Mag-log inMais je fus brisée de rencontrer Kaycia en bikini dans la chambre de Hervé à 6 heures du matin. Mon cœur se mit à battre la chamade. Non! il n'avait pas osé. J'étais rouge de rage.
_Vous avez passé la nuit ensemble ? J'avais demandé en larme. _De quoi tu te mêle ? M'avait demandé Hervé en retour._Hervé, tu n'as pas pu me faire ça ! pleurai je.
_Faire quoi ? Baiser avec une autre ? Tu sais déjà comment ça fonctionne entre nous. Ne cherche pas à te voiler la face. Il m'avait critiqué encore une fois.
_Mais je pensais qu'il y'avait une limite. J'avais pleuré désemparée.
_Elle te donne déjà les cours de l'abstinence maintenant, bébé ? Avait marmonné Kaycia avec un large sourire aux coins des lèvres.
J'étais abattue. Quoi faire dans une telle situation ? Dois-je lui donner cet argent ?J'étais déboussolée.
***Je m'étais calmée un moment réfléchissant sur cette affaire très sérieusement...
____As-tu le fric? Il m'avait questionné comme si c'était la seule chose qui était important. Il ne se souciait pas du tout de mes larmes.Je les avais regardé. Il était descendu du lit en caleçon et avait enfiler son pantalon.
___J'ai demandé si tu avais le fric? Arrête de nous observer.
J'avais avalé ma salive amère. Je l'avais regardé dans les yeux. Je n'avais pas peur de lui. Je savais que si Kaycia le désirai autant, c'était à cause de son argent. Mais cet argent était le mien.
J'avais passé le temps à couvrir ce mec d'argent pour qu'il me désire mais lui, il n'avait jamais de temps pour moi. Alors, je décidai sur le champ de mettre un terme à ce petit jeu. Je l'avais alors répondu.___Non!
Il m'avait regardé silencieux. Il pensait que j' étais entrain de blaguer.
___C'est une blague d'anniversaire où quoi? Demanda t'il.
____Non, je suis sérieuse.
____Attend, avait-il dit en se retournant pour regarder sa petite copine. Si tu n'as pas cet argent que fais-tu dans mon appartement ?
____Desolé d'être venue te l'annoncer sur place. Je t'avais appelé mais apparemment tu étais occupé.
Il regarda encore une fois sa petite copine et me fixa méchamment.
____Tu ne peux pas me faire ça Lisette. Tu sais que j'ai besoin de cet argent. Comment vais-je payer mon appartement, mes études et maintenant...
___Et maintenant Kaycia ? Je l'avais interrompu. Ne savait dont elle pas que l'argent que tu lui paye pour ces services venait de moi.
____Quoi? Kaycia s'était exclamé en se levant du lit. De quoi parles-tu ? Hervé est un gosse de riche tu comprends. Son père a de très grandes entreprises dans la ville.
___A t'il cité le nom d'une entreprise que possède son père ? Je l'avais questionnée.
___hmmm...
____Oublie ça ! Hervé n'est pas un gosse de riche. Tout ce qu'il a dans cet appartement vient de moi y compris le lit dont il vient de te baiser. Je déclarai. Kaycia était choquée... _____ Je suis clémente, je ne vais pas t'arracher ce que je t'ai déjà donné. Mais crois moi, tu ne recevras plus rien de moi. Tu apprendras désormais à te battre.____Bébé, écoute. Il pleurait.
____Non, ne m' interrompe pas Hervé. Je veux mettre les choses au clair entre nous.___Quoi ? Ne sois pas fâché s'il te plaît. Il me supplia.
