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Dos Hermanas, Un Secreto Del Don

Dos Hermanas, Un Secreto Del Don

En nuestro séptimo aniversario de bodas, estaba montada sobre las piernas de mi esposo, Lucian, el Don de la mafia, besándolo con pasión. Mis dedos hurgaban con disimulo en el bolsillo de mi costoso vestido de seda, buscando la prueba de embarazo que había escondido ahí. Quería guardarme la noticia inesperada para el final de la noche. La mano derecha de Lucian, Marco, preguntó con una sonrisa sugerente en italiano: —Don… ¿qué tal su nuevo secretito? La risa burlona de Lucian vibró en mi pecho y sentí cómo se me revolvía el estómago. Respondió, también en italiano: —Como un durazno verde. Fresco y tierno. Su mano todavía acariciaba mi cintura, pero tenía la mirada perdida. —Que esto quede entre nosotros. Si mi Donna se entera, me mata. Sus hombres rieron con complicidad, alzando sus copas y jurando guardar el secreto. El calor que sentía en el cuerpo se me fue extinguiendo. Lo que ellos no sabían es que mi abuela era de Sicilia, así que entendí cada una de sus palabras. Me obligué a mantener la calma, con la sonrisa perfecta de una matriarca, pero la mano con la que sostenía la copa de champaña me temblaba. En lugar de hacer una escena, tomé el celular, busqué la invitación que había recibido hacía unos días para un proyecto privado de investigación médica internacional y acepté. En tres días, iba a desaparecer del mundo de Lucian.
Short Story · Mafia
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L'AMOUR AVEC LE MILLIARDAIRE

L'AMOUR AVEC LE MILLIARDAIRE

Le dos de Lana heurta le mur alors que Lancelot s'avançait vers elle, les yeux remplis de frustration et d'autre chose. Quelque chose de plus dangereux . « Je ne t'appartiens pas », cracha-t-elle en levant le menton. Lance sourit, d'un sourire qui lui donna des frissons dans le dos. Ses mains s'abattirent contre le mur de chaque côté de sa tête, l'emprisonnant. « Ah bon ? » Sa voix était grave. « Alors pourquoi me regardes-tu comme si tu voulais que je te prenne ici même ? » Elle se retrouva soudain incapable de respirer et se maudit pour la façon dont son corps la trahissait. Son regard se posa sur ses lèvres et il se pencha juste assez pour qu'elle sente son souffle, sa chaleur. « Menteuse. » Elle appuya ses paumes contre son torse, avec l'intention de le repousser, mais dès qu'elle le toucha, ses doigts se recroquevillèrent, le rapprochant d'elle au contraire. « Tu vois ? Tu parles comme si tu me détestais, mais ton corps ? » Son genou se glissa entre ses cuisses, les écartant légèrement. « Ton corps raconte une toute autre histoire, ma chérie. » Lana retint son souffle, le cœur battant à tout rompre contre ses côtes. « Tu es un salaud arrogant. » « Et toi, murmura-t-il en effleurant ses lèvres contre sa mâchoire, la taquinant, la ruinant, tu trembles. « Je te déteste », murmura-t-elle, mais sa voix était essoufflée, faible. Il releva enfin la tête, sa bouche à quelques centimètres de la sienne. « Non, ce n'est pas vrai », dit-il avec assurance. « Tu me désires, Lana. Tu m'as toujours désiré. » Son pouls battait dans ses oreilles tandis que ses doigts descendaient le long de son bras, puis plus bas, effleurant à peine la courbe de sa taille.
Romance
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LE PARDON D'UNE MÈRE

LE PARDON D'UNE MÈRE

LE PARDON D'UNE MÈRE. L’ histoire d'une femme nommée Julia, cette dernière fut séparé de son petit ami Smith par ses parents. Elle était enceinte de son petit ami sans le savoir lorsque ce dernier quitta le village pour la ville à cause de la haine que les parents de Julia avaient pour lui. Julia donna naissance à une fille nommée Anny mais à cause de la haine que les parents de Julia avaient envers les parents de Smith, le père de Julia priva Julia de sa fille Anny en donnant le bébé à l’une des tantes de Julia qui vivait dans un autre village. Ils firent comprendre à Julia que son enfant était décédé lors de l'accouchement. Julia avait perdu le goût de la vie, elle se disait qu'elle avait tout perdu, Smith son petit ami et aussi le cadeau que Smith lu avait laissé avant de partir c'est-à-dire sa fille Anny. Grâce à son respect et sa gentillesse envers tout le monde, sa tante chez qui sa fille était l'avait tout avouée avant de mourir. Julia commença à chercher son enfant et quitta le village pour la ville car Anny était partie en ville lorsqu'elle avait eu son BAC , Anny aussi était à la recherche de sa génitrice car la tante de sa mère lu avait aussi dit la vérité, mais pas toute la vérité. Anny était toujours à la recherche de sa mère mais ce qu'elle ignorait, était que sa mère était avec elle dans sa maison et c'était la femme de ménage qu'elle maltraitait.
JEUNESSE/ADOLESCENT
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Don verlassen, Kinder behalten

Don verlassen, Kinder behalten

Am Tag der geplanten Zwillingsgeburt bestach ich den Hausarzt. Ich ließ mir alle starken Wehenhemmer der Klinik injizieren, um die Entbindung künstlich zu verzögern. Warum? Weil in meinem letzten Leben, Vincent Corleone – mein Ehemann, der Don – behauptete, eine geringe Spermienzahl zu haben. Um einen Erben zu hinterlassen, unterhielt er zehn Geliebte. Er verkündete: Wer zuerst einen Sohn gebäre, deren Sohn werde der nächste Don der Familie Corleone. Er sagte, sobald ich mein Kind vor allen anderen gebäre, würde er alle Geliebten fortschicken und meinem Sohn die Nachfolge der Familie überlassen. Ich glaubte ihm. Als ich unerwartet mit Zwillingen schwanger wurde, zitterte ich vor Aufregung. Doch unmittelbar nach der Geburt ließ er mich und die Neugeborenen in den kalten Weinkeller werfen und verbot jedem, sich uns zu nähern. „Lucy kommt aus einfachen Verhältnissen. Ich wollte ihrem Kind lediglich einen legitimen Status geben, damit es ihr und dem Jungen künftig besser geht. Doch du hast absichtlich Informationen durchsickern lassen! Aus Verzweiflung starb sie bei der Geburt – mit dem ungeborenen Kind.“ „Du bist so grausam, dass du es nicht verdienst, die Mutter des Erben der Familie Corleone zu sein! Denk über dein Verhalten nach, in drei Tagen lasse ich dich wieder hinaus.“ Dann befahl er dem Butler, die Kellertür von außen zu verrammeln. Doch er wusste es nicht: In jener Nacht brach im Weinkeller ein Feuer aus, und ich wurde gemeinsam mit meinen Kindern in den Flammen verbrannt. Als ich die Augen wieder öffnete, befand ich mich in der Nacht vor der Entbindung. In diesem Leben würde ich nicht länger die Donna sein. Sobald ich die Kinder geboren und meine Kräfte zurückgewonnen hätte, würde ich meine Kinder nehmen und für immer verschwinden.
Short Story · Mafia
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