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Chapitre 8

Jean a dit en fronçant les sourcils : « Tout le monde n’est pas méchant. »

« Mais je sais que vous êtes méchant, me croyez-vous imbécile ? » a grondé la fille.

Jean a poussé un soupir. À ce moment-là, Gérard a dit : « Sors ! »

La fille avait l’air triste en entendant son grand-père la gronder. Finalement, elle est sortie avec les larmes dans les yeux.

Puis, Gérard a dit en regardant Jean : « Elle est ma petite-fille, elle s’appelle Natalie Guillaume. Elle est trop jeune pour comprendre certaines choses, ne lui faites pas de reproches. »

« Ce n’est pas grave. Je me permets de vous demander, pourquoi me faites-vous confiance ? » a demandé Jean.

Gérard a éclaté de rire et a dit : « J’ai déjà plus de soixante-dix ans, j’ai déjà vécu beaucoup de choses. Il y a beaucoup de mystérieuses choses inconnues dans ce monde. J’avoue que je suis vieux, mais je suis persuadé qu’il y a beaucoup de choses que je n’ai jamais vu dans ma vie. Le plus important est que je ne veux pas mourir, tout le monde pensera comme ça quand il est sur le point de mourir. »

« Vous êtes franc », a dit Jean en riant, « alors, on commence. »

Gérard a affiché un sourire et a enlevé son vêtement en dévoilant toutes ses cicatrices.

Il avait une dizaine de blessures de couteau et cinq ou six blessures causée par des balles, sa peau était presque recouverte de blessures.

Jean a poussé un soupir et a dit : « Vous vous êtes beaucoup sacrifié pour notre pays. »

« C’est au moins ce que je peux faire », a dit Gérard, « à cette époque-là, on était pauvre et on avait rarement assez de nourritures à manger. Je n’étais pas un si grand personnage comme ma petite-fille l’a dit. »

Jean a souri et a appuyé ses mains sur le dos de Gérard pour lui donner du pouvoir spirituel.

Il contrôlait prudemment la circulation du pouvoir spirituel dans le corps de Gérard en lui disant : « Retenez l’itinéraire de circulation, faites comme ça à l’avenir. »

Gérard a hoché la tête, et Jean a continué.

Après trente-six jours de circulation de chi, Jean a retiré ses mains.

En même temps, Gérard a expiré un souffle épais d’un air choqué.

Il était tout soulagé, il ne sentait plus de pressions dans sa poitrine. En plus, il sentait que son corps était plus léger. il avait l’impression que chacune de ses cellules s’étaient renouvelées.

Il s’est lentement levé et a respectueusement dit à Jean : « Monsieur, vous êtes vraiment incroyable. »

« Vous exagérez », a dit Jean en s’avançant pour aider Gérard à se lever.

Gérard s’est à nouveau assis et a dit d’un air étonné : « Je ne m’attendais pas à rencontrer un homme qui a un pouvoir aussi incroyable que vous. »

« Monsieur Guillaume, veuillez demander aux gens d’apporter un pinceau et un papier, je vais écrire les étapes de l’entraînements pour vous », a dit Jean.

Gérard a fait un signe de main, et quelqu’un a rapidement apporté un pinceau et un papier.

Jean a réfléchi pendant un moment avant de commencer à écrire et peindre.

Après un moment, il a dit : « Ce sont les premières étapes des entraînements dragon que je pratique. Vous pouvez faire comme ça et vous serez en pleine forme. »

« Merci beaucoup monsieur », a remercié Gérard en regardant attentivement le papier.

Jean s’est levé et a dit : « Je vous laisse, au revoir. »

Gérard a précipitamment remis son vêtement et a accompagné Jean jusqu’au portail de la villa, puis, il lui a demandé son numéro avant de lui dire au revoir.

Il est resté jusqu’à ce qu’il ne puisse plus voir le dos de Jean. Il est rentré chez lui et il avait des sentiments partagés.

À ce moment-là, Nathalie est descendue. Elle regardait son grand-père et ses yeux étaient rouges.

Gérard n’a pas remarqué son expression et il a dit : « Apporte du thé, du vin et des cigarettes à monsieur Claudel dans la villa numéro dix-huit pour le remercier. »

« Papi, croyez-vous toujours à ce menteur ? » Nathalie n’a pu s’empêcher de crier.

Gérard s’est aussi mis en colère et il a dit : « Je ne sais pas s’il est un menteur ou pas, mais je t’ai demandé de lui apporter tout ça, fais-le. Si tu ne veux pas le faire, tu peux rentrer à ton université de médecine et technologie et me laisser tranquille ! »

Natalie était sur le point de pleurer, elle était triste. Pourtant, en voyant que son grand-père était en colère, elle n’osait pas dire grand-chose. Elle n’avait qu’à demander aux gens d’apporter les choses que son grand-père avait citées dans la voiture.

