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Beranda / Romance / Ma Femme, Ma Secrétaire / Chapitre 255

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Chapitre 255

Penulis: Adeola
Il les rate la plupart du temps à cause de Mallory, et je vois dans son regard qu’il est là uniquement parce que Kaïs est présent.

Cole ne rate jamais ce qu’il considère comme amusant.

« Je suis sincèrement surpris de te voir ici », dit Kaïs.

Cole ricane. « Ne me regarde pas comme ça, je fais partie de la famille aussi. » Il renifle l’air et se frotte les mains. « On peut manger maintenant ? Je me suis affamé toute la journée pour ça. »

Alors que nous nous asseyons autour de la table, Damian, le dernier enfant de Madame Annie, entre en bondissant, son énergie contagieuse.

« T’es le copain de Lucie ? », demande-t-il avec une franchise désarmante.

Kaïs bégaye presque en cherchant une réponse. Il me regarde, puis reporte son attention sur le garçon curieux. « Euh… quelque chose comme ça, oui. »

Damian marque une pause avant de hausser les épaules. « Cool. » Puis il va s’asseoir comme s’il n’avait pas juste fait transpirer Kaïs.

Je retiens mon rire face à son air sincèrement désorienté, pu
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  • Ma Femme, Ma Secrétaire   Chapitre 418

    CHAPITRE 104 [Un autre enfant perdu]ELAINE (8)J’ai gardé les yeux fixés sur la nourriture, mes mains agrippant le bord de la couverture enroulée autour de moi. Mon estomac s’est tordu douloureusement, mais la peur dans ma poitrine m’a figée. Je ne lui ai pas fait confiance.Il n’a pas semblé vouloir me faire du mal. Mais cela ne voulait rien dire. Dans cette maison, l’amour et la cruauté se ressemblaient jusqu’à ce qu’il soit trop tard pour faire la différence. Mon père me l’a montré.Ma question est restée suspendue entre nous. Pourquoi m’a-t-il donné de la nourriture ?La réponse de Justin est arrivée une seconde plus tard.« Tu veux vraiment que je t’explique pourquoi ? » Il a fait un geste vers moi. « Tu n’as clairement rien mangé depuis des jours. »J’ai ricané, mes lèvres se sont fendillées à cause de la sécheresse. « Depuis quand ça t’importe ? »Il a hoché la tête lentement, comme s’il acceptait le coup. « C’est vrai », a-t-il dit calmement. « Mais je te l’offre mainte

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    CHAPITRE 102 – [Aucune condition et un nom de milliardaire]SÉBASTIEN(3)Au moment où je suis entré dans la maison, le silence m’a accueilli comme une gifle en pleine figure. Pas de voix, pas de pas, pas de Sophie jouant la fille modèle comme je lui avais ordonné. Juste le silence et le léger grincement des lattes de bois alors que je refermais la porte derrière moi.Ils n’étaient pas là, et même si j’aurais dû me demander pourquoi, cela ne m’a pas dérangé. En fait, c’était exactement ce dont j’avais besoin. La frustration et la colère me rongeaient de l’intérieur, et j’avais besoin de les laisser sortir. J’ai été fier de moi d’avoir volé l’une des clés du domaine sans que mon père s'en rende compte, la dernière fois que je suis venu ici.Ce vieux sénile. Il ne s’en est probablement même pas aperçu, trop occupé à s’extasier sur sa relation naissante avec sa bâtarde de fille.Sans perdre de temps, j’ai traversé la maison comme une tempête, j’ai arraché les tiroirs, feuilleté des dos

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    CHAPITRE 101TIMOTHÉEJe n’ai pas su ce que c’était, ni comment l’appeler exactement. Ce sentiment qui m’a serré la poitrine au moment où Sophie m’a regardé comme un inconnu et est partie avec un véritable inconnu.Mais quoi que ce fût, je l’avais déjà ressenti.Je l’avais ressenti la nuit où elle avait mis fin à notre relation.Cette nuit-là m’a hanté plus que je ne voulais l’admettre. L’image de ses yeux remplis de larmes et de sa voix tremblante s’était logée quelque part dans les coins sombres de mon esprit. Je m’étais dit que je m’en fichais, qu’elle reviendrait, qu’on finirait par passer à autre chose. Mais je ne l’avais jamais fait. Pas vraiment.Et maintenant, elle l’avait refait.Mais cette fois, elle ne s’était pas simplement éloignée. Elle était partie avec un autre. Un inconnu. Un type dont elle ne connaissait même pas le nom. Un type qui avait eu l’audace d’intervenir, de s’interposer entre nous et de l’emmener pendant que je restais là, comme un putain d’idiot.Je

