002: je veux être cajoler

★ Hanna 

J'ai senti sa chaleur épouser mon corps. Ses mains sont d'une telle tendresse ! C'était comme ceux d'un nouveau né.

Il pose son menton sur mon épaule nu. Sa belle barbe dur et piquante m'a caressée un peu la peau. C'était d'une façon frénétique qui rendait celà angélique et romantique. 

J'ai pincé mes lèvres, une chaleur immense a envahi mon corps.

“ Ma femme, tu fais quoi dehors à cet heure ?” A-t-il demandé.

La voix d'Ahmed était roque remplie de douceur. J'ai souris lorsqu'il a embrassé mon épaule avec tendresse avant de déposer à nouveau son menton, sur moi. 

Il a ensuite, nicher son nez contre mon cou pour aspirer mon parfum corporel qui lui avait manqué peu après que je sois sortie de la chambre.

“Je suis sortie prendre un peu d'air.” Ai-je répondu, émue et rayonnante d'amour.

“ Ma femme veut-elle me faire croire, que son cher mari chauffe plus qu'un four... voilà pourquoi elle cherche l'air à l'extérieur ?”A t'il demandé tendrement, avec amusement.

J'ai ouvert les yeux. Je dépose une main sur sa joue. 

“ Non, je n'ai pas dis celà, même si certes mon mari chauffe aussi bien qu'un four d'amour.”j'ai pleurniché en le tapotant la joue avec prudence de ne pas le faire fortement mal.

“Qu'as-tu dis? A t'il demandé avec un léger sourire sur le coin des lèvres.” Il m'a serré un peu plus contre lui-même.

Je sentis son érection près de mon corps. J'acquiesce.

“ J'étais curieuse de regarder la mer à l'aube. C'est quelque chose que je n'avais jamais vu jusqu'à maintenant.” Ai -je répondu sincèrement.

J'ai ensuite esquissé d'un sourire espiègle après mon explication. J'ai replongé mon regard vers l'étendue infini de l'océan.

“ Il fallait m'amener avec toi. ” A t'il déclaré un peu taquin cette fois-ci. En jouant toujours sur mes épaules.

“ Quoi ?! ” Ai je demandé.

“ Oui, je veux également regarder le jour se lever au-dessus de l'océan, en compagnie de ma belle et tendre épouse.” Dit-il presqu' en murmurant ses mots.

Une joie indescriptible se positionne dans mon cœur. Je le caresse lentement ensuite, je dis:

“ Est-ce encore nouveau pour toi, je pari qu'il t'était déjà arrivé, de voir ceci plusieurs fois.”

Il a gardé silence pendant une minute. D'un moment à l'autre, il m' a embrassé sur le cou, une forte chaleur s'est propagée sur mon corps. Il dépose sa tête sur la même place à mon épaule avant de dire : 

“ Certes, j'ai déjà vu ceci plusieurs fois, ça devient différent lorsque je le vois avec toi, ma femme.” A-t-il déclaré.

Un sourire espiègle s'est encore dessiné sur mon visage. J'ai rougie de reconnaissance. C'est fou qu'une fille; villageoise de 25 ans, soit soudainement devenue milliardaire grâce à son mariage. C'est un sujet dont tout le monde en parle en ce moment. 

J'aime que tout le monde en parle. Avant les gens avaient seulement entendu qu'il était marié. Personne n'avait vu, les gens n'avaient pas bu ni manger. 

Cette fois-ci, il a tout fait pour que ça soit officiel. Les gens ont bu, ils ont mangé comme il se devrait. 

Désormais, personne ne pourra plus dire, qu'il ne connaisse pas; qui est la personne d' Hanna Ahmed Silvain Ahmed.

“J'aime regarder l'océan avec toi, mon amour.” A-t-il ajouté en me ramenant à son corps.

J'ai senti son érection près que sur mon bassin. Il me donne le fibres d'émotions passionnant. J'adore la sensation qu'il me procure juste me frôlant de cette façon. 

“ Moi aussi. ” Dis-je en accord avec lui.

“ J'aimerais le faire tout le temps avec toi. ” A-t-il déclaré.

“ Nous le ferons ensemble à chaque fois que l'occasion se présentera.” Ai-je rétorqué.

“ Ça me fera plaisir.” A-t-il répondu en déposant un baiser chaud sur ma nuque qui me fait chevrier.

Il m'enveloppe dans ses bras, malgré le vent qui souffle fort, j'ai sa chaleur corporelle pour me réconforter du froid. Sa chaleur corporelle jouait le rôle inverse du vent. 

Dans ses bras, je me sentais à l'abri du froid et la fraîcheur n'atteignait plus mes os. Elle juste sur ma peau et elle me fait du bien dans mon corps.

Nous restons tranquillement sous le vent, nous observons l'océan. Quelques minutes après, 

" Bébé, le vent commence à être violent, retournons à l'intérieur." A-t-il dit.

Je l'ai regardé un moment ensuite, j'ai secoué la tête:

“ non, ’’ Ai je répondu.

