LOGIN★ Hanna
Ahmed vient de me voler dans ses bras. Il m'a tiré d'abord contre son torse, ma poitrine est entrée en collision avec son torse dur. Ensuite, il m'a porté et m'a jeté sur son épaule comme un sac de patates.
“ Aïe bébé, que fais-tu ?” Ai-je pleuré.
Mes cheveux se sont versés sur son dos, je pleurniche en lui donnant des petits coups de poing contre ce dos, musclé et solide.
Mes coups sont tellement faibles qu'il ne ressens aucun mal. Je commence donc, à agiter mes longues jambes nerveusement et pleure.
“ Allez vas y dépose moi au sol, Ahmed.” Ai-je pleurniché en le frappant toujours.
“ Calme toi,” il a asséné une petite gifle contre mes fesses.
“ Aïe bébé vas-y doucement.” Ai-je pleuré en le pinçant en retour, sur le dos.
“ merde bébé...que fais-tu?” Il a pleuré à son tour.
“ Je veux descendre.” Dis-je en le frappant encore. Il a ris.
“ Tu ne voulais pas marcher, n'est-ce pas ! Laisses- moi te porter jusqu'à dans la chambre.” Dit-il en marchant avec moi comme s'il soit un robot.
“ Mon amour arrête, c'est pas romantique, tout ça.” Dis-je.
“ Vraiment ?” A-t-il demandé.
“ Oui, oui. ” Ai-je répondu.
“ Comment veux-tu que ce soit romantique ?” Demande t'il.
“ Bébé, s'il te plaît...nous sommes en notre nuit de noces. C'est pas ainsi qu'un mari porte son épouse.” Ai-je déclaré.
“ Il porte son épouse comment ?” A-t-il demandé.
“ Avec douceur, avec amour, avec une certaine stratégie.” Ai-je répondu.
“ Sérieusement ?” A-t-il demandé.
“ Ouais !”
“ Mon amour, toi aussi ! Est-ce d'abord de cette façon qu'un homme porte sa femme, pour commencer ?” Ai-je demandé.
“ Comment...Comment un homme doit porter sa femme ?” A-t-il demandé en faisant un arrêt.
“ Nous sommes à notre nuit de noces. Un homme doit porter sa femme de façon horizontale et non vertical, comme tu le fais.‘‘ Expliquai je.
“ Écoute bébé, sur cette position là, je n'ai pas l'air d'une épouse mais j'ai l'air d'un régime de banane sur ton épaule.” Ai-je déclaré en faisant des gestes avec les mains.
“ Oui, tu auras vraiment l'air d'un régime de plantain si tu le veux. ” A-t-il déclaré.
“ Quoi ? ” ai-je demandé.
“ Oui oui, tu sais pourquoi ?” A t'il demandé. J'ai pas répondu.
“ Eh bien, je t'expliquerai bébé.” Dit-il avant de poursuivre.
“ un homme porte une femme soumise de façon horizontale, pas les femmes têtues de ton espèce, Hanna Ahmed Silvain Ahmed ” A-t-il détaillé.
“ Quoi! Moi, têtue?” Ai-je crié.
" Ouais ! Toi.” Il a fait une pause avant de répondre. Ensuite il a continué de marcher en direction de la chambre.
“ Suis- je une femme têtue, Ahmed ?” Ai-je demandé d'une petite voix en jouant avec mes doigts comme une enfant.
Il s'est arrêté un moment puis il a continué de marcher sans reprendre. Il a ouvert la porte et s'est avancé tranquillement jusqu'au lit.
Il m'a retiré de son épaule, il m'a déposé dans notre lit avec une lenteur qui en dit long. C'était comme s'il avait peur que je me casse, comme si j'étais un œuf.
Après celà, il est resté sur moi sans s'éloigner. Nous nous regardons très attentivement. Nous sommes si proche et ce rapprochement d'une proximité illimité me rend un peu nerveuse. Mon cœur bat la chamade pensant à ce qui pourrait s'en suivre.
