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Le Mari Millionnaire
Le Mari Millionnaire
Auteur: Maître Ye

Chapitre 1

A ce moment-là, la luxueuse villa de Jolivet était lumineuse.

Ce soir a tenu lieu le banquet du 70e anniversaire de Mme Jolivet, le chef de la famille Jolivet.

Ses petits-fils, petites-filles et les époux de ses petites-filles sont tous venus lui offrir des cadeaux d’anniversaire.

« Grand-mère, j’ai entendu dire que vous aimiez le thé. Ces feuilles de thé, qui valent cinq cent mille euros, sont pour vous. »

« Grand-mère, vous êtes bouddhiste, non ? Ce Bouddha en jade vaut sept cent mille euros... »

Mme Jolivet regardait ces cadeaux avec un air satisfait. Une atmosphère cordiale régnait dans la pièce.

À ce moment-là, Lucas Levefre, le gendre de la petite-fille aînée de Mme Jolivet, a soudainement dit : « Grand-mère, pouvez-vous me prêter un million d’euros ? Mme Li, qui habite dans l’asile de vieillards, souffert d’urémie et a besoin d’argent pour le traitement... »

Sur ce, tout le monde était choqué et regardait Lucas avec des yeux écarquillés.

Ce garçon allait trop loin, non ? Il habitait toujours dans leur maison. Maintenant, non seulement il n’avait pas préparé de cadeaux pour Mme Jolivet, mais il avait même osé lui demander d’emprunter une grande somme d’argent !

Il y avait trois ans, lorsque M. Jolivet avait été encore en vie, il a insisté pour marier Carina Jolivet, sa petite-fille aînée, à Lucas, qui avait été un sans-le-sou.

Après leur mariage, M. Jolivet avait quitté le monde. Dès lors, tous les membres de la famille Jolivet, sauf Carine, sa femme, essayaient de le chasser de la maison.

Mais Lucas se foutait de toutes les insultes et restait toujours à la maison de Jolivet.

Ce jour-là, il n’avait pas d’autre choix que de prêter de l’argent à Mme Jolivet.

Mme Li, qui lui avait sauvé la vie, souffrait d’urémie et avait besoin d’au moins un million d’euros pour la dialyse et même pour le remplacement de rein, mais il n’avait pas tant d’argent.

Puisque c’était l’anniversaire de Mme Jolivet, il avait pensé qu’elle était assez heureuse pour lui emprunter de l’argent.

A sa grande surprise, Mme Jolivet, qui avait souri joyeusement, s’est mise en colère et a soudainement changé d’expression.

Elle a jeté violemment au sol la tasse à thé qu’elle tenait à la main et a dit avec colère : « Quel salaud ! Tu es venu fêter mon anniversaire ou emprunter de l’argent ? »

Carina, la femme de Lucas, s’est empressée de prendre un pas en avant pour dire à Mme Jolivet : « Grand-mère, c’est la faute de Lucas, veuillez m’excuser auprès de vous pour lui. Ne le blâmez pas, s’il vous plaît. »

Cela dit, elle a tenu Lucas par le bras pour l’éloigner de Mme Jolivet.

À ce moment-là, Laura Jolivet, la cousine de Carina, a dit d’un ton moqueur : « Chère sœur, pourquoi as-tu épousé un tel homme ? Félix n’est que mon fiancé, il a quand même offert à grand-mère un Bouddha de jade. Mais ton mari, lui, il n’a pas préparé de cadeau pour grand-mère et il a encore osé lui demander de l’argent. Il est vraiment sans vergogne. »

Félix Tailleur, le fiancé de Laura et le fils d’une grande famille, a dit : « C’est vrai, frère Lucas, nous sommes tous les deux les petits-fils de la famille Jolivet, mais je suis beaucoup meilleur que toi ! »

Félix était sur le point de se marier avec Laura, mais il convoitait en fait Carina, la femme de Lucas, qui était plus belle que Laura.

En effet, Carina était la déesse de tous les hommes de la Cité J. Mais elle avait épousé un tel homme ; Félix déplorait beaucoup le mariage de Carina.

« Merde ! Il nous faut chasser ce genre de personne de la maison avant qu’il ne soit trop tard ! »

« Tu as raison ! Ce type nous déshonore ! »

« Je pense qu’il a dit cela exprès pour gâcher le plaisir de Mme Jolivet. »

Lucas n’a pas pu s’empêcher de se serrer les mains quand il entendait ces mots provocants.

