บททั้งหมดของ Coucher Avec Le Milliardaire Interdit : บทที่ 61 - บทที่ 70

Chapitre 62|| Point de vue de REYES ||J'étais furieux. La frustration bouillonnait en moi, à peine contenue, tandis que je regardais mon fils, Alex, assis en silence à la table à manger. Il ne parlait presque jamais, et quand il le faisait, c'était comme lui arracher les mots de la bouche. J'avais perdu le compte du nombre de fois où j'avais essayé d'engager la conversation avec lui, pour n'obtenir que du silence en réponse. C'était exaspérant. Je me sentais comme un père raté, et ce silence me le rappelait constamment.« Alex, pourquoi tu ne me parles pas ? » demandai-je, essayant de garder une voix calme, mais échouant lamentablement. « Qu'est-ce qui ne va pas ? »Alex ne leva même pas les yeux. Son regard était fixé sur la table, ses petites mains agrippées au bord comme si c'était la seule chose qui le retenait dans ce monde. La pièce était suffocante, l'air lourd de mots non dits et d'émotions inexprimées.Kendall, toujours prête à jouer les médiatrices, est intervenue. « Ce n'

Chapitre 64|| Point de vue de DENISE ||Un appel téléphonique de ma mère m'a sortie de mes pensées concernant l'investisseur. Je n'avais pas encore entendu son nom, car cela ne faisait pas partie de mes attributions. Je travaillais aux côtés d'Alenzo en tant que partenaire commerciale. Je n'avais que des connaissances rudimentaires sur le secteur du mannequinat.Grâce à Alenzo, j'avais travaillé dur et pris des notes sur tout au fil des ans. Un sourire s'est dessiné sur mes lèvres lorsque j'ai vu l'écran de numérotation. Ma mère m'appelait de la maison. Grâce à son retour, j'étais soulagée de pouvoir laisser mon fils à la maison.J'ai répondu à l'appel avec un grand sourire, sa voix douce faisant fondre mon cœur.« Maman ! Tu es censée être à la maison avant 21 h. Je veux un gât

Chapitre 66|| Point de vue de DENISE ||« Mets-la, Denise ! Tu peux le faire. »Alenzo m'encouragea en me tapotant l'épaule. Mon dernier espoir de résistance s'était envolé. Je pensais qu'Alenzo m'empêcherait de ruiner mon image. Mais il appréciait plutôt l'idée de Reyes. Alenzo continua, en regardant la robe noire,« Je crois que cette robe est faite pour toi, Denise. Sois naturelle et porte ta robe avec confiance. »Il m'a clairement fait comprendre qu'il ne pouvait pas aller à l'encontre du souhait de Reyes Vitalies. Alenzo avait besoin d'un investisseur depuis longtemps. Après un an de lutte, il avait enfin réussi à obtenir un gros chèque d'une grande entreprise comme Vitalies. Je me suis mordu les lèvres pour m'empêcher de jurer. Je détestais le côté possessif de Reyes. S'il découvrait l'existence de n

Chapitre 68|| Point de vue de DENISE ||« Maman... j'ai vu mon fils... mon pauvre bébé... je... »Je me suis effondrée en larmes dès que je suis arrivée à la maison. Ma mère avait été mon seul soutien et je ne pouvais pas retenir mes larmes devant elle. Elle m'a tapoté le dos et m'a dit à voix basse :« Chut, ma fille ! Ares dort. Raconte-moi ce qui s'est passé. »Je lui ai tout expliqué depuis le début. Elle a eu l'air surprise après avoir tout entendu. Elle m'a caressé les cheveux avant de me demander doucement :« Chérie, je t'ai accompagnée il y a des années parce que je savais que Reyes avait tort. Mais veux-tu vraiment le repousser maintenant ? Peu importe ce que tu dis, tu l'aimes toujours dans ton cœur. »J'avais des sentiments contradictoires à propos de tout cela. C'était vrai que je n'avais pas cessé d'aimer Reyes. De plus, je me sentais coupable d'avoir tout caché à Ares. Il méritait de connaître son père. Je me souviens à quel point il était humilié à l'école parce qu'il

CHAPITRE 70 || Point de vue d'Alisa ||Vingt ans avaient passé, mais la soirée de la campagne de mannequins me semblait être le premier véritable moment fort de ma vie. Dès que j'ai mis les pieds dans l'immense salle, j'ai ressenti un étrange mélange de nervosité et de triomphe qui me nouait l'estomac. J'avais défilé sur d'innombrables podiums, je m'étais tenue sous des centaines de projecteurs et j'avais entendu des applaudissements interminables... mais cette soirée était différente. Plus grande. Plus bruyante. Plus intense. La mienne.La salle était éblouissante, baignée de lumières dorées : des lustres en cristal brillaient au-dessus de nos têtes, toutes les nuances des écrans LED géants se reflétaient sur le sol, et les invités, vêtus à la dernière mode, se déplaçaient dans la salle comme s'ils sortaient tout droit des couvertures des magazines sur papier glacé. Mannequins, photographes, dirigeants de marques... tout le monde était trop parfait, trop irréprochable.Et je me tena