Semua Bab Rejetée par l’Alpha, marquée par un autre : Bab 161 - Bab 170

Le soleil se levait doucement sur le territoire, ses rayons perçant à travers les grands arbres et illuminant la clairière où le clan se rassemblait. L’air était calme, empreint d’une sérénité que personne n’avait ressentie depuis des années. Les combats, les trahisons, les complots — tout semblait loin, comme si ces ombres appartenaient à une autre vie.Elle tenait leur fils contre elle, la tête posée sur son épaule, sentant son petit cœur battre en rythme avec le sien. Ses yeux d’un éclat particulier brillaient doucement, et parfois, elle avait l’impression qu’il comprenait plus qu’un enfant de son âge ne le devrait. Dalin marchait à côté d’elle, imposant et tranquille, ses cicatrices visibles à peine dérangeantes à côté de l’aura de force et de protection qu’il dégageait. Il posait de temps en temps une main sur son épaule, ou effleurait la joue de leur enfant, et elle sentait alors toute la tendresse et la vigilance qu’il lui réservait.Leurs pas résonnaient doucement sur le sol d

— Les Premiers SignesLe soleil déclinait à l’horizon, projetant une lumière douce sur notre territoire. Je tenais notre fils dans mes bras, sentant sa chaleur, son souffle régulier contre ma poitrine. Il gigotait, essayant de saisir mes doigts avec ses petites mains, et un sourire involontaire étira mes lèvres. La paix que nous avions enfin trouvée avec Dalin et notre enfant semblait presque irréelle. Après toutes ces batailles, toutes ces trahisons et ces nuits blanches, nous avions enfin un moment de répit.Je levai les yeux vers Dalin. Il était assis près du feu, son regard posé sur notre fils avec une intensité presque palpable. Ses mains bougeaient doucement, caressant ses épaules, mais il restait vigilant, comme si chaque bruissement dans les bois pouvait être un signe de danger. Malgré tout, il souriait un peu en voyant les gestes maladroits de notre enfant.« Il apprend vite, » murmurai-je, plus pour moi-même que pour lui.Dalin leva les yeux vers moi, ses iris sombres et pé

Première Apparition du BébéPOV LioraJe tenais mon fils contre moi, sentant son souffle régulier et chaud contre ma poitrine. Chaque petit mouvement, chaque frémissement de ses doigts me rappelait à quel point il était précieux. Après tout ce que nous avions traversé — trahisons, batailles, peurs incessantes — ce moment de calme semblait presque irréel.« Viens, » murmurai-je à Dalin. Il me tendit les mains avec précaution, ses yeux sombres emplis de douceur et de fierté. Je savais qu’il se battait contre l’envie de tout protéger, de ne jamais me laisser partir. Mais je devais le faire. Aujourd’hui, le pack devait voir notre fils.Nous sortîmes lentement du territoire du campement principal, le soleil se couchant doucement derrière les collines, baignant le monde dans une lumière dorée et tranquille. Les loups nous observaient déjà, certains de loin, hésitants à s’approcher. Leur curiosité mêlée d’appréhension était palpable.Je sentis le cœur de mon bébé battre contre le mien et, in

Chapter 167— Des années plus tardLe vent caressait doucement les arbres du territoire, portant avec lui les senteurs familières de la forêt et le murmure lointain des loups. Le soleil se couchait, peignant le ciel de nuances d’orange et de violet, et une paix profonde régnait enfin sur le domaine que Liora et Dalin avaient reconstruit, pierre par pierre, après tant de chaos.Elle marchait lentement le long du sentier bordé de fleurs sauvages, son regard posé sur la clairière où le jeune enfant jouait. Il avait grandi, et déjà, même à son âge tendre, une lueur d’exception brillait dans ses yeux — la même lueur argentée que Liora et Dalin avaient remarquée la nuit de sa naissance. Il courait, riant aux éclats, et chaque mouvement semblait naturel et puissant à la fois.Dalin était à quelques pas derrière elle, son corps imposant se mouvant avec la grâce d’un prédateur, mais son regard était doux, entièrement tourné vers leur fils et vers elle. Il posa une main sur l’épaule de Liora, e

Chapitre — Un Temps de Paix… Mais Quelque Chose BouillonneLes saisons avaient passé comme des murmures. Le soleil brillait plus haut dans le ciel et la forêt semblait respirer une paix que le pack n’avait pas connue depuis des générations. Elle s’appuyait contre le tronc d’un grand chêne, le bébé blotti contre sa poitrine, sentant son souffle régulier, son cœur battant comme un tambour d’espoir.Il avait grandi. Ses yeux brillaient encore de cette lueur argentée, mais maintenant, elle n’était plus seulement une lumière douce ; c’était une énergie tranquille, comme une présence consciente qui rassurait tout le monde autour de lui. Les jeunes loups le suivaient en silence, curieux et fascinés, tandis que les anciens hochaient la tête, reconnaissant que ce petit être portait une force et un destin qui dépassaient leurs propres vies.Elle regarda He, qui s’était installé sur une pierre non loin d’elle, surveillant le territoire. Ses muscles, toujours tendus sous la vigilance, ne montraie