Il se serait retourné pour partir, s’il n’avait pas pour but d’emprunter de l’argent pour Mme Li qui lui avait sauvé la vie.

Il se souvenait que son père lui avait dit de payer de retour les gentillesses des autres quand il avait été encore jeune. Ainsi, il a fait de son mieux pour réprimer la colère et a dit à Mme Jolivet : « Grand-mère, la vie est sans prix et sauver la vie des autres est honorable. S’il vous plaît soyez plus bienveillante ! »

Léo Jolivet, le frère de Laura, a dit d’un ton froid : « Lucas, ne mets pas Grand-mère en embarras ! Si tu veux sauver Mme Li, il faut que tu te débrouilles seul. »

Léo et Laura étaient jaloux de Carina, qui était plus excellente qu’eux dans tous les domaines, alors ils aimaient tous se moquer de Lucas.

Après avoir entendu cela, Carina était un peu embarrassée et a dit : « Grand-mère, le père de Lucas est mort quand il avait huit ans. C’est Mme Li qui l’a élevé, donc, il lui est reconnaissant. Aidez-le, s’il vous plaît... »

Sur ce, Mme Jolivet a dit avec un visage sombre : « Bon, à moins que tu ne divorces avec lui et que tu épouses Yale, je lui donnerai immédiatement un million d’euros ! »

Yale s’éprenait de Carina et la poursuivait. La famille Moreau était une famille puissante dans la Cité J, beaucoup plus puissante que la famille Jolivet. De ce fait, Mme Jolivet avait toujours envie de marier Carina à Yale pour nouer une relation avec la famille Moreau.

À ce moment-là, Justin, le gestionnaire de la famille Jolivet, est entré et a dit à voix haute : « Yale Moreau a envoyé un cadeau d’anniversaire pour Mme Jolivet ! C’est une sculpture d’émeraude qui vaut trois millions d’euros ! »

Mme Jolivet était ravie et a dit d’un ton excité : « Apporte-le-moi, je veux le voir maintenant. »

Après que Justin avait apporté la sculpture, tout le monde dans la pièce a laissé échapper un cri d’exclamation.

Cette sculpture d’émeraude était d’un vert vif et pur ; évidemment, elle était de la meilleure qualité.

Félix, qui avait offert le Bouddha de jade, avait un air embarrassé après qu’il avait vu cette sculpture. Il ne s’attendait pas à ce que Yale, qui n’avait aucun lien avec la famille Jolivet, soit si généreux !

Mme Jolivet a dit joyeusement en caressant la sculpture : « Mon Dieu ! Yale est vraiment bienveillant ! J’espère qu’il pourrait devenir l’épouse de ma petite-fille ! »

Après avoir dit cela, elle a regardé Carina en disant : « Que penses-tu de ce que je viens de dire ? »

Carina a dit en secouant la tête : « Non, grand-mère, je ne divorcerai pas de Lucas. »

Mme Jolivet a soudain changé d’expression et a dit en colère : « Bof ! Tu veux rester encore avec cet homme ? Bon. Que Lucas sorte de chez moi ! Il n’a pas le droit d’assister à mon banquet d’anniversaire ! »

Complètement déçu, Lucas n’avait plus d’envie de rester ici, il a donc dit à Carina : « Chérie, je vais aller à l’hôpital pour voir Mme Li. »

« Alors, j’y vais avec toi », a répondu rapidement Carina.

Sur ce, Mme Jolivet, furieuse, a dit d’une voix perçante : « Si tu pars avec lui, tu n’es plus ma petite-fille et sors de chez moi avec tes parents ! »

Stupéfaite, Carina ne s’attendait pas à ce que Mme Jolivet dise des mots aussi blessants.

« Il convient que tu restes ici. Ne t’inquiète pas. »

Sans attendre que Carina puisse dire quoi que ce soit, Lucas s’est retourné et est parti.

Léo a dit d’un ton moqueur derrière lui : « Mon beau-frère, puisque tu n’as pas encore mangé, ne vas pas mendier de la nourriture dans la rue. Sinon, tous les membres de notre famille perdront la face. J’ai encore quelques euros sur moi, va t’acheter du pain ! »

Cela dit, Léo Jolivet a sorti une pièce et l’a jetée sur le sol devant Lucas.

Lucas, les dents serrées, est sorti de la maison de Jolivet sans se retourner.

