" Ahmed..." murmurait -elle étouffée au milieu de mes baisers acharnés.
Techniquement, j'ai répondu par un gémissement, accroché à ses lèvres: " oui bébé..."
Nos baisers deviennent plus impatients, nos mains ne cherchent plus à contenir le désir qui gronde en nous. Elle est là, contre moi, son souffle court se mêle au mien, et chaque contact de sa peau me fait frissonner d’une manière que, je n’ai jamais connue.
Je sens ses doigts glisser sous le cole de ma chemise blanche , effleurant doucement ma peau, traçant des lignes invisibles qui embrasent chaque centimètre de mon être. Mon cœur bat plus fort plus rapidement, comme s'il va s'arracher.
Je laisse mes mains descendre le long de son dos, la rapprochant davantage, comme si la distance entre nous était devenue pénible. Ses grosses seins s'écrasent contre mon torse d'athlète.
Elle penche légèrement la tête en arrière, ses lèvres légèrement ouvertes, et ses yeux fermés, dans une sorte d’abandon totale. Je plonge mes lèvres dans la courbe de son cou, nichant puis goûtant la douceur de sa peau avec ma bouche, cela a déclenché un soupir de sa part. Elle a émet un son léger, tirant vers un murmure, qui m’ a électrisé davantage mon désir de la baiser, encore une fois.
“ Ahmed… a t'elle soufflé" d’une voix si basse qui passait presque inattendue, mais j'ai entendu. Elle adorait mes lèvres sur sa poitrine.
Je l'ai soulevé légèrement, la faisant glisser sur mes cuisses, son corps a épousé le mien avec une telle fluidité qu’il a semblé naturel qu’elle soit là, comme si nos corps avaient toujours été faits pour s’assembler de cette façon. Chaque mouvement est une danse silencieuse, une salsa mouvementée, ça paraissait inoubliable.
J'ai senti ses mains explorer mon torse avec une lenteur exquise, et j'ai répondu à chaque geste, caressant la courbe de ses hanches, effleurant sa taille avec une douceur presque machiavélique, comme si chaque toucher était sacré. Comme cette épouse sacrée qu'elle soit devenue pour moi.
Ses mains tremblent légèrement alors qu’elle a décidé déboutonner ma chemise. J'ai pu sentir son souffle s’intensifier au fur et à mesure que nous nous rapprochons du but, du projet tant attendu, d'un moment unique à la vie d'un couple.
" Dis-moi que tu as beaucoup de ton mari. Ai-je murmuré près de son oreille."
" J'ai besoin de mon mari.'' A-t-elle répondu avec une voix tremblante, chargée d'émotions et de passion brûlante.
'' Tu en es certaine? Tu veux que ton mari te prend avec lui ce matin ?" Ai-je encore demandé pour avoir le carnet, je veux augmenter le plaisir entre nous.
Je l'ai regardé dans les yeux, j'ai mordillé tendrement son menton.
Elle a répondu juste par un léger gémissement, ses mains s’aventurent sur ma peau nue, et je la sens se tendre, comme si chaque fibre de son corps réagissait à mes caresses. Je désire ma femme avec une intensité qui me surprend à moi même.
Je me suis concentré uniquement sur son cou et son visage pour lui donner plus de plaisirs. J'ai envie de m'appliquer plus que la dernière fois maintenant que nous nous sommes mariés, nous avons tout notre temps.
Nous nous retrouvons à moitié allongés sur le lit, ses jambes autour de mes hanches, nos corps s’effleurent à peine, créant cette tension insoutenable qui rendait chaque contact encore plus brûlant.
Nos lèvres se sont retrouvées dans un baiser profond, langoureux, ses mains ont enfoncé dans mes cheveux alors que je l' ai serré contre moi, comme si je craignais qu’elle ne disparaisse.
“ Dis-moi que tu me désir, et que mon âge ne sera jamais une barrière pour notre couple.'' Ai- je murmuré, ma voix rauque, haletante presque.
“ Au diable votre âge chez mari, c'est toi que je veux. ” A t' elle répondu, sa voix vibrante de désir, son regard noyé dans le mien, remplie de passion et de plaisir indescriptible.
Elle s'est cambré par la suite sur moi, et j'ai perdu toute notion du temps, tout tournait autour de nous et autour de notre belle danse passionnée. Ce qui se passait entre nous était unique et intense. J'adore ce petit moment d'intimité ou nous laissons nos désirs s'exprimer.
