JACKJe crois un instant que nous avons touché la fin, que ce feu qui nous a consumés ne peut pas brûler davantage, que nos corps ont atteint la limite du possible, mais ce n’est qu’une illusion, car dès que son souffle effleure ma peau, dès que ses doigts se referment à nouveau sur moi, je comprends que le brasier renaît, qu’il n’a jamais cessé, qu’il ne s’éteindra pas, et que nous allons plonger encore, plus loin, plus profond, dans une transe qui dépasse tout ce que nous avons déjà vécuSon corps tremble encore contre le mien, ses jambes serrées autour de ma taille comme si elle refusait que je m’échappe, et je sens son bassin onduler, réclamer, m’implorer dans un langage muet mais brûlant, alors je m’enfonce à nouveau en elle, plus lentement cette fois, plus intensément, chaque millimètre une torture, chaque mouvement un serment, chaque gémissement un appel auquel je réponds en la possédant encore, en la reprenant comme si je n’avais pas déjà donné tout ce que j’avaisElle arque l
JACKJe ne respire plus, je ne pense plus, je ne vis plus qu’à travers elle, qu’avec elle, chaque battement de mon cœur frappant contre sa poitrine, chaque frisson de sa peau traversant mon corps comme une décharge, chaque mouvement, chaque soupir, chaque cri devenant un fil invisible qui nous relie, nous consume, nous entraîne dans un vertige où il n’existe rien que cette chaleur brûlante qui nous dévore.— Jack… murmure-t-elle, ses mains glissant le long de mes épaules, s’enroulant autour de ma nuque, ses doigts s’accrochant à moi comme pour me garder, sa bouche cherchant la mienne, ses lèvres frôlant les miennes avec une avidité qui me fait perdre pied, je… je…Je n’attends pas la fin de sa phrase, je l’engloutis de mes lèvres, de mes mains, de mes hanches, je la fais trembler, hurler, haleter, chavirer, chaque mouvement un feu, chaque caresse une flamme, chaque gémissement une explosion que je m’empresse de prolonger, de rendre plus intense, plus vorace, plus impossible à ignorer.
JACKJe ne peux pas m’arrêter, je ne veux pas m’arrêter, chaque fibre de mon corps crie son nom, chaque souffle réclame sa présence, chaque battement de cœur me pousse à la reprendre encore et encore, à sentir sa chaleur, sa peau, ses frissons contre moi. Elle est tout, elle est feu et flamme, et moi je ne suis qu’un brasier avide, incapable de résister, incapable de penser, incapable d’autre chose que d’elle.— Jack… souffle-t-elle, ses doigts s’accrochant à ma nuque, à mes épaules, glissant sur mon dos, elle veut que je la consume, qu’elle me dévore à son tour…Je la prends plus profondément, plus sauvagement, mes hanches martelant les siennes, nos corps se heurtant, se cherchant, chaque mouvement un mélange de violence et de tendresse, chaque gémissement une déclaration, chaque soupir un serment silencieux que rien ne pourra jamais briser. Je sens son désir me submerger, me rendre fou, et je réponds à sa faim par la mienne, mes mains explorant chaque courbe, chaque creux, chaque mu
JACKLe monde s’efface autour de nous, chaque bruit, chaque lumière, chaque souffle devient insignifiant face au feu qui nous consume, ne restent que nos corps, brûlants, affamés l’un de l’autre, liés dans une danse furieuse que nous n’avons jamais connue, et pourtant qui semble innée, primitive, irrépressible. Je la tiens fermement, mes mains traçant chaque courbe de sa peau, glissant sur ses reins, ses hanches, ses cuisses, capturant chaque frémissement, chaque soupir, et je sens l’envie, cette tempête dévorante, m’engloutir totalement.Ses jambes se referment autour de ma taille, me tirant toujours plus près, et je la pénètre enfin, lentement au début, savourant chaque instant, chaque souffle brisé, chaque gémissement qui s’échappe de ses lèvres tremblantes. Son corps se cambre contre le mien, ses mains griffant mon dos, mes épaules, s’accrochant comme si elle voulait me retenir à jamais, et je sens son désir onduler autour de moi, répondre à chaque poussée, chaque mouvement, comme
JACKLe temps semble suspendu quand elle revient de la chambre. La porte s’ouvre doucement et je la vois apparaître, et tout mon être se crispe, chaque muscle tendu comme un ressort prêt à céder. Elle porte ce déshabillé fluide, léger, presque translucide, qui épouse ses formes avec une évidence cruelle, révélant plus qu’il ne couvre. Mon regard se perd, mes pensées se brouillent, et la maîtrise que j’avais laborieusement imposée jusqu’ici s’effrite en silence.Le simple balancement de ses hanches, la manière dont le tissu glisse sur sa peau, le frémissement subtil de ses bras quand elle ajuste sa tenue… tout devient un déclencheur que je ne contrôle plus. Mon cœur bat à tout rompre, ma respiration se fait courte, presque haletante, et chaque fibre de mon corps hurle son nom dans un feu silencieux que je n’ai jamais ressenti aussi intensément.Elle avance vers moi, comme si elle savait exactement ce qu’elle faisait, comme si elle savait exactement jusqu’où elle pouvait aller avant que
JACKJe reste immobile sur le canapé, le regard vague, comme si je suivais un point invisible au loin, tandis qu’Elissa dépose son sac et s’affaire autour de moi. Chaque geste qu’elle fait me brûle de l’intérieur, mais je ne laisse rien transparaître. Pas un frémissement, pas un souffle trahi, pas le moindre tremblement de mes mains. Je me répète que c’est sa mission, que je dois rester là, calme, impassible, et pourtant chaque seconde où elle s’approche de Darian me serre le cœur comme un étau.— Jack… murmure-t-elle doucement, la voix caressante, presque timide, comme si elle pouvait lire dans mes pensées.Je me contente de hocher imperceptiblement la tête, un léger sourire poli sur les lèvres. Tout va bien… Tout doit rester normal. Mais derrière ce voile de calme, mon sang bouillonne. Mon cœur bat trop vite, ma respiration se fait irrégulière, mes mains se crispent sur mes genoux, et pourtant je souris. Un sourire de façade, un sourire que je veux rassurant, mais chaque fibre de mo