____Bébé que ce passe t'il ? Es-ce que tu t'excuse devant cette grosse vache maintenant ? Demanda Kaycia.
___Arrête un peu Kaycia ! L'avait il grondé voyant du sérieux dans mon regard. Elle n'est pas si grosse que ça !
___Quoi !! Elle s'était exclamée. Hervé que ce passe-t-il ? Demanda t'elle.___Il se passe que la personne qui me donnait de l'argent pour que je m' habille de la sorte que tu aime et apprécie soit entrain de rompre avec moi. Que vais-je faire car même mes études, c'est elle qui les paye pour moi depuis maintenant deux ans.
___Quoi !!
____Eh ouais ! C'est la vérité. Heureusement pour lui, j'avais déjà payé pour le premier trimestre de ce mois, alors pour le mois prochain, je me demande où trouveras t'il de l'argent ?
___Mais Hervé ? Et ton père alors ? Le milliardaire dont tu me parlais.
___Ecoute, tout était faux d'accord ! Je me servais de l'argent de Mlle Williams pour attirer les jolies étudiantes vers moi.
___Mais non tu te fou de ma gueule ! Grogna Kaycia. Soudainement, elle eu un malaise et cours dans la salle de bain. Depuis la chambre, nous pouvions l' attendre vomir. Hervé me regardait avec la peur au ventre.J'avais souris pensant à l'idée que cette nana soit enceinte. Et donc, j'avais bien deviné.
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~ HENRI CARTER ~Lisette a réduit Joyce en silence. Elle l'a retourné en ridicule tout à l'heure. Le comble, plusieurs de nos amis qui riaient et se moquaient de Lisette sont d'une même voie maintenant. Ils l'acclament pour son bravoure._ Brovo ..._ Bravo Lisette.Ma mère est curieuse. Elle les interroge. Les étudiants expliquent quelques fois où Joyce a été grossière avec Lisette. Heureusement, personne ne mentionne mon nom. Ma mère ignorait quelle genre de personne était Joyce, elle est compatissante pour Lisette._ Ne l'écoute plus jamais d'accord. Tout le monde a connu un moment de galère ça de différente manière. Les Hommes sont des animaux qui critiquent les autres sans réserve. Même aujourd'hui, tu trouveras une personne qui te fera des reproches et critiquera encore ta beauté ou ta personnalité. Tu devrais les ignorer. Ok_ Oui madame Carter. _ Je t'en prie, appelle moi Rita.Lisette lui sourit. Puis sa mère touche ses vêtements et déclare :_ Peut-être nous devrions égale
~ LISETTE WILLIAMS ~Henri Carter, mon ennemi, ce garçon à l'allure dérangeant cherchait à m' aborder. Au départ je l'ai ignoré mais bon il n'a pas répliqué. Il est allé jusqu'à m'apporter à boire. Étrange. Ouais.Je me retourne vers lui. Il est très gentil aujourd'hui. Il me parle avec délicatesse. Du genre à faire fondre des cœurs et là je me laisse totalement Intriguée par ce nouveau comportement du playboy dérangeant.Cédric Carter est clairement jaloux de le voir communiquer avec moi et retenir mon attention._ Merci Henri que c'est gentil de ta part de m'offrir ce verre de tequila que j'accepte avec gratitude.Je tiens le verre. Je garde un sourire sur mes lèvres. Il passe le plateau à un autre jeune homme comme s'il avait réussi à un pari.Il se débarrasse de son tablier et reste uniquement en chemise blanche. Il est plutôt beau, oui._ Alors pourquoi le garçon qui me dérange le plus au monde se montre t'il gentil avec moi ce soir tout d'un coup ? Qu'est-ce que tu cache ?Je l
