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Chapitre 4

Author: Maître Yu qui fume
Victor était maintenant furieux !

Cet idiot, en fait, a bloqué le chemin du nouveau patron.

Il voulait se faire tuer ? !

«Pascal, qu'est-ce que tu fais là ? Dépêche-toi de venir ici !» Victor a pointé Pascal du doigt en colère et a crié.

Pascal venait de garer son scooter électrique lorsqu'il a été soumis à la fureur de Victor, en état de choc.

«Tant pis ! Pascal a des problèmes aujourd’hui, regardez Victor, ça va être un gros orage.»

«Une douzaine d'appels de plainte qu’il a eu et cet idiot ose revenir ?»

«C'est au moins deux cents déductions et une journée de travail pour rien.»

Quelques employés ont chuchoté, et plus ou moins certains d'entre eux ont regardé avec jubilation.

Il y avait quelques anciens employés parmi eux, ceux qui avaient autrefois suivi Pascal.

Quand ils ont vu que Pascal en était réduit à livrer des plats à emporter avec eux, ils se sont naturellement moqués de lui.

Pascal y était habitué.

Même Quérard a froidement balayé Pascal du regard à ce moment-là et a demandé avec un visage mécontent : «Le directeur Yang, c'est votre employé ?»

Victor s'est empressé de ricaner et a dit, «Patron, vous ne venez souvent ici, alors j'ai oublié de vous présenter. C'est Pascal, l'ancien patron de notre entreprise, et maintenant il n'est qu'un livreur ordinaire.»

Quand il a dit «ancien patron», Victor a délibérément souligné le mot, et son ton a révélé un fort sarcasme.

Pascal, tu as une tellement situation, quel châtiment, hahaha !

Le visage de Quérard était froid et ses sourcils étaient froncés quand il a dit : «Débarrassez des personnes désoeuvrées et accueillez le nouveau patron.»

Ce n'était qu'à ce moment-là qu'il s'est rappelé que Pascal était le jeune homme tombé dans la faillite qui avait transféré la société.

C'était dommage que Quérard soit si distrait.

Il ne pouvait vraiment pas se souvenir des gens de la classe inférieure de la société comme Pascal.

En disant cela, Quérard avait déjà retiré son costume et s'est dirigé vers la Bentley avec un sourire sur le visage.

Lorsque Victor a reçu l'ordre, il a immédiatement pointé Pascal avec jubilation : «Pascal, pourquoi tu ne ranges pas tes affaires et quitter ici ?»

Pascal a roulé les yeux en regardant Victor comme s'il regardait un idiot et a craché : «Imbécile !»

Ces propos ont été entendus par toutes les personnes présentes et ils ont toutes pris un air étrange.

Victor était immédiatement furieux, son doigt était presque en train de piquer le nez de Pascal, et il a dit en colère, «Putain ! Essaie de dire encore une fois !»

Pascal a ri froidement, «Alors je vais te satisfaire, imbécile ! Toute ta famille est imbécile !»

«Pascal, tu va mourir sûrement ! Tu es viré maintenant, et en plus, tu dois payer pour les pertes financières de l'entreprise !»

Victor a grimacé et a crié, les yeux se sont gonflés de colère.

Pascal était tout simplement trop ingrat !

Il devait comprendre qu'il n'était plus le patron de la société La Course.

Comment osait-t-il être si arrogant ?

Tu verrais comment j’allais te tuer plus tard !

Soudain !

La porte de la Bentley s'est ouverte et un vieil homme en béquilles est descendu, le visage teinté de colère en disant : «Qui ose le virer !»

Après cela, ce vieil homme a contourné Quérard qui s’était présenté avec un sourire sur le visage pour le saluer, et s’est avancé précipitamment vers Pascal sous les regards étonnés de la foule.

Il s’est tenu debout, s’est penchant et a baissé la tête.

Tout était si naturel et plein de respect.

«Jeune maître, je suis en retard.» Le vieil homme a dit respectueusement et humblement.

La voix n'était pas forte, mais très claire.

Jeune maître ?

De nombreuses personnes ont été choquées !

Pascal était devenu brusquement le jeune maître ?

Qu'est-ce que c'était ?

Quérard était stupéfait sur place, et le sourire sur son visage se figeait progressivement.

La bouche de Victor s'est ouverte soudainement sous le choc et il a ri : «Monsieur, vous êtes notre nouveau patron ? Ne plaisantez pas, lui, Pascal, est l'employé le moins important de notre société, l'avez-vous confondu avec quelqu'un d'autre ?»

