Ah comme je l'avais deviné, cette nana attendait un enfant de mon petit copain. Je ne sais toujours pas d'où cette force provenait en moi. Mais j'étais déterminée à les faire face.
Deux ans, j'avais nourri ce garçon pour qu'il satisfait un seul petit besoin pour ma part et malgré tout ce dont je lui donnait, il me demandait même encore de l'argent pour un simple baisé en disant que ça coûte vraiment chère. Je vais voir ce qu'il dira à présent à cette fille qu'il avait enceinter. Dira t'il que le lait du bébé coûte vraiment chère?____Oh mon dieu Hervé, je pense que j'attends un bébé. Déclara Kaycia devant la porte.
J'avais souris puis j'avais baissé la tête.
____Il est de qui ? Demanda Hervé.
___ De toi. Avait elle répondu.
____Non ça ne peut pas être le cas. Nous nous sommes toujours protéger en plus...
____En plus quoi ? Avait crié Kaycia. Veux-tu fuire tes responsabilités maintenant ? Je te rappelles que tu es le seul gars avec qui j'ai baisé ces deux dernières mois. Ne viens pas me raconter des connerie maintenant.
Il voulait se justifier alors elle avait courut encore vers les toilettes. Je le regardai dans les yeux et déclarai.
____Felicitations tu es désormais papa. Et c'est fou comme cela arrive le jour de notre séparation officielle, si non j'aurais nourri, le père, la mère et l'enfant ! Waouh ! Je suis soulagée que cela sois arrivée lorsque que j'ai pris conscience de la bêtise que je faisais depuis 2 ans.Je m'étais retournée pour m'en aller. Il vint s' agenouillé devant moi.
____Bébé s'il te plaît, je t'en prie ne m' abandonne pas. Donne moi une seconde chance mon amour.____Ne m'appelle plus comme- ça ! Avais-je crié. Tu es désormais le père de l'enfant d'une autre femme et le papa d'un bébé innocent. Respecte toi, Hervé.
___Je sais, mais nous pouvons arranger ça non ma douce.
____Oublie moi. J'avais déclaré et sortie de là.
Il avait voulu me suivre mais la future maman de son enfant l'en avait empêché. ____Ne me laisse pas seule Hervé. Pleura t'elle.____Lisette, ma poupée, bébé, chérie écoute moi une seconde.
Hélas, j'étais en larme. J'avais stoppé un taxi et partis sans retour en arrière.***
J'arrivai chez mon professeur de sport en larmes.____Que t'arrive t'il m'avait il questionné.
____Je vient de rompre avec mon petit ami. J'avais répondu.
____Oh ! Navré, avait il dit en ouvrant la porte de son appartement. Entre il va pleuvoir.
J'entrai.
Il me posa des questions sur la raison, je lui racontai toute l'histoire. Il avait pitié de moi et m'avait prise dans ses bras pour me consoler.Je l'avais enveloppée dans mes gros bras qu'ont ne le voyais plus. Il s'était retiré alors quelques minutes d'après. Il était allé en cuisine. Il nous avait fait à manger. C'étaient des légumes. Il m'avait expliqué l'importance des légumes dans l'organisme puis l'importance des fruits également. Il m'avait conseillé de souvent les manger.
J'étais d'accord.
La pluie avait commencé, sa petite maison n'avait pas de qui ce chauffer. Il commença à avoir froid. Moi j'étais grosse, qu'il pleuve ou qu'il neige, j'avais toujours la bonne Chaleur. Je me rapprochai de lui et lui prit dans mes énorme bras.
____Que fais-tu ? M'avait il questionné.
____Vous aviez été très gentil avec moi ces derniers temps. Je voudrais vous rendre l'appareil.
____Je t 'en prie ma demoiselle, arrête de te sentir redevable. Tu sais, un professeur pour un élève ; c'est comme un parent.
____Ne peut-il pas être plus? Je lui avais demandé.
___Pardon !! C'était il exclamé.
___Un ami ou plus j'avais murmuré.
Il m'avait regardé un moment dans le silence. Nous étions très proche l'un de l'autre et petit à petit nos nez c'étaient frôler. Comme s'il brulait lui-même de me connaître.
___Es-tu sure de toi même Lisette ? M'avait il questionné hesitant de prendre mes lèvres dans les siennes.
Je le fais pour lui montrer ma détermination.
