.Il était si beau, si parfait et je me souvenais à peine de la dernière fois que je l'avais vu comme ça. Ses doigts étaient entrelacés avec les miens. Sa respiration était douce, il éta

Damon Les gardes se tenaient comme un mur devant la porte. Aucun d'entre eux n'a bougé. Leurs yeux se sont glissés entre moi et Elliot, comme s'ils étaient prêts à se battre. D'après ce qu'il semblait, ils étaient plus que préparés au combat, même s'ils n'étaient pas des adversaires dignes pour Elliot et moi, ils ont toujours tenu bon.J'ai fait un pas en avant. « Pourquoi ne nous laissez-vous pas entrer ? »L'un d'eux, un grand gars avec une cicatrice sur le visage, a déclaré : « Nous ne pouvons pas avoir une telle personne comme notre dirigeant. Elliot ne se soucie pas de nous. Il ne se soucie que de lui-même. S'il s'en souciait, il serait venu quand nous avions besoin de lui. »J'ai cligné des yeux. « Tu crois qu'il n'a pas essayé ? Nous avons failli être tués en essayant de récupérer ce sac... »Avant que je puisse finir, Elliot a ri. C'était un son qui m'a envoyé des frissons dans la colonne vertébrale. C'était la dernière chose à laquelle je m'attendais.Ce n'était pas un rire

RheaJ'étais chez Nikolai depuis quelques jours, me cachant à la vue de tous parce que je voulais que Damon voie de ses propres yeux ce qui se passait. Cela ressemblait à un jeu dangereux, mais j'avais besoin qu'il comprenne - lentement, soigneusement - ce que j'avais fait et pourquoi.Ce matin-là, j'étais dans la cuisine, en train de prendre le petit déjeuner que les domestiques ont apporté. Ils étaient chaleureux envers moi, sincères d'une manière qui m'a fait mal à la poitrine. Ils se déplaçaient tranquillement, en prenant soin de ne pas me faire sentir comme un prisonnier. Un bol de porridge, de miel, de pain, des choses simples, mais elles avaient meilleur goût que ce qu'elles avaient le droit de faire.Lara est entrée comme si le soleil avait décidé de marcher sur deux jambes. Une peau brune qui brillait, des cheveux tirés en arrière, le genre de beauté qui faisait que les gens lui pardonnaient tout.Elle était la femme de Nikolai. Elle était également malade plus de jours qu'el

Damon Quand j'ai ouvert les yeux, la première chose que j'ai ressentie était la douleur.Une douleur profonde et brûlante s'est répandue à travers mes épaules et mon dos. Ma tête battait la tête. Mes bras étaient tendus et attachés au mur derrière moi. Les poignets en métal m'ont mordu la peau, froides et inflexibles. Ma chemise avait disparu, me laissant à moitié nue dans une pièce de pierre humide. L'air sentait la rouille et le sang.J'ai tiré sur les chaînes, mais elles n'ont même pas bougé.C'est alors que j'ai entendu des pas.Killian.Il est sorti de l'ombre, son expression suffisante, ses yeux sombres de satisfaction. Il avait l'air d'être Noël pour lui. Il voulait ça, il voulait me ruiner, et il en a finalement eu l'occasion.« Qu'est-ce que c'est que ça ? » J'ai craqué. Ma gorge était sèche, ma voix était rauque.Killian sourit lentement. « Tu as été plutôt arrogant ces derniers temps, Damon. Toujours se promener comme si le monde devait s'agenouiller pour vous. Je pense qu