Comme il ne m'avait pas répondu, je l'ai posé encore la même question.
“ Suis - je têtue, monsieur Ahmed ?” ma voix était petite comme un chuchoutement.
Il m'a regardé pendant une minute avant de dire: “ oui, Hanna. Il n'ya pas une femme au monde aussi têtue que toi.”
J'ai écarté mes yeux cherchant à déchiffrer s'il disait vraiment la vérité ou pas.
Il y'avait du sérieux dans son visage. J'ai levé une main, je l'ai posé d'une façon nonchalamment sur sa poitrine.
Il m'a regardé avec amusement.
“ Alors vous m'aimer malgré ce défaut de ma part, malgré que je sois une femme têtue ? Pourquoi avez-vous choisi une épouse têtue ? Est-ce que tu m'aimes ?” Ai-je demandé en jouant avec sa chaîne.
“ Bien-sûr bébé, voilà pourquoi je t'ai épousé.” A-t-il répondu en regardant mes lèvres puis mon nez ensuite mes yeux.
Nous restons dans cet état d'esprit pendant des minutes à se regarder, se manger passionnément du regard. D'un regard lourd et attentionné.
“ Tu sais, j'ai toujours crû que les choses ne seront jamais possible entre nous.” Ai-je déclaré pour briser le silence.
“ Ah bon?” A-t-il demandé curieux de savoir un peu plus.
“ Oui.” Ai-je répondu tendrement couvert sous son ombre imposant.
“ Tu m'explique voir.” Dit-il.
“ Hum... C'était simple. Car nous étions tellement différent, " Ai-je fini par avouer.
“ J'écoute...” Dit-il avec gaité.
On aurait dire qu'il prenait plaisir de m'entendre parler de nous, au passé.
Je l'ai regardé et j'ai dis: “ vous savez, vous étiez mature et respectueux, alors que moi j'étais; jeune juste une gamine agaçante. ”
“ Oui, ” Dit-il en me regardant avec beaucoup d'attention, un éclat de tendresse brillait dans ses yeux.
Il y'avait une fibre de cheveux qui cachait légèrement mon front, j'ai été surprise qu'il s'en débarrasse juste pour m'observer à grand écran.
“ Ne t'arrête pas, continue de me parler, j'aime le sons de ta voix, bébé.” A-t-il déclaré.
J'ai esquissé d'un sourire espiègle avant de poursuivre.
“ Vous étiez riche, fortuné avec des voitures de luxe, des appartements luxueux et un bon travail, une réputation colossale. Vous êtes renommé.” Dis-je d'une voix tendre et faible comme un murmure.
Il m'a regardé et a secoué sa tête. Il m'a encouragé de continuer.
“ Vous savez, j'étais juste une petite gamine, ordinaire qui n'était reconnue par personne. Une gamine qui vivait au fin fond d'un village dont personne ne connaissait le nom. Écoutez, je n'avais presque pas de vie.
“ J'étais toujours en phase préparatoire... enfin jusqu'à ce que vous arrivez dans ma vie. Vous aviez changé mon destin” Ai-je soufflé mes derniers mots.
Il m'a regardé, il a déposé un bisou chaud sur mon front. Il s'est retiré. Il a dit:
“ C'est vrai, tout ce dont tu as dis est vrai. Voilà, dis moi, il y'a quoi d'autre ? Quoi d'autre te faisait penser qu'il n'aurait jamais rien entre nous.” A-t-il demandé en fouillant mon corps de son doigt.
“Nos âges.” Ai-je déclaré. Il a arrêté de bouger un moment, il m'a regardé avec une profondeur intense.
“ Nos âges, comme une barrière à notre histoire d'amour ?”A t'il demandé pour avoir la certitude de mes dires.
“ Oui, mon amour.” Ai-je été honnête. Puis j'ai clarifié: “ Vous aviez 30 ans et moi 22.” Ai-je ajouté d'un ton lent mais ferme.
“ Oui, est-ce tout?” A-t-il demandé en attendant d'autres préoccupations.