Les choses qu’elle avait fait monter dans la voiture étaient ce qu’il y avait de meilleur dans le monde et qui ne s’achetaient pas avec de l’argent. C’étaient des cadeaux de ses parents et des subordonnés de son grand-père. Toutes ces choses valaient quelques centaines de milliers d’euros. En pensant au fait que son grand-père voulait les donner à un menteur, elle était en colère.

Pourtant, elle est arrivée devant le portail de la villa numéro dix-huit en voiture. Elle n’est pas descendue, mais elle a appelé son père.

Après quelques secondes, l’appel a été décroché et elle a dit : « Papa, il faut que tu reviennes voir papi, il est si vieux qu’il prend le mal pour le bien. »

« Qu’est-ce qu’il s’est passé ? » une voix grave s’est fait entendre.

Nathalie a raconté : « Papi s’est fait tromper par un jeune homme. Ce dernier lui a dit qu’il était capable de soigner ses maladies et papi lui a fait pleinement confiance. Papi m’a même demandé d’offrir des cadeaux à cet homme. »

Après un long moment de silence, il a dit : « Fais d’abord ce que ton grand-père t’a demandé de faire, je m’occuperai du reste quand je reviendrai. »

« J’ai compris, papa. Alors, il faut que tu rentres vite ! » a dit Nathalie avant de raccrocher l’appel. Elle est descendue impassiblement de la voiture et a sonné à la porte de la ville devant elle.

Jean a ouvert la porte. En voyant Nathalie, il a demandé : « Que voulez-vous faire ? »

Nathalie n’a pas répondu, elle a descendu les affaires de sa voiture et les a posées devant Jean avant de dire : « Je sais bien ce que vous voulez faire. Faites attention, vous allez voir ce que vous allez voir ! »

Jean s’est figé, puis, il a dit en souriant : « Bienvenue. »

Nathalie ne voulait plus perdre son temps avec lui. Elle s’est retournée et est partie en voiture. Dans la voiture, elle était très triste.

Elle croyait que son grand-père ressemblait aux personnes âgées ordinaires qui croyait toutes sortes de bêtises en espérant de vivre plus longtemps.

Il avait ses médecins privés, la meilleure équipe médicales de la ville était à son services. Comment pouvait-il croire aux bêtises de cet homme ? »

En arrivant chez elle devant le portail, avant de descendre de la voiture, une voiture s’est arrêtée devant elle.

Une femme d’âge moyen est descendue de la voiture. En la voyant, Nathalie est précipitamment descendue de la voiture pour l’accueillir.

« Madame Royer, pourquoi êtes-vous venue ? » a chaleureusement salué Nathalie.

En la voyant, Valérie a souri et a dit : « Bonjour. »

Puis, elle a sorti un sachet de médicaments et a dit : « Ce sont les médicaments que l’équipe médicale de la ville J vient de développer, vous pouvez demander à monsieur Guillaume de les prendre. »

« C’est vrai ? »

Nathalie a pris les médicaments, elle était très contente en apprenant cette nouvelle.

Valérie a éclaté de rire et a dit : « Bien sûr. Alors, je ne dérangerai pas monsieur Guillaume, au revoir. »

« Au revoir. »

Après avoir dit au revoir à Valérie, Nathalie est rentrée chez elle d’un air content, elle est allée dans la chambre de son grand-père.

« Papi, ce sont les médicaments que l’équipe médicale de la ville J vient de développer, vous pouvez les prendre le plus vite possible, Valérie est venue spécialement pour vous les apporter. »

Gérard lui a jeté un coup d’œil et a dit d’un ton léger : « Dépose-les là-bas. »

« Non, je voudrais vous regarder les prendre », a dit Nathalie.

Gérard a dit d’un ton impatient : « Je les prendrai, sors ! »

Nathalie a fait la moue, mais finalement, elle a fait ce que son grand-père lui avait demandé de faire.

Gérard a pris les médicaments pour les regarder, puis, il les a directement jetés dans un placard et a dit en secouant la tête : « J’en ai vraiment marre des médicaments. »

Après avoir dit ça, il s’est assis et a commencé à pratiquer la médiation.

De l’autre côté.

Jean était content de recevoir ces cadeaux. Il a regardé les affaires et s’est dit d’un air content : « Oh là là, ce sont toutes les affaires qui ne s’achètent pas avec de l’argent. »

Jean a affiché un sourire et a dit : « Alors, merci monsieur Guillaume. »

Après avoir déposé les affaires, il a commencé à pratiquer la médiation. Au coucher du soleil, il a expiré un souffle blanc et a lentement ouvert ses yeux.

À ce moment-là, son téléphone a sonné. Jean a jeté un coup d’œil au téléphone, il était étonné de voir le nom qui s’affichait sur l’écran. Il a décroché et a dit : « Que veux-tu faire ? »

« Jean, je t’appelle pour te raconter une bonne nouvelle, il faut que tu sois calme », a dit Lina d’un ton extrêmement content.
Commentaires (1)
goodnovel comment avatar
Sekou Diallo
C'est bien
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