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Chapitre 191 : le mari de ma tante 37

Penulis: Déesse
last update Terakhir Diperbarui: 2025-05-18 01:23:18

Djena

La voiture roule en silence, mais l’atmosphère dans l’habitacle est chargée de tension. Je n’arrête pas de penser à la soirée qui m’attend, à l'excitation de découvrir un peu plus Romain et à cette sorte de curiosité qui m’envahit. Je me sens partagée, à la fois nerveuse et impatiente, mais aussi étrangement sereine. Cette idée de passer du temps avec lui, de m’ouvrir davantage à lui, m’effleure comme une douce promesse.

Romain m’amène à sa maison, un lieu moderne et spacieux, avec des fenêtres grandes ouvertes sur un jardin qui semble parfaitement entretenu. Il gare la voiture dans l’allée, et, avant même que j’ai eu le temps de sortir, il se précipite pour ouvrir ma porte, dans un geste simple mais tellement attentionné. Ce genre de petites attentions qui me font sourire sans que je puisse le contrôler. Il prend ma main et m’invite à le suivre à l’intérieur. L’entrée est accueillante, avec des couleurs chaudes qui contrastent agréablement avec la froideur des murs blancs. La
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    Le dilemme de JackJack La soirée a été étrange, presque irréelle. Josiane et moi avons partagé un moment de bonheur pur après l’annonce de la grossesse, et pourtant, une partie de moi reste figée, coincée dans une autre réalité, une autre passion. La chaleur de son corps contre le mien, les promesses d’une vie à trois avec notre futur enfant… tout cela me réchauffe le cœur, m’apporte un calme que je n’avais pas imaginé. Mais ce calme, il est fragile, et tout à coup, je me retrouve seul dans le salon, seul avec mes pensées.Je m'assois sur le canapé, le regard perdu dans la lueur tamisée des lampes. Tout est calme autour de moi, presque trop calme. Le silence me pèse, me force à affronter une vérité que j'avais soigneusement ignorée ces dernières semaines : Djena. Elle me hante encore, sa silhouette, son sourire, la chaleur de ses lèvres. Chaque regard qu'elle m’a lancé, chaque caresse échangée, reste ancré en moi, comme une brume difficile à dissiper.Je me passe une main sur le vis

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    Josiane La lumière du soir entre doucement dans la pièce à travers les rideaux tirés, créant une atmosphère chaleureuse, presque intime. Le bruit des passants dehors se mêle à celui de la télé qui tourne en fond, mais tout semble lointain, presque irréel. Le moment est enfin arrivé. Je suis là, assise sur le canapé, les mains légèrement tremblantes. Jack est dans la cuisine, en train de se servir un verre d’eau après sa journée de travail. J’observe ses gestes familiers, cette manière qu’il a de se déplacer, comme un ancrage dans ma vie, un point de stabilité.Ce soir-là, quelque chose dans l’air me dit que c’est le bon moment. Ce matin, le test a confirmé mes soupçons : je suis enceinte. Le médecin a confirmé la nouvelle. Un frisson d’émotions traverse mon corps à cette pensée. Mais l’angoisse aussi. Comment va-t-il réagir ? Vont-ils nous prendre au sérieux, ce bébé et moi ? Je suis prête à tout, mais le cœur tambourine fort dans ma poitrine.Je le vois s’avancer vers moi, un sourir

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    Djena La voiture roule en silence, mais l’atmosphère dans l’habitacle est chargée de tension. Je n’arrête pas de penser à la soirée qui m’attend, à l'excitation de découvrir un peu plus Romain et à cette sorte de curiosité qui m’envahit. Je me sens partagée, à la fois nerveuse et impatiente, mais aussi étrangement sereine. Cette idée de passer du temps avec lui, de m’ouvrir davantage à lui, m’effleure comme une douce promesse.Romain m’amène à sa maison, un lieu moderne et spacieux, avec des fenêtres grandes ouvertes sur un jardin qui semble parfaitement entretenu. Il gare la voiture dans l’allée, et, avant même que j’ai eu le temps de sortir, il se précipite pour ouvrir ma porte, dans un geste simple mais tellement attentionné. Ce genre de petites attentions qui me font sourire sans que je puisse le contrôler. Il prend ma main et m’invite à le suivre à l’intérieur. L’entrée est accueillante, avec des couleurs chaudes qui contrastent agréablement avec la froideur des murs blancs. La

