MasukSi vous et la femme que votre mari n'a jamais pu oublier aviez un accident de voiture en même temps, qui est-ce qu'il sauverait ? Quand Étienne Dupont a pris dans ses bras la femme qu'il n'a jamais pu oublier et qu'il est parti, Adèle Caron, avec la vie qui s'échappait d'elle, a perdu non seulement son enfant, mais aussi son cœur. Par un simple échange, Adèle avait réussi à épouser l'homme qu'elle aimait plus que tout. Tout le monde savait que ce mariage, elle l'avait arraché — en brisant l'union entre Étienne et la femme dans son cœur. Elle croyait qu'avec le temps, il finirait par voir son cœur, qu'un jour il se retournerait enfin vers elle. Jusqu'à ce qu'elle enterre de ses propres mains l'enfant qu'elle portait depuis trois mois. Ce jour-là, elle s'est réveillée. « Divorçons. » Un simple papier, et tout était réglé. Trois mois plus tard, parmi les robes éclatantes et les visages souriants, elle est montée sur scène pour recevoir un prix. L'homme l'a regardée, surpris, puis a déclaré calmement à ceux qui l'entouraient : « Oui, c'est ma femme. » « Ta femme ? » Adèle a esquissé un sourire et lui a tendu le contrat de divorce : « Désolée, Monsieur Dupont, c'était ex-femme. » L'homme, d'ordinaire si froid et impassible, a perdu le contrôle. Les yeux rougis, la voix tremblante : « Quelle ex-femme ? Je n'ai jamais reconnu ce mot ! »
Lihat lebih banyakFlavie a délibérément mis Adèle de côté et a discuté avec enthousiasme avec Céline. Elle pensait qu'Adèle allait, comme d'habitude, lui offrir un cadeau.Elle s'est déjà préparée à jeter le cadeau sur le côté, histoire de montrer à Céline qu'elle n'aimait pas Adèle.Mais après quelques minutes, Adèle ne s'est toujours pas approchée.Flavie n'a pas pu s'en empêcher : du coin de l'œil, elle a regardé Adèle, et deux minutes plus tard, elle l'a vue s'asseoir tranquillement sur le canapé voisin, comme si de rien n'était.Elle a aussi remarqué qu'Adèle tenait simplement un petit sac cadeau dans la main.Cela ne ressemblait pas du tout à un présent pour elle.Flavie s'est sentie un peu perplexe.Est-ce que le cadeau était trop petit ? Adèle l'a-t-elle mis dans sa poche ?Non, impossible : la robe qu'elle portait aujourd'hui n'avait pas de poches.Finalement, elle n'a pas pu se retenir et lui a demandé : « Adèle, où est mon cadeau ? »Adèle ne s'attendait pas à cette question soudaine. Elle es
En réalité, Adèle s’y était déjà habituée.Flavie entretenait une très bonne relation avec son frère Étienne, et puisque lui la détestait, Flavie adoptait souvent la même attitude, ironique et piquante, dès qu’elle voyait Adèle.Elle la raillait fréquemment, affirmant qu’elle n’était pas digne d’Étienne et qu’elle n’était qu’une intruse entre lui et Céline.Au début, Adèle en souffrait beaucoup.Pour gagner l’affection de Flavie, elle avait cherché à connaître ses goûts, lui offrait des cadeaux, collectionnait pour elle des objets et des autographes à l’étranger liés à ses artistes préférés.Flavie les acceptait, mais sans jamais lui montrer la moindre reconnaissance. Chaque fois, elle se contentait de lui lancer un rire moqueur avant de dire : « Ne crois pas que j’ignore ce que tu essaies de faire. »« Et ne t’imagine pas qu’avec ce genre de cadeaux tu pourras m’acheter. Même si tu continues à me flatter, tu resteras toujours la troisième personne entre mon frère et Céline. Je ne te s
Quand elle a fini de se laver, il lui restait encore beaucoup de temps.Tout à coup, ne sachant pas comment s’occuper, elle s’est laissée aller à rêvasser un moment, puis elle s’est allongée sur le lit.Peut-être que trop de choses s’étaient passées ces deux derniers jours, dès qu’Adèle a fermé les yeux, elle s’est rapidement endormie.Quand elle s’est réveillée de nouveau, il était déjà midi le lendemain.Encore un peu engourdie, Adèle est descendue du lit, mais à peine s’est-elle levée qu’elle a senti une douleur piquante à son pied.Elle a alors remarqué que son petit orteil, qu’elle avait heurté par mégarde la veille au soir, était maintenant rouge et enflé sans qu’elle sache pourquoi.Cependant, elle avait prévu d’aller chez les Dupont un peu plus tard, et il n’y avait déjà plus assez de temps pour passer à la clinique.En voyant cela, Adèle a simplement appliqué un peu de médicament, puis elle est sortie.D’ordinaire, Étienne n’aimait déjà pas beaucoup rentrer chez lui avec elle.
