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Lui jetant la clé, je lui ai demandé d’aller me faire entrer ma moto dans le garage.– C’est entendu, maman ; je vais te faire entrer ça dès que j’aurai fini de suivre mon dessin animé…– Quoi ? Va le faire immédiatement !– S’il te plaît maman, laisse-moi tranquille, ne viens pas gâter ma joie.Et parce que j’avais l’air d’un somnambule, je me suis calmement dirigée vers les escaliers. Toujours en marchant avec les muscles très épuisés, me voici enfin arrivée dans la chambre conjugale. Me jetant dans le lit, je ne pouvais dire exactement à quel moment le sommeil m’a emportée.Non, cette baise avait été chaude !Et voilà ce que fait une baise bien pimentée. Elle donne du sommeil.Je suis ridicule n’est-ce pas ? Ha ha ha ! Après tout, n’oubliez pas que mon vagin, c’est mon vagin ; pas pour quelqu’un ; même pas pour mon propre mari ! Il est juste là pour en goûter aussi ! Ha ha ha !J’ai tellement dormi qu’à mon réveil, j’ai continué à somnoler encore. Voyant "flou-flou-flou", je me sui

Xavier, couchée sur cette mauvaise et salle natte, ne bougeait pas. Son visage était devenu noir et tout noir.Ses parents, ayant entendu la révélation, ont commencé à me détester sur-le-champ. Sa mère qui pleurait depuis que nous l’avons emmené de Cotonou, était devenue plus inconsolable.– Oh, la sorcière, est-ce que tu as vu ce que tu as fait de mon fils ? As-tu vu ? As-tu vu ce que tu as fait à mon fils ? La nature ne te le pardonnera jamais.Et voilà, c’était le début des malédictions. Maman Xavier, dans une colère ardente, me jetait les mots de malédiction. Je pense qu’elle a quand même raison. Honteuse, j’avais ma tête basse, pleurant de toutes mes larmes. Je pleurais comme si c’était moi qui portais toutes les peines du monde.Oui, les larmes étaient énormes. Je réalisais enfin l’effet de mon acte secret. Et en tout, comment se fait-il que moi, auteure de mon propre acte, c’est plutôt mon époux qui en paie les prix. Ma mère m’a toujours dit que c’est ce qui arrive à un homme a

Ayant vu ce papier, mon cœur a sauté. Prendre ce papier et le cacher m’a hanté ; mais malheureusement, le regard de tout le monde était sur moi. On me surveillait de près.L’une des femmes m’a arraché rapidement le papier et de ses yeux coquins, l’a lu.– Ça fait votre affaire ! Qu’il le sache ou pas, ça fait votre problème ! a-t-elle dit en jetant le papier par terre et en s’emparant de la grosse valise. Poussant les autres de côté, elle les a surpassés et s’est dirigée vers le salon.– Et toi, a dit le frère de mon époux, où sont les autres biens de mon frère ?Le visage serré, je lui ai demandé de quel bien est-ce qu’il parlait.– Les milliards que mon frère dispose dans ses comptes bancaires…– Je n’en sais rien !– Tu es folle ! Espèce de grosse prostituée ! Tu penses que ses fortunes vont vous appartenir, toi et ta fille bâtarde ? Vous vous trompez sûrement.Pendant que celui-ci me parlait, les autres membres de l’équipe fouillaient dans la chambre. Pendant que d’aucuns se saisi

À ma question, ma cousine n’a répondu mot. Après m’avoir entraîné vers le lit, elle s’est retournée pour aller rabattre et verrouiller la porte.– Mais il sera bientôt onze heures et pas plus que quelques minutes, midi ! Je ne veux pas que papa et maman vienne nous surprendre dans nos bêtises…– Niel, calmos ! Je ne vois pas en quoi il s’agit des bêtises…– Rence, tu es ma petite sœur…– Rectification ! Je suis ta cousine, pas ta sœur…– Mais en quoi les deux mots sont contraires ?Alors que je cherchais à me défendre, Florence se déshabillait déjà. Tout de suite, voilà ses deux jolis seins que je n’ai jamais vus auparavant depuis trois ans que je suis sous leur toit.Eh oui, les seins de Florence et de sa petite sœur leur sont tellement précieux qu’elles n’aiment jamais que personne les voit. Je me demande même si elles permettent que leur propre mère voie ça. Car, la façon dont elles protègent tout le temps leur poitrine, j’ai réalisé que leurs seins leur étaient plus chers au monde

J’étais allé ouvrir et derrière le portail, m’attendait Charlotte, la sœur de Florence. M’observant silencieusement, ma cousine ne disait rien. Ne comprenant pas la raison pour laquelle elle m’observait, je me suis retourné, me dirigeant vers l’immeuble. Elle non plus n’avait rien dit.Sans regarder derrière, je me suis directement dirigé au salon et ensuite dans ma chambre à coucher. À l’entrée, je trouve un papier suspendu à même le sol et le ramasse. L’ouvrant, je lis : "Tu es trop bon, Niel ! Tout à l’heure, toute la maison sera uniquement à toi et moi ».Sachant de qui était la lettre, j’ai souri et me suis dirigé vers mon lit.Le regard calé vers le plafond, je pensais et pensais encore à la scène qui s’était produite il y a quelques minutes.– Ce n’est pas vrai ! Si on me disait qu’un jour, j’allais avoir cette fille dans mon lit, je refuserais, me suis-je dit.Me levant du lit, j’ai sauté de joie comme quelqu’un qui venait de gagner une loterie.Fermant les yeux, je revoyais l