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La Malédiction de la Vie
La Malédiction de la Vie
Penulis: Foxy

PROLOGUE

Penulis: Foxy
last update Terakhir Diperbarui: 2025-05-15 07:36:46

La nuit était sombre.

La pluie tombait.

La tempête faisait encore rage.

L’océan l’avait rejetée sur le sable blanc d’une île sinistre, où nul ne pouvait s’aventurer sans risquer sa vie pour l’atteindre.

La lune éclairait son corps inconscient, étendue, encore à moitié dans l’eau.

Le souffle de vie qui l’à traversa lui fit recracher la mer de ses poumons, et son instinct la fit ramper plus haut sur la berge, pour respirer et éviter la noyade.

Elle avait réussi à se relevé.

Elle pressait sa main sur sa blessure à son avant-bras. Elle était profonde.

L’eau salée ne faisait cessé le saignement.

Le froid là tétaniser.

Le vent emporté ses cheveux.

Son doux parfum de fraises enivrante se répandait dans l’air.

Elle observait le large.

Le navire sur lequel elle était, sombrait dans les abysses.

Des souvenirs revinrent à elle en flash :

Le capitaine essayant de donner les ordres aux matelots ; les canons qui passaient de bâbord à tribord sous la houle ; la figure de proue transpercant les vagues quand elle ne se faisait pas engloutir par les flots, jusqu’au moment où le mat principal céda et se brisa, faisant chavirer le navire, et la propulsant à la mer.

Elle était miraculée. Personne n’aurait dû survivre.

L’île sur laquelle elle se trouvait était entouré d’événements climatiques imprévisibles. Seul un excellent navigateur pouvait franchir cette barrière naturelle.

Mais elle sourit. Elle luttait contre sa douleur, mais ses genoux tremblaient : ils ne la portait plus.

Elle s’effondra dans le sable, assise sur ses genoux, et eu une pensée à haute voix :

- Pas aujourd'hui...

Sa tête tomba en avant ; elle venait de perdre connaissance, sans tomber.

Au loin, un homme avait assisté à toute la scène, depuis une falaise où se trouvait un château.

Il avait vu la tempête emporter le navire.

Il avait vu cette femme s’échouée sur la plage.

En se rapprochant d’un pas léger, il s’était arrêter à proximité.

Il avait vu cette femme se relevé pour observer et analyser la situation.

Il l’avait vu sourire en s’effondrant.

Il l’avait entendu prononcer ses quelques mots.

Qui était-elle pour avoir survécu à un naufrage et échoué sur une île qu’il était l’un des seuls de ce monde à pouvoir atteindre ?

Il s’est approcher.

Il évaluait la blessure de la jeune femme.

Il l’a détaillait.

Elle avait de longs cheveux noirs tombant au milieu de son dos, un beau visage, des yeux légèrement en amandes, de belles lèvres.

Elle portait un simple débardeur, mais également un collier qui l’intriguait : le pendentif était une véritable griffe de dragon. Un petit dragon cela dit.

Comment une si jeune femme pouvait-elle en posséder une ? Même les plus grands chasseurs avaient du mal à en neutraliser un, et ce sont des créatures rares.

De plus, sa morphologie ne correspond pas à une combattante ou à une guerrière. Elle semblait être sous alimentée depuis un certain temps. Plutôt une survivante.

Mais il venait de la voir faire faire demi tour à la Mort elle-même.

Ses mots résonnaient dans son esprit, et elle avait sourit.

Quelque chose n’était pas normal.

Il se surpris à vouloir lui apporter son aide, sans comprendre pourquoi. Ce n’était pas vraiment son genre... Mais il écoutait son instinct sans se poser trop de questions pour le moment. Il en saurait sûrement plus quand elle se réveillerait.

Il fit glisser sa main droite dans le bas de son dos pour l’incliner sur son bras, passa la gauche entre ses mollets et ses cuisses pour venir la soulever dans ses bras.

Elle pesait un poids plume. Encore plus légère qu’il ne l’aurait cru. Il vit ses longues jambes pendante, lisses et tout de même musclées. Sa poitrine était ni trop petite ni trop volumineuse.

Tout ça, il s’en rendait compte en s’assurant qu’elle n’avait pas d’autres blessures apparentes.

Il prit la décision de prendre le chemin menant au château, en passant par les grottes, pour la protéger de la pluie et du vent.

Il l’à déposa au sol contre une paroie assez lisse, et nottaya la blessure à l’aide d’une mousse présente sur la roche.

Mais soudainement, les yeux de la jeune femme se mirent à rouler sous ses paupières, et des tremblements commençaient.

Les yeux qui se révulsent, les tremblements et maintenant la mousse qui apparaît sur ses lèvres : elle convulse.

Mais même là, il calcule son coup. Il observe son corps se battre, tandis qu’il vient enfin agir sur sa langue pour ne pas qu’elle s’étouffe avec, et penchée la tête sur le côté.

Lorsqu’elle se réveil brutalement, elle se redresse avant d’ouvrir les yeux et percute la tête de l’homme brutalement.

Il n’à pas bouger. Mais elle s’est réveillée trop vite. Elle est trop... Consciente.

Trop... Vivante.

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