Semua Bab Rejetée par l’Alpha, marquée par un autre : Bab 151 - Bab 160

Chapitre 152 - Une soirée tranquille à la maisonPOV Elle La maison était silencieuse.Un silence rare, précieux… un silence qui n’existait jamais pendant les mois de chaos que nous avions traversés. Pendant longtemps, je n’avais connu que les murmures inquiets du pack, les pas lourds des guerriers, les réunions tendues avec les anciens, ou les battements affolés de mon propre cœur.Mais ce soir-là, tout était calme.Je poussai doucement la porte en bois, tenant mon bébé tout contre moi, son poids minuscule mais rassurant contre ma poitrine. La chaleur de sa peau, son odeur légère, la façon dont ses petits doigts agrippaient la couverture… tout en lui semblait dire que le monde était enfin redevenu un endroit sûr.Derrière moi, il entra à son tour. Il referma la porte avec précaution, comme si un simple bruit pouvait briser cette paix fragile que nous n’avions jamais osé espérer.Je déposai une main sur la tête du bébé, caressant ses cheveux encore si fins.« Il dort profondément… »

La nuit était calme, presque irréelle. Pour la première fois depuis des lunes, le territoire ne résonnait pas des échos de combats, de hurlements de défi ou de murmures de trahison. Le vent caressait doucement les arbres, apportant avec lui l’odeur familière du sol, des pins et de l’herbe humide. Je tenais notre enfant dans mes bras, son souffle régulier contre ma poitrine. Chaque petit mouvement, chaque soupir me rappelait que, malgré tout ce que nous avions traversé, nous étions enfin ici, ensemble, en sécurité. Il était assis à mes côtés, juste assez proche pour que je sente la chaleur de son corps et le rythme de son souffle. Même après toutes ces épreuves, même après les combats, les exils et les trahisons, il n’avait jamais cessé d’être mon rocher, ma force silencieuse, celle qui soutenait tout ce que nous étions. Mon regard se posa sur lui, et je vis dans ses yeux les mêmes émotions que je ressentais : soulagement, amour, protection infinie. Le bébé bougea légèrement, comme s’

Une AubeLe soleil se levait sur le territoire de la meute, ses rayons inondant forêts et collines comme de l'or en fusion. Pour la première fois depuis des années, le calme régnait. Les batailles étaient derrière eux, les trahisons punies, et la meute était unie. Pourtant, cette paix était fragile, comme un murmure dans la tempête.Assise sur le promontoire dominant la vallée, elle sentait le bébé blotti contre sa poitrine. Ses petites mains se crispèrent instinctivement contre son cœur, et un instant, tout le poids du commandement, des trahisons passées et des batailles interminables sembla s'évanouir. Il était leur lumière, la preuve vivante que même dans les heures les plus sombres, l'espoir subsiste.Il se tenait quelques pas en retrait, son regard protecteur et inflexible scrutant l'horizon. Même après des années de combats, l'aura de domination qui l'entourait était restée intacte. Il avait appris, à la dure, le prix à payer pour sous-estimer les menaces. Désormais, le plus gra

POV Liora — La Première Manifestation Publique du Pouvoir de l’EnfantLe soleil se levait à peine sur notre territoire, étendant une lumière douce et dorée sur les arbres encore trempés de rosée. Je tenais notre fils contre ma poitrine, son souffle régulier me rappelant la paix fragile que nous avions enfin conquise. Dalin marchait derrière moi, vigilant, ses yeux argentés balayant les alentours, chaque muscle de son corps tendu par l’instinct de protection.Nous avions décidé de faire sortir notre enfant pour la première fois devant le pack — pas devant tout le monde, juste les membres les plus fidèles, ceux qui avaient traversé les épreuves avec nous. C’était un test, mais aussi un moment de célébration : notre famille, notre pouvoir, notre avenir.Alors que nous approchions de la clairière centrale, les murmures commencèrent. Les loups, certains accroupis, d’autres debout, observaient en silence, incertains, leurs oreilles dressées, leurs corps tendus. Même les anciens qui avaient

Paix RetrouvéePOV : LioraLe soleil se levait doucement sur notre territoire, ses rayons caressant les bois et les collines, illuminant les pelages argentés et bruns des loups rassemblés. L’air était calme, différent de toutes les nuits agitées que nous avions traversées. Pour la première fois depuis longtemps, je pouvais respirer sans la tension d’une bataille imminente, sans craindre une trahison cachée. Le territoire était paisible, et pourtant, chaque ombre semblait vibrer d’une énergie douce, presque magique.Je tenais notre fils dans mes bras, son petit corps chaud contre moi. Ses yeux brillaient légèrement, une lueur argentée qui rappelait celle de Dalin la première fois que nous avions senti ses pouvoirs. Je posai un baiser sur son front, un geste instinctif, protecteur. « Mon ange… tu es la lumière de notre monde, » murmurai-je.Dalin était assis à mes côtés, silencieux, ses yeux fixant notre fils avec une intensité que je connaissais bien. Sa main se posa doucement sur ma j