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    CHAPITRE 99 — Tu l’as entendue, non ?SOPHIE La canette de jus que je tenais à la main avait déjà chauffé. Je n’en avais pris que deux gorgées, mais je l’ai jetée dans la poubelle la plus proche comme si elle m’avait personnellement offensée.Venir ici avait été une erreur — encore une fois.Je n’aurais pas dû laisser les paroles enthousiastes de mon père ou la présence exaspérante de Timothée troubler mon jugement. Je n’avais pas été assez forte pour être près de lui.Je me suis tournée vers l’entrée du parcours de golf et j’ai commencé à marcher, vite, avec détermination. Plus je sortais vite d’ici, mieux c’était. Derrière moi, j’ai entendu ses pas. Bien sûr qu’il m’avait suivie.« Où est-ce que tu vas ? » a demandé Timothée, sa voix décontractée, mais incapable de cacher son inquiétude.« À la maison », ai-je dit sans m’arrêter.Il m’a rapidement rattrapée. « On vient juste d’arriver. »« Et j’en ai déjà assez eu », ai-je répliqué en continuant de marcher. « Ça ne sert à ri

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    Elle n’avait jamais rien su de ma famille, jusqu’à ce que je débarque chez elle cette nuit-là, en larmes. Elle m’avait accueillie sans poser de questions, m’assurant qu’il y aurait toujours une place pour moi chez elle. Orpheline ayant grandi seule, Céleste m’avait traitée comme une sœur.Il n’était donc pas surprenant que je n’aie pas pu m’empêcher d’éclater en sanglots en la voyant.Un hoquet aigu m’a échappé, et soudain, j’ai commencé à marmonner — à bafouiller — les mots sont sortis plus vite que je ne pouvais les penser.« Il m’a retrouvée. » Ma voix était rauque, à peine un murmure, mais pleine de panique brute. « Il était là. Il a toujours su où j’étais. Sébastien était là. »Le visage de Céleste s’est assombri. Elle s’est précipitée vers moi, s’est accroupie, ses mains fermes sur mes épaules. « Quoi ? » a-t-elle soufflé, les yeux écarquillés.J’ai secoué la tête violemment, ma poitrine se soulevant trop vite, la panique me serrant la gorge. « Il — il m’a suivie. Il sava

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    CHAPITRE 99 [ Enroulées autour de sa taille ]~SOPHIE~J’aurais dû rester à la maison. Cette pensée n’a cessé de tourner dans ma tête depuis que je suis montée dans la voiture, et à chaque seconde qui passait, j’ai regretté ma décision encore plus. Le trajet jusqu’au terrain de golf a été silencieux – du moins en termes de conversation. Intérieurement, j’ai hurlé.Mon père s’est installé confortablement sur le siège passager pendant que Timothée a conduit. Durant ce temps, j’ai été coincée à l’avant à côté de lui, avec rien d’autre que la console centrale pour nous séparer. Et j’ai détesté être aussi consciente de sa présence.Chaque petit moment avant ce trajet a été une attaque contre mes sens. D’abord, aider mon père à sortir de son fauteuil roulant pour s’installer dans la voiture a fait que nos doigts se sont frôlés plus d’une fois. Et à chaque contact, une étincelle non désirée a parcouru mon bras, laissant ma peau frissonner là où sa main m’a touchée.Ensuite, soulev

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    CHAPITRE 98 [ À me faire tourner en bourrique ]~SOPHIE~Je me suis raclé la gorge et j’ai rapidement fait un pas de côté, mettant un peu d’espace entre nous avant de faire quelque chose que j’aurais regretté.Comme l’embrasser.Ou pire — le laisser m’embrasser.Parce que, peu importe à quel point j’avais voulu le détester, peu importe combien j’avais tenté d’enterrer chaque sentiment, mon corps avait eu ses propres idées frustrantes. Et mon Dieu, la façon dont il s’était présenté n’avait rien arrangé.J’avais déjà vu Timothée en costume sur mesure, avec l’allure d’un PDG de magazine. Je l’avais vu en tenue décontractée, terriblement attirante, mettant en valeur sa carrure.Mais aujourd’hui, avec simplement un t-shirt bleu moulant, un short de sport blanc et des lunettes de soleil posées sur sa tête, il avait réussi à être encore plus ravageur.Le bleu de son t-shirt s’était accroché à lui, soulignant chaque centimètre sculpté de son torse et la force solide de ses biceps. Ces mê

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