Mag-log inLe lendemain, j'avais tamponné mon professeur de sport au couloir. Il m'avait questionné sur ma disparition à son cours. Je l'avais présenté encore des excuses. Puis, je lui avais parlé brièvement du fait que les autres étudiants m' empêchaient de travailler efficacement au cours du sport et même dans les autres matières enseignées en classe parce qu'ils m' insultaient.
_ Ne les laisse pas te dicter ce que tu n'es pas Lissette. Dit il. À moins que tu en penses de même.
J'avais la tête baissée alors il compris que j'en pensais vraiment ce que disaient mes camarades. _ Okay, je pense pouvoir t'aider. Avait-il dit d'une fois rassurante. Il va falloir que tu te fasses juste un peu confiance d'accord. J'avais secoué la tête d'une façon nonchalante. " Oui" avais-je dis.Il m'avait alors suggéré de passer à son studio de l'autre côté de la ville. Il m'avait dit qu'il trouvera une solution à mon problème. J'avais alors accepté car je voulais changer pour plaire à Hervé.
C'est donc ainsi que je m'étais rendue chez mon professeur de sport avec ma tenue de gym. Il avait été sympa le premier. Nous avions causé de tout et de rien. Il m'avait même suggéré de faire régulièrement du sport c'est-à-dire, de me rendre régulièrement à son studio. J'avais accepté. Sans rien craindre, enfaite, il était mon professeur quoi ! j'étais engagée à y aller chaque jour. Déterminé à devenir maigre pour plaire à mon petit ami. ** Je venais de prendre mon bain, j'étais allongée dans mon lit jouant avec mon smartphone. J'avais alors reçu un coup file de la part de mon amoureux. _Allô bébé, où prévois-tu m'amène demain pour notre occasion? avait il demandé. _Je réfléchis encore. Répondis-je._Tu fais quoi? Il gronda depuis l'appareil. J'avais d'abord dû le retirer de mon oreille ensuite le redéposer.
_Je réfléchis. Avais-je répondu d'une petite voix pour que ma mère ne puisse pas m' entendre.
Il aurait dû me comprendre car je ne vivait plus avec mon père maintenant. Donc pour qu'il me donne une telle somme d'argent, il fallait un mensonge solide. Et j'étais entrain de chercher un pour lui. _Mais c'est une blague Lisette! s'exclama t'il nerveusement. Si tu n'as pas encore cet argent, mets déjà une croix sur ta nuit de noce avec moi. Il ajouta nerveux._Quoi? Je lui avais questionné, paniquée. Je m'étais assise au centre de mon lit. Je commençais à trembler.
_Tu m'as bien attendue. Je ne vais pas te baiser. Il déclara sans se gêner de me briser le cœur.
_Calme toi Hervé, je trouverai cet argent avant la tombée de la nuit d'accord ! Je passerai te le donner. Et pour le lieux de notre rendez-vous romantique, je ferai tout pour le trouver car cette journée sera spéciale pour moi, tu comprends ? avais-je supplié, la voix tremblante.
_D'accord jusqu'à ce soir et ne manques pas à ta parole. Il m'avait prévenue.
_Je ne le ferais pas. Avais-je dis d'un ton rassurant en mordant mes doigts.
_Cette grosse vache a vraiment envie de toi bébé. Elle est prête à tout pour que tu la baise on dirait ! La voix de Kaycia retentit dans l'appareil.
Alors, ils étaient ensemble et Hervé avait osé m'appeler pour parler d'un sujet qu'il a dit que nous devons garder secret ! M'étais -je questionnée, la boule au ventre.
J' éteins le téléphone et pleurai dans mon lit. Dans la journée, je m'étais rendue dans le bureau de mon papa et j'avais volé les clés de notre ancienne maison. J'avais roulé à cinq heures de route oubliant mes études pour aller voler la somme de 3 millions de dollars dans le coffre fort de mon père.Arriver très tard dans la nuit, je ne pouvais plus me rendre chez Hervé pour lui donner cette somme qu'il réclamait pour me baiser. Au contraire, après avoir pris ma douche, je m'étais plutôt concentrée à faire réserver un appartement entier près de la plage pour fêter l'occasion.