C'était comme s'il attendait que je mette le doigt où ça fait mal. “ Vous êtes très âgé que moi. Nous avons 8 ans d'écart entre nos âges et moi, j'ai toujours voulu d'un homme jeune, qui sera peut-être plus âgé de 2 ou 3 ans que moi, mais là...”
“ Hanna, est-ce que la différence de nos âges, te cause problème dans notre couple ?” A-t-il demandé immédiatement avant que je ne puisse arriver jusqu'au bout de ma pensée.
Cette façon de couper court m'a interrompu. Cette question me fait réfléchir. On se regarde dans les yeux. Je n'arrive pas à garder le contact des yeux. Mes paupières se ferment et s'ouvrent après chaque seconde.
“ Répond moi, ” Dit- il. “ Est-ce que notre mariage a lavé toutes tes doutes ? As-tu un problème avec mon âge ?”
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Point de vue : HannaJe suis épuisée. Ahmed me conduit jusqu’à notre chambre. Je devrais me reposer pour reprendre des forces.Je prends un bain puis retourne dans la chambre. Il est là, immobile comme une veilleuse dans la nuit.AHMED : Allonge‑toi, mon amour, dit‑il doucement.Je me glisse dans le lit.HANNA : Merci mon cœur, tu es revenu pour moi, murmuré‑je avec tendresse.AHMED :Je reviendrai toujours. Je ne laisserai jamais personne te faire du mal, répond‑il, la voix chaude.Il me caresse les cheveux.AHMED :Dors, mon amour. Repose‑toi.Je m’allonge. Il reste assis à mes côtés. Mon visage est pâle, mes traits tirés par le manque de sommeil et la peur encore fraîche. Ahmed me prend dans ses bras ; je pose ma tête contre sa poitrine. Il me berce, lentement. Le sommeil me fuit : mon esprit revient sans cesse à son jumeau. Je relève la tête et le regarde dans les yeux.HANNA : Mon amour, je ne voulais pas embrasser ton frère… je l’ai pris pour toi, avouai‑je, la voix serrée.AHMED
POINT DE VUE DE DR PRUDENCE Après le drame d'Ahmed et de son clone ... dans ma maison, je me suis permise de leur suivre. Quand j'arrive au lieu du rendez-vous, je reste cachée. J'ai tout vu et j'ai tout entendu.La police avait encerclé les environs. C'était dangereux pour moi d'être vu par à cet endroit. Par crainte, je décidai de partir quand une dame est apparue dans mon champ de vision.Elle est courte et élégante. Elle semblait effrayée.Je me suis précipitée vers elle, je l'ai conduis hors de cet endroit, jusqu'à dans ma voiture.DR PRUDENCE : Vous ne devez pas vous rendre à cet endroit. La police est làbas. En plus, c'est dangereux s'il nous trouvent dans les environs, nous serons un sujet d'enquête.J'ignorais totalement l'identité de la dame que je venais de sauver. Mais, elle m'a suivi dans ma voiture sans hésitation.Depuis ma voiture, nous avons regardé la police embarquer les deux hommes qui avaient kidnappé Hanna. L'un d'eux voulait se montra têtu, l'inspecteur l'a mi
POINT DE VUE DE HANNA MOI: Oh mon Dieu ! Qui ai-je embrassé ? Pourquoi ne l'ai-je pas reconnu ??? Pourquoi n'ai-je pas su qu'il n'était pas Ahmed ... Pleurai-je en descendant les escaliers en larmes.AHMED: (Crier) Hanna, attends ... Je suis désolé de t'avoir crier dessus. Je tourne la tête. Je le regarde descendre. Il arrive. J'ai du mal à croire que je venais d'embrasser une autre personne. Pas lui.Je regarde derrière lui comme si j'étais dans un rêve. Il arrive. Il me touche. Il me présente des excuses mais je n'arrive pas à capter quelque chose. Mon esprit est loin. Peut-être était-il rester dans cette pièce avec cet autre homme qui porte son visage. Il l'a adressé comme Ibrahim. Alors c'était vrai, il a un frère jumeau. Dieu, pourquoi ils sont si compatible ?Même sa façon d'embrasser était la même chose. Sa façon de me prendre, n'était pas différent.Peut-il exister deux personnes de même ADN, un visage identique, une même corpulence, un même odeur corporelle ??? Cet h
