– Alors ? commence Reed en passant ses bras sur ma taille. Il t’a dit quelque chose sur tes bijoux ?
– Non, tu avais raison, dis-je en passant mes bras autour de son cou. Merci d’avoir été là pour moi, même pour un sujet aussi futile.
– Les amis sont faits pour ça, non ? répond-il de manière rhétorique.
– J’espère qu’on pourra rattraper nos années de séparation, tu m’as manqué.
– Plutôt deux fois qu’une ! Tu m’as manqué aussi, dit-il en ponctuant sa phrase d’un baiser sur mon front.
– Comment ça va avec Clara ?
De ce que je sais, des trois couples, c’est le sien qui va le mieux, mais je ne peux m’empêcher d’être inquiète.
– Très bien, cette nana est une perle. Je l’aime comme un fou.
Le so
– Alors ? commence Reed en passant ses bras sur ma taille. Il t’a dit quelque chose sur tes bijoux ?– Non, tu avais raison, dis-je en passant mes bras autour de son cou. Merci d’avoir été là pour moi, même pour un sujet aussi futile.– Les amis sont faits pour ça, non ? répond-il de manière rhétorique.– J’espère qu’on pourra rattraper nos années de séparation, tu m’as manqué.– Plutôt deux fois qu’une ! Tu m’as manqué aussi, dit-il en ponctuant sa phrase d’un baiser sur mon front.– Comment ça va avec Clara ?De ce que je sais, des trois couples, c’est le sien qui va le mieux, mais je ne peux m’empêcher d’être inquiète.– Très bien, cette nana est une perle. Je l’aime comme un fou.Le so
– Tu es prête pour le lancer de bouquet ? me demande Célia durant le vin d’honneur.Celui-ci étant bientôt terminé, elle me propose de faire une transition sympa avant le repas.– Laisse-moi juste quelques minutes, lui dis-je.– OK, dis-moi quand tu es prête alors.– Chéri, j’ai besoin que tu me prêtes ton téléphone, s’il te plaît, dis-je à James, ne voyant pas Dereck dans les parages immédiats.Il m’ouvre sa veste et je m’empare de l’appareil dans sa poche intérieure.– Ça va aller ? me demande-t-il un peu inquiet.– Tant que tu es là, ça ira.-----------------------------------------------------------------James:C’est Tanya. Tu es prêt ?Dereck:
Parrain me tend mon bouquet, puis son bras. Je m’y agrippe fermement et j’entends les premières notes de ma musique. Je commence à chanter, les rideaux s’ouvrent devant nous au refrain et je vois mon fiancé encore surpris de m’entendre, moi. Et encore plus en direct, je crois.Je m’avance avec parrain au rythme de la musique et je le vois fondre au fur et à mesure que j’avance. Les trois garçons derrière lui et mes sœurs sont de vraies fontaines, ils sourient, rient et pleurent en même temps.Parrain m’embrasse sur le front et, après l’avoir lâché, je saisis la main que James me tend, terminant la chanson juste devant lui. J’ai à peine le temps de baisser le micro qu’il attrape mon visage à deux mains pour m’embrasser.Télia vient ensuite rapidement me libérer du micro et de mon bouquet.Le
Télia revient quelques minutes plus tard avec la professionnelle. Cette dernière me fait un chignon bohème bas, constitué de tresses et de boucles, dans lequel elle ajoute des petites fleurs. Elle termine au bout de deux heures et laisse place à la maquilleuse, à qui je demande un make up doux, dans les tons rose doré.Ensuite, je mets les boucles d’oreilles en forme de couronne de fleurs que Dereck m’a offertes pour mon anniversaire. Célia détache ma ballerine et je panique.– Hé ! Qu’est-ce que tu fais ? l'attrapé-je en plaquant ma main sur le collier.– Je voulais juste t’aider, me dit-elle surprise.– Je ne veux pas l’enlever.– Mais chérie, tu n’avais pas prévu de porter celui-ci ? s'étonne ma mère en me présentant un collier double que j’ai acheté parce qu&rsqu
Comme bien souvent après une nuit torride, je me réveille avec mon fiancé dans mes bras qui dort la tête sur ma poitrine et ses bras qui m’enserre, me gardant prisonnière de tout mouvement, et nos jambes entremêlées.Je n’ai aucune envie de le réveiller, même si je sais que la journée va débuter sur les chapeaux de roues, je voudrais rester ainsi éternellement dans notre bulle de paix et d’amour, où il n’y a que nous deux. Mais c’est sans compter la personne qui frappe à la porte.Je grogne et rabats la couette sur le dos de mon chéri, comme si ça pouvait le protéger du moment où notre bulle va éclater, et j'ignore royalement celui ou celle qui nous dérange.Ça frappe une seconde fois, puis mon téléphone sonne.------------------------------------------------------------
– Bah alors, ça ne va pas vous deux ? Demande Dereck en nous voyant entrer.Il y a eu la décence de demander à voix basse, au cas où.– Si, si, répond James. On a juste un peu de mal à réaliser…–Que vous vous mariez demain ?– Non, ça, ça va, dis-je en me reprenant un peu. Tu te souviens de la discussion qu’on a eue la semaine dernière tous les quatre ? situé-je en le tirant à l’écart.– Ouais…James sort le papier qui était toujours dans sa poche.– C’est ce que ton père a viré sur notre compte, lui souffle James.– Oh déesse ! Je peux faire une réclamation pour que ce soit moi qui t’épouse demain ? taquine-t-il les yeux rieurs.– Alpha ou pas, tu mériterais que je te foute une branlée, gro