Lentement, j'ai glissé mes mains sous sa robe, sentant la chaleur de sa peau contre mes paumes de mains. D’un geste ferme, j’ai agrippé ses fesses puis je l'ai tiré contre moi, nos corps se sont pressés l’un contre l’autre. Sa respiration s’est accélérée, mêlée à la mienne, et j'ai pu sentir son désir palpable dans l’air, lourd de tension et d'énergie débordante.
Elle a laissé échapper un léger soupir, ses mains se sont accrochés à mes épaules comme si elle cherchait un ancrage dans ce moment intense. Je l'ai sentis se cambrer contre moi encore plus, au milieu de chaque mouvement, de chaque frisson trahissant sa nervosité et son désir insatisfait.
Même si je l'avais baiser une première fois, celà n'avait rien changé ce qui prouvait qu'elle était encore à ses débuts et que je devrais faire beaucoup de travail désormais pour l'amener à marcher debout sur ce chemin paradisiaque.
Mes doigts ont remonté le long de ses cuisses, caressant doucement la peau de velours, effleurant chaque centimètre avec une lenteur calculée et mesuré à la limite de la tendresse, comme pour la rendre très folle de désir.
Elle fermait ses yeux, en se mordillant la lèvre inférieure, et je n'ai pû détacher mon regard de son magnifique visage. Chaque expression qu’elle affichait, chaque soupir qu’elle laissait échapper me poussait à aller plus loin. Je la soulève légèrement, la basculant sur le lit pour qu’elle soit allongée sur moi, son corps parfaitement aligné avec le mien.
Nos mouvements sont devenus plus urgents, plus pressés, alors que je la dévore du regard, ma main continue son exploration, tandis qu’elle se tend sous mes caresses.
Elle me regarda droit dans les yeux, sa respiration rapide, et j'ai senti la tension monter entre nous, palpable, presque électrique. Je l'ai fixé un instant, incapable de détourner le regard de ses lèvres entrouvertes, de son corps qui se frôlait au mien.
" Dis-moi comment tu voudrais que ça se passe cette fois-ci.'' Ai-je murmuré, ma voix rauque de désir, mes doigts continuant à effleurer sa peau, brûlant de voyager rapidement plus loin.
Son regard se durcit, brûlant de cette même envie, sans l’ombre d’une hésitation. " Fais-moi l'amour comme il se doit, bébé." dit-elle, chaque mot percutant, sa voix basse mais pleine d’une conviction qui fait accélérer mon rythme cardiaque mille à l'heure.
Son regard ancré au mien, elle n'a pas bougé, elle attendait que je réponde à son appel, je commencer ce boulot très rapidement. Lentement, mes mains ont parcouru son corps avec plus d'ardeur, plus de force.
J’ai passé trop de temps à refouler ce désir par le passé et nous avons beaucoup souffert tous les deux, nous avons prétendu que ce moment n’était pas inévitable. Heureusement, nous y étions.
Je m’empare de ses lèvres dans un baiser intense, tout en glissant mes mains plus haut sous sa robe, la soulevant juste assez pour qu’elle puisse la retirer. Nos souffles sont courts, précipités, et je sens chaque muscle de mon corps en feu, comme si toute cette tension accumulée pendant trois ans ne demandait qu’à exploser en cet instant.
Lorsque sa robe est ôtée, je saisis ses grosses seins nus et me mets à les sucer en me servant de ma langue. J'avais toujours fantasmé sur ces moments pareilles avec elle, dans mon lit. Heureusement, nous y étions.
Je l'ai entendu gémir, un sons qui résonna dans tout ma tête en parcourant mon être tout entier, éveillant un désir encore plus intense. Mes lèvres ont glissé lentement sur sa poitrine, goûtant la saveur de sa peau tandis que mes mains la maintiennent fermement contre moi. Chaque caresse, chaque baiser semblait amplifier l’électricité qui circule entre nous comme si nous soyons en feu.
" Bébé tu me rends fou de toi. ” Ai-je déclaré en me levant pour me déshabiller rapidement. Je restais uniquement en caleçon et, j'ai pris ensuite position entre ses cuisses.
”Qu'est-ce que tu fais...?" A t'elle demandé un peu tendue.
" Détend toi bébé.'' Ai-je déclaré pour la mettre en confiance car, elle n'avait pas expérimenté ce dont, je m'apprêtais à lui faire lors de notre première nuit ensemble.