____Je le suis. J'avais répondu après avoir mise une pause sur le baisé. Et maintenant ? Êtes vous sur de vous?
____Je le suis à cent pour cent. Avait- il répondu en prenant mes joues dans ses paumes de mains.
Comme je le souhaitais, il se mit à me carresser et à me déshabille. Je pouvais voir dans son regard, qu'il ne souciait pas de mon gros ventre ni de mes grosses seins ou encore moins de mes grosses fesses de graisse comme m'insulter les étudiants.
Il était entrain de lécher chaque courbe de mon corps en me tirant de grossesse gémissements. Je me tirai comme une dingue alors que ses doigts glisse entre mes jambes.
___Ne me trouvez vous pas moche, indésirable monsieur ? Je murmurai derrière son oreille.
____J'aime manger tout ce dont les autres trouve moches et indésirable parce qu'ils restent toujours le meilleur choix, le choix idéal. Avait-il répondu.
____Et pour la position, devrais-je m'allonger ?
___Avec moi, tu peux prendre toutes les positions que tu désire ma beauté. Je sais comment travailler.
À ces mots, je m'étais relaxée et lui avait donné l'occasion de me découvrir où devrais-je dire de me baiser à sa aise.
Il me fit allongé sur le canapé. Il écarta légèrement mes genoux. Lentement il se saisit de mon slip et le fit disparaître de mes reins. Il ne vit pas toute suite ma petite chatte car elle était cachée par l'épaisseur de mon ventre.
Il ouvrit grandement mes jambes avant de la découvrir au fond cachée. Sachant que je sois vierge, après un léger toucher, il me pénètre avec un doigt. L'effet surprise de la magnifique douleur me fit crié comme une chienne.
Heureusement pour lui, il pleuvait des cordes là dehors et mes cris étaient étouffés par les bruits des gouttelettes d'eau qui tombèrent sur les toitures de chaque maison et emporté par le souffle du vent.
Il se mit à me doigter encore et encore jusqu'à creusé un deuxième trou dans mon trou. Je vis son doigt abimé de sang rouge, mon sang. Je suis que j'étais officiellement une femme.
Il était alors pour lui de me pédaler, c'était également un travail pas assez pour cet homme de 1,70 avec un de 65 kilos. Mais, il avait su quoi faire.
Il mit d'abord sa petite queue aussi petit que son poids dans ma chatte puis il le leva des deux mains, mon gros ventre qui m' empêchait de le recevoir. Petit à petit, il se mis à me piloter.
***
Après avoir été passé un savon, je terminai ma journée d'école dans les toilettes. Vers la fin de l'heure, il était tant de retourner à la maison. Je sortis des toilettes alors que tous les élèves étaient partis._ Lisette, que fais-tu dans les barrages d'école à cette heure ? Je me retournai. Je vis monsieur Luther. Il s'approcha de moi. Il remarqua aussitôt que j'étais triste._ Que se passe-t-il ? Je ne t'ai pas aperçu pendant mon cours. _ Je..._ Que me caches- tu ? Demanda t'il inquiet pour moi._ rien , monsieur. Répondis-je essayant de trouver mon chemin. _ Attend, as-tu pleuré ? Il me retint par le bras. Je gardais la tête baissée essayant de ne pas le mêler à ce qui m'arrivait. _ Parles moi, parles moi Lisette ! Que se passe-t-il ?C'était risquant pour lui de me tenir par la main, en plein établissement. Quelqu'un pouvait nous remarquer. Je l'ai repoussé._ Je vais bien, professeur! Dis-je._ okay calme toi, si tu ne veux pas en parler, je te comprend. Mais permet moi a
Mon professeur de sport vient de me rendre femme. En ce moment, il me baise sur son canapé_Bébé, hum... Je pleure._Calme toi. Me dit il en me touche la peau du corps et en perçant toujours mes seins. _Ah!! Je suis excitée et pleure des larmes et de plaisir._Ah....Ah... Il s' essouffle entre mes cuisses._ Entre dans moi, vient dans ma chatte. Pleurai je alors que le goût de ce petit m'étais sucré._ J'arrive répondit il en multipliant les coups de reins maximum.Il me prit sur cette position pendant toute la compétition. Jusqu'à ce que pour la première fois, j' atteignis le septième ciel dans parachute.J'avoue, il a été un très bon champion d'avoir réussi à piloter le gros camion que je sois. Je lui regardais satisfaite. Il me caresse les cheveux. Je me sentais plus légère à travers cette épreuve. J'étais sur d'une chose à présent, Hervé n'aurait pas pu faire ce travail.Une fois la pluie cessa, il fallait que je retourne chez moi. Dans mon université, les relations entre profes