Fortuné lui a juste jeté un regard froid.

Comment une taupe pouvait-elle connaître un cygne ?

Quérard a également froncé légèrement les sourcils et a trotté vers Fortuné, disant respectueusement et avec enthousiasme : «M. le président Qiao, ne plaisantez pas, entrez à l'intérieur et nous en parlerons.»

Quérard était un entrepreneur.

Il connaissait encore Fortuné, le président du Groupe Prospérité !

Dans la ville Haute-Rivière, c'était une existence qui pouvait couvrir le ciel de ses mains !

Cependant, Fortuné est resté immobile, ses yeux balayant froidement Quérard et Victor, d’un air mécontent, «Qui a plaisanté vous ? C'est le nouveau patron de votre société !»

Comment cela était-il possible ?

Le nouveau patron ?

Victor ne l'a pas cru, et Quérard non plus.

«Frère Yang, viens-tu de dire que tu voulais me virer ?» Pascal a regardé Victor avec un sourire léger.

«Pascal ! Tu veux te faire des ennuis ? Ne m'appelle pas Frère Yang !» Victor était furieux.

Ce qu'il détestait le plus, c'était quand les gens lui donnaient ce surnom.

«Dépêche-toi de quitter ici, et aussi, va payer les pertes financières de la société, dix mille euros !» Victor a ri froidement.

Il s'en fichait, comment ce Pascal pouvait-il être le nouveau patron de la société ?

Juste comme il était.

Oh.

Pascal fixait toujours Victor avec un sourire léger.

«Qu'est-ce que tu regardes, bon sang ? Pourquoi tu ne te dépêches pas de sortir l'argent !» Victor a ricané.

«Oui, je regarde le pet.» Pascal a ri au lieu de se mettre en colère.

«Tu veux vraiment te faire des ennuis, Pascal ! je suis désolé pour ces quelques mots si je ne te vire pas.» Victor, se croyant courageux, a ricané maladroitement.

Il était lui-même le directeur de la société et avait le droit de licencier les employés sous sa responsabilité.

«Alors je te dis, Victor, tu as été viré par moi, tu peux t’en aller.» Pascal s'est appuyé contre son scooter électrique, les mains dans les poches de son pantalon, et a parlé avec indifférence.

Victor, il était vraiment un imbécile.

Il ne arriait toujours pas à comprendre ce qui s’est passé.

À ce moment-là, Quérard, qui se tenait à côté, s'est soudainement réveillé !

Oh non !

Pascal était vraiment le nouveau patron de la société !

En pensant à cela, le front de Quérard était plein de sueur froide, et il n'osait pas le regarder en baissant les sourcils, mais dans son cœur, il détestait Victor encore plus.

«Qu'est-ce que tu as dit ? Tu m'as viré ?» Victor a ri, son expression étant sinistre.

Pascal était-il un stupide, il pouvait même dire de telles choses ?

A ce moment, Fortuné, qui se tenait aux côtés de Pascal, a balayé Victor du regard froid et a dit d'une voix froide : «Si notre jeune maître a dit de vous virer, alors vous êtes viré !»

Fortuné était de mauvaise mine, cet homme osait réellement humilier son propre jeune maître, cherchant à se faire maltraiter !

C'était seulement à ce moment-là que Victor a réagi à nouveau, il y avait le nouveau grand patron devant lui.

Cependant, sans attendre qu'il ait réagi.

Quérard l'a directement giflé avec colère et a rugi : «Victor, quittez la société immédiatement, vous êtes viré !»

Victor était un vrai idiot !

Il a fait confiance à une telle personne et l’a promu au poste de directeur de la société.

«Patron, qu'est-ce que vous voulez dire alors ?» Victor s’est couvert le visage avec une expression étrange.

«Cela signifie que Pascal est le nouveau patron de notre société, et quand il dit de vous virer, vous êtes viré.»

Tout le monde était choqué par ces mots !

Victor a tremblé et a crié : «Impossible ! Il est déjà fauché et pauvre, comment peut-il être le nouveau patron ?»

Quérard a froncé les sourcils et a dit : «Il n'est pas aussi simple que vous le pensez !»

Victor a détourné la tête et a regardé Pascal,comme une feuille de légume flétrie.

Ce n'était qu'à ce moment-là qu'il a soudainement réalisé que le vieil homme qui se tenait devant Pascal était en fait Fortuné du Groupe Prospérité !