" Tu me fais confiance ?” Ai-je demandé.
Elle a secoué la tête. Elle a voulu ajouter quelques mais je suis plus rapide, je colle ma bouche sur son clitoris: " uhm..." Elle a bondit presque hors du lit.
Je venais de glisser ma langue dans son sexe humide et pendant que je la lèche, je sentis son corps se tendre sous mon contact, chaque mouvement de ma langue déclenchait des vagues de plaisir et d'extase. Ses gémissements résonnent dans la pièce, mêlés à la cadence irrégulière de sa respiration.
Je mis une brièveté pause à mes mouvements. Je la laisse se perdre dans l’extase, une seconde après, je repris, ma langue s’attardant sur chaque recoin, explorant avec une dévotion qui ne fait qu’augmenter notre désir à tous les deux.
'' Ahmed, Ahmed…'' a t'elle murmuré en bougeant de façon circulaire ses hanches, sa voix emplie de besoin.
J’accélère mes mouvements, intensifiant chaque coup de langue, et la regarde, enivré par abus de son plaisir. Ses mains se crispèrent sur mes épaules, m’implorant silencieusement d'aller plus loin, de la pousser au-delà de ses limites.
" Je veux que tu te laisses aller… '' Ai- je soufflé entre deux caresses, déterminé à lui faire vivre une nouvelle expérience inoubliable.
Son corps s'est cambré, se soulevant légèrement contre ma bouche. J'étais heureux, j'ai su qu'elle est prête à être conduite au-delà de tout plaisir passionnel.
La tension monta, palpable dans l’air, et je me concentre sur chaque réaction qu’elle a, chaque frisson, chaque gémissement, la gardait toujours plus près de moi. Ses cuisses grandement ouvertes, elle n'attendait que moi au plus profond d'elle.
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PDV Hanna Nous fîmes un voyage de deux mois en mer. Ahmed aime s'occuper de sa fille. Il est un papa adorable. Juste comme je l'ai toujours imaginé. Une fois à Zedd, Ousmane était là, pour nous attendre. Je suis descendue du yacht avec ma valise. Vankissa s'est approché rapidement.Vankissa : '' Laisse moi prendre ça.'' A-t-il suggéré.Hanna : ''Merci. '' Ai-je répondu.Ousmane : ''Bienvenue à la maison.'' Hanna : '' Merci.'' Ai-je répondu soumise.Je me suis retournée, j'ai vu Ahmed descendre avec sa fille dans ses bras. Il semble très heureux. Sa carrure d'homme d'affaires se combine parfaitement à celle d'un papa aimant. Vankissa s'est précipité dans ses bras.Vankissa : " Mon grand frère m'a manqué.''Ahmed : " Toi aussi, Vanky " A-t-il répondu.Ousmane : ''Salem Aleikoum'' Dit Ousmane, il a pris son frère dans ses bras. Il lui donna deux tapes sur l'épaule.Ahmed: " WaleiKoum Salem." A répondu Ahmed avec fierté. Ousmane: " Comment vas-tu ?''Ahmed : ''Je suis heureux d'être
PDV Hanna Des semaines après...Ce matin, Ahmed et moi avions marché et demander de nouvelles sur ma mère. C'était pour la énième fois que nous faisons celà, et la chance nous surprenne quand quelqu'un a reconnu mon visage. Cette femme m'a conduit à ceux qu'elle pensait peut-être, je pourrais être leur descendante.Je ne sais grande chose sur ma mère. Nous avons parlé et là, mes cousines m'ont été présenté. En les voyant, j'ai eu toute suite l'impression d'être reliée à elles. C'était comme si je voyais mes petites sœurs.Je suis restée à leur côtés pendant des heures. Nous apprenons à nous connaître jusqu'à ce que l'aîné de la famille s'est présenté à moi.C'est lui, qui m'a toute suite reconnue et pour la première fois, j'ai entendu quelqu'un appelé le prénom de ma maman. J'ai été heureuse. Pendant toute la soirée, j'ai été à leur côté.Le soir, nous sommes retournés à la maison. Ahmed et moi, étions fatigués. Nous avons raconté ce qui s'est passé aux autres. Rumy était heureuse p