“ Bébé ! ” il m'a appelé tranquillement.

“ Non, je veux rester un peu plus, dehors. s'il te plaît.” Ai-je pleuré.

“ Non chérie, le vent devient violent, c'est pas prudent de rester dehors’’

“ Bébé s'il te plaît...” Ai-je protesté encore une fois.

J'ai bougé ma tête dans tous les sens, gardant mes mains autour de ses bras qui enveloppait ma poitrine.

“ Écoute, demain nous aurons le temps d'observer l'océan, en toute sécurité. D'accord? Alors, vient avec moi. ” A-t-il supplié.

Il s'est détaché de mon corps, il m'a tenu par le bras, puis il m'a tiré en me forçant de le suivre.

“ Non bébé attend !” Ai-je déclaré en m'arrêtant.

Il m'a regardé, je l'ai observé dans ses vêtements de roi. Il ne les avait pas encore retiré. Il est beau comme un dieu égyptien. 

Hier encore, je portais un tel vêtements moi aussi. C'était avec beaucoup de diamants. J'ai pas pu supporter la lourdeur, je me suis débarrassée d'une partie de mon vêtements de mariage. 

En le voyant toujours dans les siens, je me demandais comme il a pu passer la nuit là-dedans.

“ Quoi qu'est-ce qu'il y'a encore, ne veux- tu pas quitter sous cet orage ?” A-t-il demandé.

“ Si si, je le veux.” Ai-je répondu.

“ Alors, viens.” A t'il dit en me présentant sa main.

“ Je ne peux pas. ” Ai-je pleurniché en tournant la tête ailleurs.

“ Pourquoi ?” A-t-il demandé.

“ Parce que je ne peux pas marcher. ” Ai-je déclaré.

“ Tu ne peux pas marcher ou tu ne veux pas marcher ?” Demande t-il.

“ Je veux pas marcher. ”Dis-je avec un léger sourire sur mes lèvres.

“ Pourquoi ça ?” Il a demandé avec un regard profondément calculateur.

Je souris avec un regard provocateur sur sa personne. Il sait, je veux le déranger. Mon sourire taquin disait déjà absolument tout sur mon fameux plan de désordre.

“ Hanna, viens là...” A t-il en me présentant sa main pour que je la prenne.

J'ai regardé sa main puis j'ai hoché la tête en désapprobation. Il m'a regardé et a baissé la main.

“ Tu veux que je te gronde, n'est- ce pas ? C'est ça ?” A t'il demandé, d'une voix faible.

“ Non,” ai-je secoué la tête en désaccord, ma voix plus petite que celle d'un enfant de cinq, qui sera entrain de taquiner son papa pour avoir un jeu de chatouille.

“ Alors quoi, vient.” A-t-il dit.

Il m'a montré la main à nouveau. J'ai regardé à mes pieds, j'ai secoué la tête. “ non bébé , je ne le veux pas !” Ai-je dis d'une voix faible en hochant la tête.

Il s'est sentit agacé et a dit: “ Tu veux que je te porte, n'est ce pas?”

J'ai hoché la tête cette fois-ci avec un sourire sur le coin de mes lèvres : “ oui mon amour...” 

Il m'a regardé avant de pousser un léger sourire aux coins de ses lèvres. 

Quelques instants après, son sourire a disparue. Décidément, il était près à partir sans me porter dans ses bras. 

Il a fait quelques pas sans moi. Je l'ai regardé et j'ai pincé ma lèvre inférieure priant qu'il revienne me porter dans ses bras.

J'ai des désires d'être chouchoutée la première matinée, après notre mariage officiel. Il ne pouvait pas qu'a même refuser de céder aux caprices de sa femme, non ! 

Comme il m'avait tourné le dos, je suis devenue nerveuse. 

“ Ahmed, tu t'en vas?” Ai-je demandé.

“ Tu veux être cajoler Hanna, je te vois venir.” A t'il dit sans se retourner.

Nerveusement, j'ai dis: “ et puis quoi? Dans tout les cas, c'est ton job maintenant de me cajoler. Tu dois me porter pour me faire plaisir...” Dis-je pour le taquiner un peu plus.

Il s'est retourné et m'a regardé. J'ai le visage d'une innocente, mes yeux doux de chaton qui supplié, dans les siens d'un chien en garde. Il est debout devant moi et me regarde sans action.

Le vent est la seule chose qui parle à notre place désormais. Et frénétiquement, je l'ai arraché quelques coups rapide de regards avec un léger sourire de bandit sur les lèvres.

“ Tu as raison. Tu l'aurais chercher...” Dit-il. 

Il marcha rapidement vers moi et me vola soudainement dans ses bras. 

C'était comme s'il soit un voleur de lapin ou un épervier qui vole des poussins à la mère poule. 

J'ai éclaté de rire.

“ Ahmed, s'il te plaît doucement.” Ai-je pleuré depuis ses épaules alors qu'il me conduit dans la chambre.

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