J'avais loué un grand appartement luxe pour deux. J'étais vraiment heureuse de devoir avoir ma première nuit romantique. C'était mon plus grand que j'étais sur le point de vouloir réaliser. Mais, vais-je y arriver? **~ HENRI CARTER ~Lisette a réduit Joyce en silence. Elle l'a retourné en ridicule tout à l'heure. Le comble, plusieurs de nos amis qui riaient et se moquaient de Lisette sont d'une même voie maintenant. Ils l'acclament pour son bravoure._ Brovo ..._ Bravo Lisette.Ma mère est curieuse. Elle les interroge. Les étudiants expliquent quelques fois où Joyce a été grossière avec Lisette. Heureusement, personne ne mentionne mon nom. Ma mère ignorait quelle genre de personne était Joyce, elle est compatissante pour Lisette._ Ne l'écoute plus jamais d'accord. Tout le monde a connu un moment de galère ça de différente manière. Les Hommes sont des animaux qui critiquent les autres sans réserve. Même aujourd'hui, tu trouveras une personne qui te fera des reproches et critiquera encore ta beauté ou ta personnalité. Tu devrais les ignorer. Ok_ Oui madame Carter. _ Je t'en prie, appelle moi Rita.Lisette lui sourit. Puis sa mère touche ses vêtements et déclare :_ Peut-être nous devrions égale
~ LISETTE WILLIAMS ~Henri Carter, mon ennemi, ce garçon à l'allure dérangeant cherchait à m' aborder. Au départ je l'ai ignoré mais bon il n'a pas répliqué. Il est allé jusqu'à m'apporter à boire. Étrange. Ouais.Je me retourne vers lui. Il est très gentil aujourd'hui. Il me parle avec délicatesse. Du genre à faire fondre des cœurs et là je me laisse totalement Intriguée par ce nouveau comportement du playboy dérangeant.Cédric Carter est clairement jaloux de le voir communiquer avec moi et retenir mon attention._ Merci Henri que c'est gentil de ta part de m'offrir ce verre de tequila que j'accepte avec gratitude.Je tiens le verre. Je garde un sourire sur mes lèvres. Il passe le plateau à un autre jeune homme comme s'il avait réussi à un pari.Il se débarrasse de son tablier et reste uniquement en chemise blanche. Il est plutôt beau, oui._ Alors pourquoi le garçon qui me dérange le plus au monde se montre t'il gentil avec moi ce soir tout d'un coup ? Qu'est-ce que tu cache ?Je l
Point de vue : HenriLa soirée semblait parfaite pour tout le monde… sauf pour moi.Depuis que Lisette — Bouboule comme on l’appelait autrefois — était entrée dans la salle, je n’arrivais plus à détacher mes yeux d’elle. Elle était devenue belle. Trop belle. Son visage, sa posture, sa manière de sourire… tout me troublait.Joyce le remarqua vite. Elle me tenait la main avec insistance, comme pour me rappeler que j’étais à elle.Je finis par la repousser discrètement lorsque nous fûmes seuls dans le couloir.— Qu’est-ce qui t’arrive, Henri ? demanda-t-elle d’une voix froide.— Rien du tout.— Ne me mens pas ! Tu la regardes depuis tout à l’heure, cette Lisette ! Tu ne m’as même pas regardée une seule fois. Pas un mot, pas un compliment. Rien !— Tu exagères.— Non, je ne crois pas. Tu la dévisages comme si elle t’hypnotisait. Tu la désires, c’est ça ?— Et si c’était le cas ? C’est quoi ton problème ?— Quoi ? Tu oses dire ça ?— J’ai rien dit. Ne me fais pas dire ce que je n’ai pas d
Point de vue : Lisette Williams Comment refuser l'invitation d'un ennemi qu'on souhaite tant faire taire. Surtout que, l'ancienne moi était morte. Je savais; mes camarades de classe seront à cette soirée d'anniversaire de mariage.Je décidai d'aller. En plus ma mère y était allée à ma place. Que dira la famille Carter. Ma mère n'était pas l'invité de la soirée mais moi si.Comme j'avais d'abord décliné, elle voulait le faire pour moi, pour me trouver des excuses. J'en ai terminé avec des excuses. J'enfile une robe magnifique qui épouse toutes mes formes. J'applique un maquillage audacieux. Du sombre à la préférence. J' attachai mes cheveux. C'est la coupe chinoise avec une demi queue de cheval provocatrice.Je mis des lentilles pour embellir un peu plus mon regard. Des hautes talons. Je brille comme un diamant brute.J'arrive au lieu de fête au bon timing pour m'exposer et foudre la honte à ceux ou celles qui m'ont toujours jugé moins belle. Comme je l'avais imaginer, tous mes
Point de vue : Henri — Cédric, si tu n'as pas remise la dernière carte d'invitation ni à Mlle Spencer ni à Paul le meilleur ami de Henri ... À qui l'as- tu remise pour que tout le monde se plaignent ainsi ??? Demanda ma mère.Comme si le monde s'arrêta après la question de ma mère, nous entendîmes les pas de talons percer les marbre de ma maison avec précision et confiante.Les bruits sourds ne firent retourner vers la personne qui portait ses talons audacieuses. Au relatifs, je tournai avec hésitation ensuite mon doute s'en vola lorsque j'aperçus une robe stylée à la haute couture traînant le long du sol avec des décor de diamant dessus.Rapidement, je levais mes yeux pour voir qui était cette charmante personne :— Cindy Adams !!! Cette femme ressemblait beaucoup à la maman de mademoiselle Williams. Mais, nous la connaissions toutes sous les formes énormes et difformes. Cette nouvelle femme avait certes le visage de la maman de Lisette mais quelque chose avait changé sur elle.El
Point de vue : Henri Mme et M. Spencer se tenaient là debout devant moi à me fusionner de leurs regards parlant. Je pouvais imaginer ce qu'ils se disaient déjà dans leurs têtes : « Pourquoi n'est-il jamais venu à la maison, s'il aime notre fille ? »Je racle ma gorge. Je tiens une position de gentleman et lentement, je parle avec docilité au couple Spencer :_ Bonsoir madame, monsieur Spencer, vous-êtes les bienvenus en cette soirée de fête d'anniversaire de mes parents. Je vous prie d'agréer et me suivre par là. Je baisse la tête et le montre une direction.À la fin de mon faux discours, je laissai apparaître un faux sourire pour accompagner ma fausse bonne humeur. _ Oh ! Qu'il est charmant finalement, Joyce ! Dit madame Spencer en regardant sa fille, un large sourire sur les lèvres. Des yeux doux.Joyce fonça les cils et déclara :_ Il l'a toujours été maman sauf que dernièrement Henri me néglige un peu. Sa voix aiguë pleine de mépris me fait chier. Je garde le silence puisse qu