Ah comme je l'avais deviné, cette nana attendait un enfant de mon petit copain. Je ne sais toujours pas d'où cette force provenait en moi. Mais j'étais déterminée à les faire face.Deux ans, j'avais nourri ce garçon pour qu'il satisfait un seul petit besoin pour ma part et malgré tout ce dont je lui donnait, il me demandait même encore de l'argent pour un simple baisé en disant que ça coûte vraiment chère.Je vais voir ce qu'il dira à présent à cette fille qu'il avait enceinter. Dira t'il que le lait du bébé coûte vraiment chère?____Oh mon dieu Hervé, je pense que j'attends un bébé. Déclara Kaycia devant la porte.J'avais souris puis j'avais baissé la tête.____Il est de qui ? Demanda Hervé.___ De toi. Avait elle répondu.____Non ça ne peut pas être le cas. Nous nous sommes toujours protéger en plus...____En plus quoi ? Avait crié Kaycia. Veux-tu fuire tes responsabilités maintenant ? Je te rappelles que tu es le seul gars avec qui j'ai baisé ces deux dernières mois. Ne viens pas m
Ma mère m'avait grondée le lendemain d'avoir séché les cours. Je lui avais promis de me rattraper après les congés de Noël. Car ce vendredi là même, nos bulletins de notes nous ont été distribués mais malheur pour moi, j'y étais occupée à ailleurs.Après avoir quitté ma mère, je me rendis chez mon amoureux avec le coeur joyeux, sautillant comme une enfant qui avait des bonnes nouvelles à annoncer à un ami.Mais je fus brisée de rencontrer Kaycia en bikini dans la chambre de Hervé à 6 heures du matin. Mon cœur se mit à battre la chamade. Non! il n'avait pas osé. J'étais rouge de rage._Vous avez passé la nuit ensemble ? J'avais demandé en larme._De quoi tu te mêle ? M'avait demandé Hervé en retour._Hervé, tu n'as pas pu me faire ça ! pleurai je._Faire quoi ? Baiser avec une autre ? Tu sais déjà comment ça fonctionne entre nous. Ne cherche pas à te voiler la face. Il m'avait critiqué encore une fois._Mais je pensais qu'il y'avait une limite. J'avais pleuré désemparée._Elle te donne
Le lendemain, j'avais tamponné mon professeur de sport au couloir. Il m'avait questionné sur ma disparition à son cours. Je l'avais présenté encore des excuses. Puis, je lui avais parlé brièvement du fait que les autres étudiants m' empêchaient de travailler efficacement au cours du sport et même dans les autres matières enseignées en classe parce qu'ils m' insultaient._ Ne les laisse pas te dicter ce que tu n'es pas Lissette. Dit il. À moins que tu en penses de même.J'avais la tête baissée alors il compris que j'en pensais vraiment ce que disaient mes camarades._ Okay, je pense pouvoir t'aider. Avait-il dit d'une fois rassurante. Il va falloir que tu te fasses juste un peu confiance d'accord.J'avais secoué la tête d'une façon nonchalante. " Oui" avais-je dis.Il m'avait alors suggéré de passer à son studio de l'autre côté de la ville. Il m'avait dit qu'il trouvera une solution à mon problème. J'avais alors accepté car je voulais changer pour plaire à Hervé.C'est donc ainsi que j
Je suis Lisette Adams Williams, j'ai 20 ans. Je suis étudiante. J'apprends les sciences. J'ai un chat et un chien bien garni. Mes parents viennent de divorcer à cause de moi. Mon père pense que ma mère me gâte en me permettant de manger tout ce que je veux donc il lui a demandé le divorce. Ouais, je sais c'est absurde ! Moi, je connais la vraie raison de leur divorce...Enfaite c'est un peu particulier à ce que je vis moi aussi. Car comme mon père, aucun homme ne veut d'une femme aussi grosse que ma mère; 199 kilos. Contrairement à moi, maman ne fait aucun effort pour changer sa situation. Elle continue de manger tous les jours sans se soucier de ce que pense son mari et son entourage.Par contre pour moi c'est l'enfer! Chaque garçon que je souris à la faculté me trouve moche et ne veut rien savoir de moi. Toutes les filles de ma classe et de mon école m'appellent "gros bébé."Je suis jalouse lorsque je vois mes camarades avec leur mecs. Je veux en avoir un également. Ce jour là, j