Le matin s’éveillait doucement sur Paris, baignant les rues pavées et les toits haussmanniens d’une lumière douce, presque dorée. Alma était déjà dans son atelier, les cheveux légèrement emmêlés par le sommeil, un pinceau en main et son dernier carnet de croquis ouvert devant elle. Ce tableau serait le dernier de la saga, celui qui scellerait enfin tout ce qu’elle avait traversé : l’amour, la liberté, les luttes, les blessures, et surtout, la renaissance.La pièce sentait la peinture fraîche, le bois ciré du parquet et l’odeur subtile du café que Leonard lui avait apporté plus tôt. Sur le chevalet trônait la toile, immense, presque éclatante. Une femme y était représentée, tournant son visage vers un ciel lumineux,
Terakhir Diperbarui : 2025-09-25 Baca selengkapnya