Point de vue : HenriLa soirée semblait parfaite pour tout le monde… sauf pour moi.Depuis que Lisette — Bouboule comme on l’appelait autrefois — était entrée dans la salle, je n’arrivais plus à détacher mes yeux d’elle. Elle était devenue belle. Trop belle. Son visage, sa posture, sa manière de sourire… tout me troublait.Joyce le remarqua vite. Elle me tenait la main avec insistance, comme pour me rappeler que j’étais à elle.Je finis par la repousser discrètement lorsque nous fûmes seuls dans le couloir.— Qu’est-ce qui t’arrive, Henri ? demanda-t-elle d’une voix froide.— Rien du tout.— Ne me mens pas ! Tu la regardes depuis tout à l’heure, cette Lisette ! Tu ne m’as même pas regardée une seule fois. Pas un mot, pas un compliment. Rien !— Tu exagères.— Non, je ne crois pas. Tu la dévisages comme si elle t’hypnotisait. Tu la désires, c’est ça ?— Et si c’était le cas ? C’est quoi ton problème ?— Quoi ? Tu oses dire ça ?— J’ai rien dit. Ne me fais pas dire ce que je n’ai pas d
Point de vue : Lisette Williams Comment refuser l'invitation d'un ennemi qu'on souhaite tant faire taire. Surtout que, l'ancienne moi était morte. Je savais; mes camarades de classe seront à cette soirée d'anniversaire de mariage.Je décidai d'aller. En plus ma mère y était allée à ma place. Que dira la famille Carter. Ma mère n'était pas l'invité de la soirée mais moi si.Comme j'avais d'abord décliné, elle voulait le faire pour moi, pour me trouver des excuses. J'en ai terminé avec des excuses. J'enfile une robe magnifique qui épouse toutes mes formes. J'applique un maquillage audacieux. Du sombre à la préférence. J' attachai mes cheveux. C'est la coupe chinoise avec une demi queue de cheval provocatrice.Je mis des lentilles pour embellir un peu plus mon regard. Des hautes talons. Je brille comme un diamant brute.J'arrive au lieu de fête au bon timing pour m'exposer et foudre la honte à ceux ou celles qui m'ont toujours jugé moins belle. Comme je l'avais imaginer, tous mes
Point de vue : Henri — Cédric, si tu n'as pas remise la dernière carte d'invitation ni à Mlle Spencer ni à Paul le meilleur ami de Henri ... À qui l'as- tu remise pour que tout le monde se plaignent ainsi ??? Demanda ma mère.Comme si le monde s'arrêta après la question de ma mère, nous entendîmes les pas de talons percer les marbre de ma maison avec précision et confiante.Les bruits sourds ne firent retourner vers la personne qui portait ses talons audacieuses. Au relatifs, je tournai avec hésitation ensuite mon doute s'en vola lorsque j'aperçus une robe stylée à la haute couture traînant le long du sol avec des décor de diamant dessus.Rapidement, je levais mes yeux pour voir qui était cette charmante personne :— Cindy Adams !!! Cette femme ressemblait beaucoup à la maman de mademoiselle Williams. Mais, nous la connaissions toutes sous les formes énormes et difformes. Cette nouvelle femme avait certes le visage de la maman de Lisette mais quelque chose avait changé sur elle.El
Point de vue : Henri Mme et M. Spencer se tenaient là debout devant moi à me fusionner de leurs regards parlant. Je pouvais imaginer ce qu'ils se disaient déjà dans leurs têtes : « Pourquoi n'est-il jamais venu à la maison, s'il aime notre fille ? »Je racle ma gorge. Je tiens une position de gentleman et lentement, je parle avec docilité au couple Spencer :_ Bonsoir madame, monsieur Spencer, vous-êtes les bienvenus en cette soirée de fête d'anniversaire de mes parents. Je vous prie d'agréer et me suivre par là. Je baisse la tête et le montre une direction.À la fin de mon faux discours, je laissai apparaître un faux sourire pour accompagner ma fausse bonne humeur. _ Oh ! Qu'il est charmant finalement, Joyce ! Dit madame Spencer en regardant sa fille, un large sourire sur les lèvres. Des yeux doux.Joyce fonça les cils et déclara :_ Il l'a toujours été maman sauf que dernièrement Henri me néglige un peu. Sa voix aiguë pleine de mépris me fait chier. Je garde le silence puisse qu