...

Une fois arrivé à l’hôpital, Lucas s’est rendu au guichet de paiement, voulant demander un délai de deux jours.

Cependant, l’infirmière lui a dit que Mme Li avait été envoyée dans le meilleur hôpital de la Cité Z.

Choqué, Lucas s’est empressé de lui demander : « Combien cela coûte-t-il ? Je vais certainement payer les frais médicaux ! »

« Il faut au total trois millions d’euros, dont un million a déjà été versé et il te faut payer les frais restants en une semaine », a répondu l’infirmière.

« Quoi ? Qui a versé un million ? »

« Je ne sais pas non plus. »

Lucas, surpris, s’apprêtait à découvrir la vérité lorsqu’il s’est retourné et a vu un homme en costume noir aux cheveux gris, âgé d’une cinquantaine d’années, se tenir derrière lui.

Alors qu’ils se regardaient, cet homme-là s’est incliné devant lui en disant : « M. Lucas, vous avez beaucoup souffert pendant ces dernières années ! »

Lucas, les sourcils froncés, a demandé d’une voix froide : « Êtes-vous Gaston Legrand ? »

Gaston a dit avec un air surpris : « Je ne m’attendais pas à ce que vous vous souveniez encore de moi !

Lucas, avec une expression froide, a répondu : « Bien sûr ! Je me souviens de chacun d’entre vous ! À cette époque-là, c’est vous qui avez forcé mes parents et moi à nous enfuir de la Cité Z. Sur le trajet, mes parents ont eu un accident et sont morts. Dès lors, je suis devenu orphelin. Maintenant, pourquoi me cherchez-vous ? »

Gaston a répondu avec une expression douloureuse : « Quand votre père est mort, M. Levefre avait aussi le cœur brisé et il continue à vous chercher pendant ces dernières années. Maintenant, vous pouvez revenir avec moi pour le voir ! »

Lucas a dit d’un ton froid : « Non, je ne le verrai jamais ! »

« Vous en voulez encore à M. Levefre ? »

« Bien sûr, a répondu Lucas mot pour mot, je ne lui pardonnerai jamais de ma vie ! »

« Hélas, Gaston a laissé échapper un long soupir et a dit, avant que je ne vienne, M. Levefre a dit que vous ne lui pardonneriez probablement pas. »

« Il s’avère qu’il a une idée claire de sa propre qualité morale ! »

« Il a envie de compenser les souffrances que vous avez subies ces dernières années, donc il m’a demandé d’acheter la plus grande entreprise de la Cité J pour vous et de vous donner cette carte, dont le mot de passe est votre anniversaire. »

En disant cela, Gaston a tendu une carte à Lucas.

« Ce genre de cartes ne comptent que cinq dans tout le pays. »

Lucas a secoué la tête en disant : « Je n’en ai pas besoin. »

Gaston Legrand a dit : « Vous manquez encore deux millions d’euros pour payer les frais médicaux de Mme Li, n’est-ce pas ? Vous devez lui sauver la vie, sinon, elle mourra… »

Lucas, les sourcils froncés, a demandé d’un ton froid : « C’est le complot que vous avez organisé ? »

Gaston s’est empressé de dire : « Si vous acceptez cette carte bancaire, vous aurez de l’argent suffisant ! »

« Combien d’argent y a-t-il dans cette carte ? » a demandé Lucas.

« Il n’y en a pas beaucoup, juste dix milliards. M. Levefre a dit que c’est l’argent de poche pour vous. »
Commentaires (3)
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Monaz Khan
Slt ça va je voulais savoir si tu a puis lire la suis après le chapitre 21 ? Et si tu connais un endroit pour lire gratuitement
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Pierre Ablain Royz
Pour ce qu’il en en est de faillite de Yale en kelke minute ctait tro . Il faut des détails comm koi les personnes ki ont débarqué chez son père etait ou pour que dans ses brefs moments pour qu’ils puissent avoir réalisé les documents approprié pour un tel Act ......... jaime l’histoire mais les fai ...
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Pierre Ablain Royz
J’aime bien l’histoire mais certaines déroulement sont bcp moins intéressant le personnage Lucas ne gagne pas les cœurs vue que jai pas encore fini d lire mais je pense au cmportemnt d Lucas vis-à-vis les actions posées rien que lui satisfaire comm qoi tabassée des gens pour des offnse. Pathétique.
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