PDV Ahmed Nous avons regagné nos chambres respectives dans la maison qui se trouve dans la forêt de l'Amazonie où, j'ai réservé pour être en commémoration avec la nature. Hanna adore la nature, je voulais qu'elle se sente toujours comme si elle soit à Zigoulo. Un endroit où elle pourra causer avec les habitants de la forêt et rire avec eux, pendant tout le temps que nous ferons ici.La soirée a été longue et épuisante. Mais ma femme veut me rendre chaos. Elle souhaite m'abasourdi avant de se rassasier. Après que nous nous sommes séparés des autres, nous avons marché jusqu'à dans la chambre. Elle était devant et a marché jusqu'à l'intérieur. J'ai fermé la porte derrière nous. Lorsque je me suis retourné, Hanna a plongé sur moi. Elle m'a prise dans un baiser fougueu. Il y'a dans notre façon de s'embrasser, un mélange d'alcool et de désir. J'ai rythmé nos baisers à cette passion inflammatoire qui nous excite. Alors qu'elle est accrochée à moi, je marche avec elle jusqu'à dans le cana
PDV Hanna La journée suivante, nous avons organisé une soirée à six. Ahmed avait discuté avec ses deux gardes du corps. Ils sont tombés d'accord sur certaines choses. Ne pas prendre leur travail à la légère par exemple. Les deux amoureux étaient d'accord.Alors pour la soirée, j'ai porté une robe noire assez sublime qui laisse dévoiler chaque courbe de mon corps à la vue d'Ahmed. Devant le miroir, j'essayai de la fermer. Ahmed est arrivé et il s'est dirigé vers moi.“ besoin d'un coup de main, bébé ?”“ oui, avec plaisir”Il m'a aidé, alors qu'il fermait la robe, j'avais un regard sur lui. Il me fixe d'une façon sexy lui aussi. “ Tu es très belle.” il dit et dépose un baiser sur ma nuque. “ merci, toi aussi tu n'est pas mal dans ton vêtements. J'aime te voir dehors de ton costume noir”Il a esquissé. Je l'ai regardé et j'ai eu faim de ses lèvres. Nous nous embrassons lorsque deux petits coups se sont abattus sur la porte. “ Hum... qui est- ce?” Ai-je murmuré en tenant la lèvre i
PDV Hanna Arsenal s'appelle Stéphane ? ça sonnait bizarre et je voulais demander à Ahmed pourquoi n'étais je pas au courant de cela mais, l'heure était mal choisi. Rumy était en colère. Quand il lui arrive de se mettre en colère, elle devient un ouragan. Elle peut tout ravager sur son passage. Elle a été impoli envers Ahmed, je l'ai suivis du regard jusqu'à ce qu'elle disparaisse.“ qu'est-ce qui ne va pas chez elle. ” a demandé Lisa.“ je sais qu'elle peut être brute mais elle a n'a jamais été aussi violente envers ses coéquipiers.” A répondu Ahmed.“ je vais aller lui parler.” Ai-je dis.“ j'ai une grande sœur avec les mêmes traits de caractères comme ceux de Rumy. Si je peux savoir d'où vienne cette fustration, ça sera important que je vienne avec toi.” A dit Karel.“ c'est une histoire de fille, il paraît, je viens avec vous.”Les garçons restèrent avec Arsenal. Lorsque nous arrivons, j'étais frappée de tristesse d'entendre Rumy pleurer.“ Rumy....”J'ouvre la porte et entre. E
PDV Hanna Des jours après...Ahmed et moi ainsi que Romann et Karel, nous avons passé du bon moment ensemble, je me sens bien avec Karel. En ce moment, les garçons jouent au tennis près de la plage. Karel et moi sommes dans la maison avec Rumy à nos côtés. Nous regardons à travers la fenêtre, les garçons jouer.“ ils sont amis depuis longtemps ?” Rumy a demandé à Karel.“ je ne saurai répondre. Mais je sais qu'ils s'entendent très bien”“ si Ahmed avait un frère, je pense qu'il seront aussi heureux ensemble comme il est avec ton mari, karel” Dis-je.“ c'est certain.” répondit- elle.Nous les observons un moment avant de sortir. Je voulais que nous fassions un truc plus sympa ensemble. Nous étions tous les quatre en bikini. Je porte un bikini blanc, Karel est en rouge, Lisa est en noire et Rumy en matelot djean avec un soutien gorge bleu ciel.Quant aux garçons, ils sont tous en short.“ les garçons, une partie de volley ball dans l'eau, ça vous dis?” Ai-je demandé.“ j'adorerais !”