Semua Bab MARIÉ À SERIAL KILLER : Bab 11 - Bab 20

Je reste figée, incapable de parler. Mes mains tremblent encore et mon cœur bat à tout rompre. Soudain, Hardin s’approche rapidement, son regard sombre scrutant le mien. Il y a quelque chose dans ses yeux… un éclat que je n’ai jamais vu : une peur qu’il refuse de montrer. Avant que je puisse réagir, il me prend dans ses bras. — Maria… murmure-t-il contre mes cheveux, sa voix étonnamment basse, presque fragile. Je me fige, surprise. Ses bras sont puissants, mais le contact est inattendu, chaleureux, presque réconfortant. Il serre un peu plus fort, comme pour s’assurer que je suis là, que je vais bien… ou peut-être pour s’apaiser lui-même. Je sens sa poitrine contre la mienne, le rythme rapide de son cœur. Pour un instant, je perçois l’homme derrière le monstre, l’homme qui a eu peur pour moi, pour mon frère… mais qui ne dira jamais un mot. Je ne dis rien. Je reste immobile, absorbant ce geste qui contraste tellement avec sa façade glaciale. Il finit par me lâcher doucement, s

Toujours dans ses bras, je sens son souffle chaud frôler ma peau. Son regard devient plus sombre, plus brûlant, comme s’il pesait chaque seconde avant de céder. Il resserre sa prise sur ma taille, m’attirant contre lui d’un geste possessif. — Tu n’as pas idée de ce que tu viens de réveiller en moi… murmure-t-il, sa voix rauque me faisant frissonner. Avant que je puisse répondre, ses lèvres s’écrasent sur les miennes. Ce n’est pas un simple baiser, c’est une décharge, une explosion. Sa bouche exigeante, ses mains qui se crispent dans mon dos… Je me sens presque dévorée par son intensité. Je m’accroche à lui, mes doigts glissant dans ses cheveux, incapable de résister à cette vague brûlante. Il m’embrasse comme s’il voulait me marquer, comme si je lui appartenais entièrement. Quand il s’écarte enfin, je suis haletante, mon cœur battant à toute vitesse. Il colle son front au mien, son regard planté dans le mien avec une intensité déstabilisante. — Tu es à moi, Maria… souffle-t-il,

Puis, brusquement, il attrape le dossier qu’il avait posé dans la bibliothèque, l’enfonce sous son bras et quitte la chambre sans un regard de plus. La porte claque derrière lui, me laissant seule, tremblante, le cœur battant à tout rompre.Je m’écroule sur le lit, des sanglots m’échappant malgré moi. Et pourtant, au milieu de ma peur… je sens toujours son parfum, collé à mes lèvres.Je crois qu’il ne reviendra pas. Allongée dans le noir, je fixe le plafond, le cœur toujours tambourinant, incapable de trouver le sommeil. Chaque image du dossier me hante, surtout le petit garçon au sourire éclatant… Innocent.La poignée de la porte grince soudain. Je me redresse, la respiration suspendue. Hardin entre, ses cheveux encore humides, une serviette autour du cou. La lumière du couloir trace ses traits durs, mais son regard est d’une intensité troublante.— Tu n’as pas dormi, constate-t-il d’un ton neutre.Je ne réponds pas. Je me contente de le fixer, partagée entre colère et peur.Il avanc

Il s’écrase contre moi, ses lèvres capturant les miennes dans un baiser féroce, sa langue envahissant ma bouche comme pour me posséder entièrement. Son bassin se plaque au mien et je sens la dureté de son désir me provoquer à travers le tissu de nos vêtements.Je tente de reprendre le contrôle, mes mains glissant vers sa ceinture, mais il les attrape, les immobilise au-dessus de ma tête, son souffle effleurant mon oreille.— Non, chérie… ce soir, c’est moi qui décide.Son ton autoritaire, cette noirceur dans sa voix, me transpercent et je sens un mélange de peur et de plaisir m’envahir. Il libère une de mes mains, assez pour qu’il puisse glisser la sienne entre mes cuisses. Il presse contre le tissu déjà humide de ma culotte et je me cambre, incapable de contenir le gémissement qui m’échappe.— Putain… t’es trempée rien qu’à cause de sa, ricane-t-il, sa bouche effleurant ma mâchoire.Ses doigts se glissent sous la fine dentelle, effleurant ma chaleur avec une lenteur insupportable. Mo

La lumière dorée de l’hôtel m’aveugle un instant lorsque nous franchissons les grandes portes vitrées. Le marbre étincelant, les lustres suspendus et le murmure des conversations donnent à l’endroit une atmosphère somptueuse.Hardin garde sa main posée sur le creux de mon dos, une pression ferme qui me guide comme une poupée. Chaque pas est calculé, chaque sourire forcé. J’ai l’impression d’entrer sur une scène dont je ne connais pas le script.Les regards se tournent vers nous. Murmures, chuchotements… certains sourires admiratifs, d’autres teintés de jalousie. Je sens mon cœur battre plus vite, mais Hardin, lui, semble savourer cette attention.Son père s’avance parmi les convives, rayonnant dans son costume parfaitement taillé.— Ah, vous voilà ! dit-il d’une voix chaleureuse qui résonne dans la salle.Il prend mon bras et m’attire brièvement vers lui, déposant un baiser presque paternel sur ma joue.— Maria, tu es splendide ce soir.Je tente un sourire timide, mais la main de Hard