Adèle a réfléchi un instant.Même si elle était en train de divorcer d’Étienne, la procédure n’était pas encore officiellement terminée ; en principe, elle faisait donc toujours partie de la famille Dupont.La demande d’Étienne n’était pas déraisonnable.De plus, la grand-mère Dupont avait toujours été très gentille avec elle ; il était normal qu’elle aille lui dire bonjour.Adèle n’a pas refusé : « D’accord, j’y serai. »En entendant sa voix douce et docile, Étienne a baissé les yeux vers les dossiers posés devant lui.Les documents que Léo lui avait remis indiquaient qu’Adèle vivait désormais dans le plus vieux quartier de Neuville : un endroit vétuste et modeste, où même les conditions de vie laissaient à désirer.En voyant cela, il en avait presque ri de colère.Chaque mois, il demandait au secrétaire de lui verser près de trente mille euros de pension, et elle, malgré cela, avait choisi de s’installer dans un logement aussi délabré.Était-ce volontaire ?Voulait-elle susciter sa p
Craignant que Léo refuse, la secrétaire a joint les mains devant elle et a murmuré d’un ton suppliant : « S’il vous plaît, s’il vous plaît… »Léo a poussé un léger soupir et a fini par acquiescer : « D’accord, je vais le remettre. Retournez à votre poste. »La secrétaire, soulagée comme si on venait de lui accorder une grâce, a aussitôt hoché la tête et, de peur qu’il ne change d’avis, est partie en trottinant sur ses talons hauts, presque en courant.Léo a secoué la tête avec impuissance, puis il est revenu jusqu’à la porte du bureau. Il allait frapper, quand il s’est souvenu des paroles récentes d’Étienne : toutes les affaires concernant la famille Caron devaient désormais être décidées par lui.Après un instant d’hésitation, il s’est dit qu’il valait mieux éviter d’irriter encore son patron.Sa main, suspendue devant la porte, est finalement retombée. Puis il a tourné les talons et s’est éloigné en silence.…Chez les Caron.« Vraiment ? La famille Dupont a confirmé l’investissement
En entendant ces mots, Léo a eu l'impression de comprendre enfin pourquoi Étienne était de si mauvaise humeur.Il semblait bien qu'il s'était encore disputé avec Adèle.Mais Léo était déjà habitué à ce genre de situation.Depuis leur mariage, Étienne gardait toujours une certaine rancune et ne montrait presque jamais un visage aimable à Adèle.Pourtant, même lorsque le comportement d'Étienne devenait excessif, Adèle ne se mettait jamais en colère ; elle gardait tout pour elle et digérait silencieusement ses émotions.Ainsi, même après leurs désaccords, ils retrouvaient toujours leur manière habituelle de se comporter dès le lendemain.Leur mariage semblait avoir atteint une forme d'équilibre subtil.Contrairement aux doutes du monde extérieur, Léo avait, sans trop savoir pourquoi, la conviction que ce couple durerait.Et puis, il connaissait bien le caractère de son patron. Si Étienne n'avait vraiment pas voulu de ce mariage, il n'aurait certainement pas laissé la situation durer jusqu












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