POINT DE VUE D'AHMED Ceux qui ont enlevé ma femme ont réclamé une somme d'argent de 20 millions de dollars. C'était beaucoup d'argent. Mais pour Hanna, je suis près à tout perdre tant qu' elle reste près de moi. Je me suis rendu à la banque. Il y avait juste assez pour sauver ma femme.La police a pensé que c'était un piège. Ma famille m'a demandée de patienter. Mais, j'ai désobéi. La seule chose que j'accepte en ce moment là, c'était de laisser mon frère m'accompagner. Son plan était simple. Nous devrions leur prendre par suprise.Ils pensent que je suis seul. Ibrahim a pensé que je devrais aller négocier la libération de Hanna. Pendant ce temps, lui, essayera de savoir où se trouve t'elle pour contrecarrer leur plan.C'était un plan infaillible.J'ai accepté toute suite. Même si j'avais donné l'adresse du rendez-vous à la police, je ne pouvais pas les faire confiance de sauver ma femme comme je le ferai moi-même. En plus, j'avais Ibrahim à mes côtés.J'avais confiance qu'il
POINT DE VUE DE HANNA J'ai essayé de fuir. J'avais presque réussi à s'échapper de cette chambre froide. Mais, l'homme m'a rattrapé.Par un coup sec, il me cogna la nuque de son avant bras. Je tombe sur le sol, inerte. Quelques minutes après mon réveil, j'ai entendu des voix.C'était encore cette femme. Elle ordonna ma libération sans rien n'exiger. Elle parla d'un jeu qui devrait commencer.Mon ravisseur n'était pas d'accord de me relâcher sans demander de rançon. Sa maîtresse lui demanda de le faire et non, le contraire.Elle semblait une femme autoritaire. Mes ravisseurs n'ont pas placé ... plus de mots. Après le départ de la dame, j'avais pensé que l'homme voudrait me laisser partir. Car, d'après la femme, elle avait souhaité le retour d'Ahmed et c'était fait.Son refus de dire correctement ce à quoi; le retour d'Ahmed sur Zedd était important, amena l'homme à se rebeller contre elle.UN BANDIT: Hé patron, allez-vous vraiment écouter cette femme ? Devrions-nous relâcher madame
POINT DE VUE DE AHMED J'étais sur le point de tuer Dr Prudence, si mon frère n'intervenait. IBRAHIM: Ahmed, que fais-tu ? Elle va mourir !Il s'en presse. Il déconnecte mes mains de la gorge du Dr Prudence.Dr PRUDENCE: (Essoufflée) Oh mon Dieu ! Qu'est-ce que ...Ses yeux brillent dans l'incroyable de me voir deux fois. Dr PRUDENCE: (Étonnement) C'est quoi ça ! Ahmed, qu'est-ce qui ne va pas dans ta tête ! Et qui est-il lui ???Elle ne savait pas vraiment à qui elle parlait. Elle nous regarde. Elle reste figée. Apereux. Terrifiée.MOI: (En colère) Dis-moi où se trouve Hanna ? Où l'as tu gardé ??? Où, Prudence !Dr PRUDENCE: (Effrayée) Je ne sais pas de quoi tu parles! Hanna n'est pas chez moi.Je ne l'écoute pas. Après tout, elle et moi étions amis autrefois. Je maîtrise chaque coin de son appartement. Je me fais plaisir d'aller vérifier moi-même. Retourner chaque pièce de cet appartement.Dr PRUDENCE: (S'écrier) Ahmed, je t'interdis de fouiller ma maison ! Que cherches-tu ? Tu n'







