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chapitre 11 : le feu brûle toujours
Dernière mise à jour:
2025-08-26 00:59:09
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MARIÉ À SERIAL KILLER chapitre 14 : pas de limite pour lui
Toujours dans ses bras, je sens son souffle chaud frôler ma peau. Son regard devient plus sombre, plus brûlant, comme s’il pesait chaque seconde avant de céder. Il resserre sa prise sur ma taille, m’attirant contre lui d’un geste possessif. — Tu n’as pas idée de ce que tu viens de réveiller en moi… murmure-t-il, sa voix rauque me faisant frissonner. Avant que je puisse répondre, ses lèvres s’écrasent sur les miennes. Ce n’est pas un simple baiser, c’est une décharge, une explosion. Sa bouche exigeante, ses mains qui se crispent dans mon dos… Je me sens presque dévorée par son intensité. Je m’accroche à lui, mes doigts glissant dans ses cheveux, incapable de résister à cette vague brûlante. Il m’embrasse comme s’il voulait me marquer, comme si je lui appartenais entièrement. Quand il s’écarte enfin, je suis haletante, mon cœur battant à toute vitesse. Il colle son front au mien, son regard planté dans le mien avec une intensité déstabilisante. — Tu es à moi, Maria… souffle-t-il,
MARIÉ À SERIAL KILLER chapitre 13 : Dans le mile
Hardin me conduit dans une autre aile du manoir. Je le suis, intriguée. Nous traversons un long couloir jusqu’à une porte blindée. Il compose un code, la porte s’ouvre et je découvre une vaste salle d’entraînement. Des mannequins, des sacs de frappe, un stand de tir parfaitement équipé. Tout respire la discipline et la puissance. — Qu’est-ce qu’on fait ici ? murmurai-je, encore un peu hésitante. Hardin se tourne vers moi, ses yeux noirs brillent d’un éclat déterminé. — Tu as eu peur hier. Et je ne supporterai pas de te voir impuissante une seconde fois. Il s’approche d’un coffre métallique, l’ouvre et en sort une arme à feu. Il me la tend. — Aujourd’hui, tu apprends à tirer. Je le fixe, les yeux ronds. — Je… je n’ai jamais fait ça… — Alors il est temps de commencer, coupe-t-il d’une voix ferme. Il se place derrière moi, ses bras solides enveloppant les miens, guidant mes gestes. Sa main saisit la mienne pour corriger ma prise. — Comme ça, chuchote-t-il près de mon oreille.
MARIÉ À SERIAL KILLER Chapitre 12 : une lumière dans l'obscurité
Je reste figée, incapable de parler. Mes mains tremblent encore et mon cœur bat à tout rompre. Soudain, Hardin s’approche rapidement, son regard sombre scrutant le mien. Il y a quelque chose dans ses yeux… un éclat que je n’ai jamais vu : une peur qu’il refuse de montrer. Avant que je puisse réagir, il me prend dans ses bras. — Maria… murmure-t-il contre mes cheveux, sa voix étonnamment basse, presque fragile. Je me fige, surprise. Ses bras sont puissants, mais le contact est inattendu, chaleureux, presque réconfortant. Il serre un peu plus fort, comme pour s’assurer que je suis là, que je vais bien… ou peut-être pour s’apaiser lui-même. Je sens sa poitrine contre la mienne, le rythme rapide de son cœur. Pour un instant, je perçois l’homme derrière le monstre, l’homme qui a eu peur pour moi, pour mon frère… mais qui ne dira jamais un mot. Je ne dis rien. Je reste immobile, absorbant ce geste qui contraste tellement avec sa façade glaciale. Il finit par me lâcher doucement, s
MARIÉ À SERIAL KILLER chapitre 11 : le feu brûle toujours
Un frisson glacial me parcourt l’échine. Mes doigts retombent, impuissants. Je recule d’un pas malgré moi. Il me dévore des yeux, comme pour m’avertir : si tu oses insister, je te détruis aussi. Puis son attention revient aussitôt sur le corps pantelant du chef de gang. Comme si je n’existais plus. Je me sens minuscule, invisible. Et plus que tout… terrifiée. Je retiens mon souffle et j'vais à côté de mon frère alors que je le vois se relever. Hardin attrape son arme avec une fluidité glaciale, chaque geste précis, calculé. Mon corps tout entier se fige. Mon frère serre ma main, tremblant autant que moi. — Non… murmuré-je, mais ma voix se brise dans ma gorge. Hardin vise. Lentement. Trois tirs secs éclatent dans l’air, chacun résonnant comme un coup de tonnerre. Le chef du gang s’écroule. La tête éclatée, le corps retombe lourdement sur le sol, immobile. Un silence pesant tombe dans le hangar. Je ne respire plus. Je n’ose même plus cligner des yeux. Mon frère murmure
MARIÉ À SERIAL KILLER chapitre 10 : le monstre en lui
L’homme qui se tenait à côté du chef du gang vient de s’effondrer, la tête éclatée.Je sursaute, mon cœur manque un battement.Puis… le chaos.Des tirs résonnent de partout, des ombres surgissent, des corps tombent. Les sbires masqués n’ont pas le temps de comprendre ce qui leur arrive. Les balles fusent, sifflent, frappent.En quelques secondes, le hangar devient un abattoir.Je lève les yeux, et c’est là que je le vois.Hardin.Il avance dans la fumée, son regard noir plus glacé que jamais. Son visage est fermé, sa mâchoire crispée, ses pas résonnent lourdement sur le béton taché de sang.Autour de lui, ses hommes progressent, méthodiques, implacables, abattant chaque ennemi avec une précision chirurgicale.— Nettoyez-moi ce tas de merde, gronde Hardin d’une voix glaciale.Je tremble, incapable de détourner le regard. Ce n’est plus seulement mon mari que je vois. C’est un monstre qu’on ne peut arrêter.Un homme tente de fuir par l’arrière du hangar. Hardin lève à peine la main, et
MARIÉ À SERIAL KILLER chapitre 9 : piègé
Le vibreur du téléphone résonne dans ma main comme un coup de tonnerre. Mes doigts crispés glissent sur l’écran. Un message, sec, sans détour :« Abattoir de la vieille zone industrielle. Demain, minuit. Seule. »Mon souffle se bloque. Mes yeux s’écarquillent, et je sens mes jambes faillir. Je serre le téléphone contre moi, mon cœur tambourinant comme s’il allait briser mes côtes.Je lève un regard vers Hardin. Toujours endormi. Sa mâchoire est serrée même dans son sommeil, comme s’il luttait encore contre ses propres démons.Un instant, je me demande si je devrais tout lui dire, me jeter dans ses bras et l’implorer de sauver mon frère avec moi. Mais je connais déjà la réponse.Hardin refusera. Il me retiendra, m’enfermera, quitte à m’enchaîner plutôt que de risquer que son monde s’effondre.Alors je garde le silence.Le lendemain, j’enfile mes vêtements avec des gestes mesurés, cherchant à ne pas éveiller ses soupçons. Hardin me demande ce que je fais, et je lui réponds simplement q
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