Semua Bab monsieur le Professeur : Bab 21 - Bab 30

Mon cœur fit un bond. Jack fronça les sourcils, surpris.— Qui ça peut bien être ? murmura-t-il.Je restai figée un instant, et avant que nous puissions décider, la porte s’ouvrit.Et là, comme une évidence, Andrew se tenait sur le seuil, impeccable, un sourire mesuré sur le visage et son sac de cours à la main.— Bonjour, Lara. Prête pour notre cours particulier ? dit-il calmement.Le temps sembla s’arrêter.Jack recula légèrement, les sourcils froncés, ses mains toujours effleurant les miennes comme pour garder un contact rassurant.— Andrew… souffla-t-il, surpris. Qu’est-ce que vous faites là ?Andrew resta calme, son sourire mesuré, presque insolent.— Bonjour, Jack. Je viens pour le cours particulier de Lara, tout simplement.Je sentis mon cœur battre la chamade. Deux hommes, deux présences si différentes, mais chacune ayant un pouvoir sur moi… et moi, au milieu, incapable de respirer correctement.Jack serra un peu plus ma main, comme pour me protéger, mais Andrew s’avança d’un

Un baiser brûlant, intense, chargé de tout ce qu’il n’avait pas dit… et de tout ce que je n’avais pas osé avouer. Mes mains se crispèrent sur sa chemise, cherchant à prolonger l’instant.Mais déjà, il recula légèrement, ses yeux toujours ancrés dans les miens.— À bientôt, Lara, murmura-t-il, comme une promesse voilée.Il se détourna alors et sortit de ma chambre, me laissant seule, le souffle court et les lèvres encore brûlantes de son baiser.Lelendemain j'ai accepté de voir Jack qui m'a amené mangé et après nous avons décidé de faire une balade.nous marchions côte à côte dans les rues éclairées par les lampadaires. Mais mon esprit ne cessait de vagabonder vers Andrew… chaque mot de Jack me paraissait distant, chaque sourire forcé me semblait vide.Quand il se pencha pour m’embrasser, je reculai brusquement.— C’est mieux de s’arrêter là… murmurai-je, le cœur lourd. Je… je ne veux plus continuer.Jack resta figé un instant, surpris, les yeux écarquillés.— Pourquoi ? demanda-t-il,

Je sens ma gorge se serrer, mes mains deviennent moites. — Quoi ?… Non, maman, c’est pas possible… Ma voix tremble malgré moi. Je secoue la tête comme pour effacer ses paroles. — Je… je peux pas quitter cette ville, je peux pas quitter mon université… J’ai peur de tout perdre, maman. Elle me regarde avec douceur mais aussi une fermeté qui ne laisse aucune échappatoire. — Je sais que c’est dur à accepter, mais la décision est prise. Tu seras transférée dans une autre université. Et nous quitterons la ville pendant les vacances de fin d’année. Je reste figée, incapable de répondre. Ses mots résonnent dans ma tête comme un coup de massue. Une autre université. Une autre ville. Une autre vie. Et Andrew…? Son visage me revient aussitôt, ses yeux, son sourire provocateur, ce baiser encore brûlant. L’idée qu’il ne soit plus là, qu’il devienne juste un souvenir, me déchire de l’intérieur. Le lendemain matin, je me force à enfouir mes pensées sous une pile de livres. J’ouvre mon cahi

Je m’accroche à lui comme si je craignais qu’il disparaisse. Chaque baiser, chaque souffle entre nous est chargé de cette tension accumulée depuis des semaines.Il m’allonge complètement sur le lit, ses bras de part et d’autre de moi, son regard brûlant plongeant dans le mien.— Tu es à moi, murmure-t-il d’une voix grave, rauque, presque sauvage.Je hoche la tête, incapable de parler, mon corps réclamant le sien plus fort que mes mots ne pourraient le faire.Ses lèvres quittent ma bouche pour se perdre dans mon cou. Il y dépose une pluie de baisers, parfois tendres, parfois mordants. Je me cambre sous lui, incapable de contenir les gémissements qui s’échappent malgré moi.Ses mains glissent avec lenteur sous mon haut, caressant ma peau brûlante. Chaque geste est une torture douce, un mélange de douceur et d’autorité qui me fait perdre la tête. Quand il retire enfin mon pull et mon soutif qui nous sépare, je sens son regard s’attarder sur moi, admiratif, possessif.— Magnifique… souffl

Après quelques heures, je prends une pause et sors mon téléphone. J’ai besoin de partager la nouvelle avec Andrew… mais je ne sais pas par où commencer. Finalement, je l’appelle :— Andrew… Tu peux me rejoindre au parc ? J’ai quelque chose à t’annoncer.Quelques minutes plus tard, je le vois arriver, détendu, marchant vers moi. Je lui souris, le cœur battant.— J’ai eu un boulot, dis-je, encore toute joyeuse.— Un boulot… ? répète-t-il, étonné par la nouvelle.Je hoche la tête, incapable de cacher mon sourire.— Oui… Ma mère voulait qu’on quitte la ville, mais j’ai enfin l’opportunité de rester ici.Je reste silencieuse un instant, puis ajoute d’une voix plus basse :— Je sais que ça sera un peu compliqué de vivre seule… mais je n’ai pas envie d’abandonner cette vie.— Seule… ? Et quel boulot exactement ? me demande-t-il, son regard se durcissant légèrement.— Je vais travailler dans la maison d’édition qui vient d’ouvrir en ville. Et oui, j’s’rai seule ici… ça devrait te rendre heure