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    Djena Le dîner commence, et tout autour de moi disparaît peu à peu. Le restaurant que Romain a choisi est tout simplement magnifique. Il y a des chandelles sur chaque table, créant une lumière douce et tamisée. Les murs sont dans des tons chauds qui rendent l’ambiance encore plus intime. Chaque détail semble avoir été pensé pour cette soirée, mais c’est lui, Romain, qui occupe toutes mes pensées. Il est si beau, et chaque geste qu'il fait me fait me sentir comme la seule personne dans ce monde.Je me regarde dans le miroir une dernière fois avant de partir. La robe noire qu'il m'a offerte ce matin m’embrasse parfaitement. Elle me va à la perfection, et je me sens plus belle que jamais. Je suis nerveuse, excitée, et mes pensées sont complètement tournées vers lui. Je me demande ce qu’il pense de moi. Je me sens à la fois fragile et puissante, comme si je pouvais tout avoir ce soir. Mais au fond, je sais que je veux tout de lui. Et plus encore.Quand il arrive enfin, je le vois se fauf

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    Djena Comme chaque matin , après avoir pris ma douche , je prends mon petit déjeuner et je fais sortir mes marchandises . Les clientes commencent à venir peu à peu . J'ai rendez-vous avec Romain ce soir , je ne fais que penser à lui , il est si beau ! Et si gentil , mais surtout , il me fait ressentir tellement de choses . Plus que ce que Jack me fait ressentir . J'ai décidé de me lancer à l'eau .Je veux découvrir plus . Je veux sentir ses belles mains sur mon corps , je veux sentir sa bouche sur la mienne . Je deviendrai folle , si je ne touche pas sa belle poitrine bien dure ! Il est bien plus jeune et bien plus beau que Jack , en plus , il est bien plus riche ! Et c'est ce qui me fait douter : que ferait un homme aussi riche avec une femme comme ? Il peut avoir toutes les femmes qu'il veut , et s'il couche avec moi et me laisse tomber après ? Et s'il se fou après de moi ? Merde , je ne peux pas entretenirune relation avec deux hommes en même temps ? Pourtant j'ai peur ! si je lai

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    Jack Les jours passèrent, et avec eux, les tensions semblaient s’intensifier. J'avais bien réfléchi après ma confession. Chaque conversation que nous avions eue depuis ce moment-là avait pris une tournure différente. Je n'étais plus juste un ami de longue date, je n'étais plus l'homme calme et rassurant que j'avais toujours été. Mes aveux, mon amour, avaient jeté une ombre nouvelle sur notre relation, une ombre qui me perturbait autant qu’elle m'intriguait.Mais ce qui se passait dans ma vie ne se limitait pas à ce qui se passait entre nous. En dehors de nos échanges, dans l’ombre de cette dynamique, ma tante, Josiane, commençait à percevoir des changements subtils mais inquiétants.Un jeudi soir, alors que je rentrais chez moi après une journée bien remplie, je remarquai que je n’étais toujours pas rentré. C’était devenu un phénomène assez fréquent ces derniers temps. Je semblais plus souvent à l’extérieur, à des heures de plus en plus tardives, mon téléphone constamment dans ma mai

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    Djena La journée avait été longue pour moi, marquée par une série de pensées contradictoires. Les heures s’étaient étirées lentement, comme si le poids de mes choix à venir alourdissait chaque seconde. Après le départ de Jack, je m’étais retrouvée seule avec mes pensées, cherchant désespérément une manière de réconcilier mes émotions et mes désirs. Mais plus j’y réfléchissais, plus je me sentais partagée, tiraillée entre l'attraction mystérieuse que je ressentais pour Romain et la relation plus stable, plus rassurante que je partageais avec Jack.Ce soir-là, alors que je me trouvais à la table de la cuisine, les pensées de Jack revenaient me hanter. J'avais décidé de l’appeler, d’obtenir plus de clarté sur mes propres sentiments et, peut-être, d'en apprendre davantage sur ce qu’il ressentait véritablement. Nous avions beaucoup de choses à discuter, et je ne voulais pas que les non-dits s'installent entre nous. Après tout, Jack avait été mon premier homme, un ami , et il avait une pla

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    La porte d’entrée s’ouvrit lentement, et je levai les yeux, sentant mon cœur battre plus fort que je ne l’aurais voulu. À peine avais-je eu le temps de me remettre de ma rencontre avec Romain, que voilà Jack, un visage familier et, d’une manière ou d’une autre, bien plus réconfortant dans cet instant. Il souriait, un sourire que je connaissais bien, celui qu’il réservait après une longue journée."Salut, tu vas bien ?" me demanda Jack, posant un regard doux sur moi.Je lui rendis un sourire timide, une vague de chaleur traversant mon corps. "Salut," répondis-je, cherchant à lire dans son regard. "Ça va. Et toi ?""Fatigué, mais rien de grave." Il referma la porte derrière lui, et ses yeux se firent un peu plus sérieux. "Je suis content que tu sois là, tu sais."Je hochai la tête, sentant une complicité étrange naître entre nous, malgré les questions qui me hantaient encore. Notre relation n’était pas parfaite, mais il y avait quelque chose de simple et apaisant avec Jack. Ses bras m’e

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