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Chapitre 2

Author: Maître Ye
Dix milliards ? !

Lucas était choqué.

Lorsqu’il avait été jeune, il savait que son grand-père était riche et que la famille Levefre était l’une des plus puissantes familles de tout le pays, mais il ne savait pas exactement que sa famille disposait de combien de richesse.

A ce moment-là, il en avait une idée.

Xavier Levefre, son grand-père, lui a donné dix milliards comme l’argent de poche. A en juger par cela, la famille Levefre devait avoir plus de mille milliards !

Dépourvu de l’argent, Lucas avait un peu d’envie d’accepter la carte bancaire.

Cependant, lorsqu’il pensait que la mort de ses parents était due à son grand-père, il se montrait réticent.

Voyant cela, Gaston s’est empressé de dire : « Jeune maître, vous faites partie de la famille Levefre, vous pouvez accepter cette somme d’argent, sans parler du fait que cet argent appartient en fait à votre père. M. Levefre a dit que si vous retournez dans la famille, il vous léguera mille milliards d’euros ; si vous ne voulez pas retourner, il vous donne cet argent pour satisfaire vos besoins quotidiens. Tenez ! Le Groupe de Florès, la plus grande entreprise de la Cité J, qui vaut cent milliards, a été achetée par la famille Levefre hier. Maintenant, vous détenez toutes les actions du Groupe de Florès et vous pouvez y aller demain pour diriger cette entreprise.

Cela dit, Lucas était choqué.

La famille Levefre avait dépensé trop d’argent pour lui !

Une carte bancaire de dix milliards, le Groupe de Florès de cent milliards !

Il y avait beaucoup d’entreprises puissantes dans la Cité J, mais le Groupe de Florès était la plus puissante.

Même la famille Jolivet, la famille Tailleur, qui l’avaient humilié, ainsi que la famille Moreau, étaient anodine face au Groupe de Florès.

De façon inattendue, le Groupe de Florès appartenait maintenant à lui.

Gaston lui a tendu une carte de visite en disant : « Jeune maître, vous avez peut-être besoin du temps pour y réfléchir, alors, je vais partir en premier. Voici mon numéro de téléphone, si vous avez des questions, n’hésitez pas à me donner un coup de fil. »

Après avoir dit ça, Gaston s’est retourné et est parti.

Après son départ, Lucas s’est figé sur place et a commencé à hésiter.

Il ne savait pas s’il devait accepter la compensation de la famille Levefre.

Mais en se rappelant qu’il avait eu une vie misérable pendant les dix dernières années et qu’il avait été humilié par les membres de la famille Jolivet, il avait l’impression qu’il méritait cette compensation.

D’ailleurs, il avait encore besoin de deux millions pour payer les frais médicaux de Mme Li.

De ce fait, il a serré les dents et est retourné au guichet de paiement.

« Bonjour, je veux régler les frais médicaux. »

Il a donné la carte bancaire à l’infirmière et a tapé le code.

En un instant, deux cent mille ont été transférés sur le compte de l’hôpital.

Lucas restait hébété, ne s’attendant pas à ce qu’il soit devenu tout d’un coup un milliardaire.

...

Carina est retournée chez elle et ses parents ont commencé à s’en prendre à elle.

Dès que Carina a épousé Lucas et que M. Jolivet a trépassé, les membres de la famille Jolivet ont chassé Carina et ses parents de la villa. Depuis lors, ils habitaient dans un immeuble très ordinaire.

Sylvie Lombard, la mère de Carina, a grondé Carina en disant : « Lucas n’est qu’un bon à rien ! Il nous a fait perdre la face aujourd’hui ! Si tu ne divorces pas de lui, tu seras expulsée du Groupe de Jolivet par ta grand-mère ! »

« Dans ce cas-là, je vais trouver un autre emploi », a répondu Carina.

« Tu… a dit Sylvie en colère, pourquoi tu chéris tant ce pauvre homme ? Pourquoi tu ne divorces pas de lui et épouse Yale ? Si tu l’épouses, ton papa et moi serons respectables ! »

Luc Jolivet, le père de Carina, a aussi dit : « C’est vrai ! Si tu épouses Yale, ta grand-mère sera plus bienveillante envers nous. »

« Arrête ! Je ne divorcerai pas de Lucas », a dit Carina catégoriquement.

Les parents de Carina s’apprêtaient à la persuader lorsque Lucas est entré.

En le voyant, Sylvie et Luc n’étaient pas contents.

Sylvie a dit d’un ton moqueur : « Tu oses encore revenir ? »

Lucas a laissé échapper un soupir. Sa belle-mère le méprisait toujours, mais si elle savait qu’il était maintenant le propriétaire du Groupe de Florès et qu’il avait dix milliards d’euros sur le compte de la carte bancaire, quel serait son attitude ?

Cependant, Lucas avait décidé de ne pas le dire à l’autrui pour le moment.

Après avoir quitté la famille Levefre pendant de nombreuses années, il ne savait pas sa situation actuelle. Ainsi, il ne voulait pas exposer sa vraie identité, de peur que quelqu’un de la famille Levefre lui fasse du mal.

Il a donc baissé la tête et s’est excusé en disant : « Désolé, maman, je t’ai causé du tracas aujourd’hui. »

« Ce que tu as causé est plus que du tracas ! A cause de toi, nous n’avons plus de moyens pour gagner la vie. Va te faire foutre et ne reviens jamais ! » a dit Sylvie.

Sur ce, Carina s’est empressée de dire : « Maman, ne dis pas de bêtises. Lucas est ton gendre ! »

« Non ! a dit Sylvie avec haine, je n’ai pas de gendre aussi inutile ! Vas t’en ! »

Carina a donné une poussée à Lucas en disant : « Retourne vite à la chambre. »

Avec un air reconnaissant, Lucas a hoché la tête et est retourné dans sa chambre.

Carina et lui étaient mariés depuis trois ans, mais ils ne s’étaient jamais couchés sur le même lit : Carina dormait sur le lit et il dormait sur le sol.

Ce jour-là, Lucas a passé une nuit blanche.

Ce qui s’était passé dans la journée lui était vraiment trop choquant.

Avant de s’endormir, Carina lui a demandé : « Comment va Mme Li ? J’ai encore une centaine de mille euros, je te les donne. »

« Non, merci. Quelqu’un a déjà réglé ses frais médicaux et l’a envoyée à la Cité Z pour qu’elle puisse être soignée là-bas », a dit Lucas.

« Ah bon ? a dit Carina avec un air surpris, Mme Li serait soignée ? »

« Oui, a répondu Lucas, Mme Li a fait du bien et a aidé tant de personnes tout au long de sa vie. Maintenant, elle a reçu sa récompense. »

« C’est bien, a dit Carina en hochant la tête, tu n’as plus besoin de t’inquiéter maintenant. »

« Oui. »

« Je vais me coucher. Je suis tellement épuisée par les affaires de l’entreprise ces jours-ci », a dit Carina.

« Qu’est-ce qui s’est passé ? » a demandé Lucas.

« Grand-mère a toujours voulu coopérer avec le Groupe de Florès, mais le Groupe de Jolivet n’est pas à la hauteur. »

Lucas a soudain pensé à quelque chose et lui a demandé : « La famille Jolivet n’a pas noué une relation de coopération avec le Groupe de Florès ? »

Carina a ri jaune et a dit : « Bien sûr que non. Le Groupe de Jolivet n’est pas assez puissant. Même la famille Tailleur, ils n’ont que de petites coopérations avec le Groupe de Florès. Grand-mère pensait que la famille Tailleur pourrait l’aider à nouer une relation avec le Groupe de Florès, après que Laura a épousé Félix ».

Sur ce, Lucas a hoché la tête.

Il s’est avéré que Mme Jolivet a envie de coopérer avec le Groupe de Florès.

Ce qu’elle ne savait pas, c’était que le Groupe de Florès appartenait à lui maintenant.

Lucas a décidé d’aller gérer le Groupe de Florès d’abord. De cette façon, il pourrait fournir de l’aide à sa femme, qui avait été trop brimée par les membres de la famille Jolivet. En tant que son mari, il avait la responsabilité de l’aider.

Carina, je suis devenu fort !

Je ne laisserais plus personne te mépriser !

Y compris la famille Jolivet !
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Comments (4)
goodnovel comment avatar
espoirpito3
très parfait
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Sans prénom Hamidou aboina
se très pertinent
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Sans prénom Hamidou aboina
très pertinent
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