Un magnat avec des dizaines de milliards d’euros d'actifs !

L'homme le plus riche de la ville Haute-Rivière !

Pascal, qu'il a appelé Jeune Maître, ne serait-ce pas... ?

«Victor, à partir de maintenant, tu es renvoyé, va-t'en.»

Pascal s'est redressé et dès que ses mots sont prononcés, tout le corps de Victor a été abasourdi et s'est figé sur place.

Il m’a grondé férocement tout à l’heure ?

Et il voulait me virer.

Désolé, j’étais le nouveau patron maintenant.

Si je te disait de t’en aller, tu devais t’en aller !

Victor s'est jeté sur ses genoux et a étreint les cuisses de Pascal, «M. Chen, c'est ma faute pour ne pas avoir reconnu un grand personnage, c'est ma faute pour être radin, je te prie de ne pas me virer. Vu l’amitié entré nous comme anciens collègues, laisse-moi rester dans la société, même si je ferai la livraison de la nourriture.»

Pascal a ri deux fois de manière ironique, «Victor, maintenant tu regrettes d'avoir commis la faute. Tu m'aurais épargné si tu l'avais fait avant ça ? Le salaire du péché est la mort !»

Avec un seul mot, Victor est tombé dans l'abîme.

Après avoir dit cela, Pascal a détourné la tête pour regarder ses collègues de la société et a dit : «Je sais que beaucoup d'entre vous m'ont regardé de haut quand j'étais à terre, mais ce n'est pas grave, à partir d'aujourd'hui, vous aurez tous vos salaires doublés !»

À ce moment-là, le cercle de collègues qui s'était rassemblé autour était en ébullition !

Les salaires seriont doublés !

«Patron Chen est génial !»

«Patron Chen, je vous aime à l’extrême !»

Puis, Pascal a regardé une belle femme au fond de la foule et a dit : «De plus, le poste de directeur de Victor sera pris par Mlle Christine Su.»

Ouais !

La foule s'est retournée et a regardé Christine qui se tenait à l'arrière de la foule, vêtue d'une robe professionnelle noire qui soulignait parfaitement sa taille.

Christine a regardé Pascal avec surprise, et elle était encore un peu essoufflée jusqu'à ce qu'il soit parti.

En regardant le profil qui était montée dans la Bentley, les beaux yeux de Christine ont coulé d'un regard étrange.

Christine s'est empressée de le suivre et s'est mise devant la fenêtre de la voiture, se penchant, les boules de neige dans son col s'échappant à peine, elle a pincé les lèvres : «Pascal... Non, patron, tu veux vraiment que je sois la directrice ?»

En voyant Christine, les yeux de Pascal ont discrètement jeté un regard aux boules de neige et il a dit en souriant : «Christine, qu'est-ce qui ne va pas, tu n'as pas confiance en toi ?»

Christine, une belle femme qui savait ce qui était juste, avait une taille parfaite, avait suivi Pascal dans le passé.

Maintenant, ce n'était pas trop de la promouvoir un peu.

C'était le privilège du patron.

«Je... J'ai peur de ne pas être à la hauteur.» Christine était hésitante.

Elle ne s'attendait pas non plus à ce que Pascal soit devenu tout d'un coup le nouveau patron de la société.

Bien qu'il ait été le patron il y a longtemps, à l'époque, la société était petite et ne comptait que quelques personnes.

Actuellement, le chiffre d'affaires de la société a dépassé cinq millions d’euros par an !

Pascal n'aurait-il pas dépensé une dizaine de millions d’euros pour racheter la société !

«Ne t’inquiète pas, Christine, et prends ton temps.» Pascal a dit en souriant, pour persuader Christine.

En regardant Pascal partir dans la Bentley, Christine a pincé les lèvres rouges et s'est demandé au fond de son cœur : « Au fond, quel est son statut réel, pourquoi il a fait semblant d'être pauvre alors qu'il est si riche ? »

Dans la voiture Bentley.

«Jeune maître, il y a un projet d'investissement demain, vous devez rencontrer le patron de l'autre partie.» Fortuné a souri avec le visage plein de rides.

«Je n’y vais pas.»

Pascal a répondu sèchement, il ne voulait pas du tout s’occuper de ces affaires.

Il été forcé d'hériter de la propriété familiale, personne ne pourrait lui demander d'y assister.

«Alors vous pourriez aussi bien me rendre les cent mille euros, jeune maître.» Fortuné a dit avec indifférence.

Pascal est resté bouche bée, avec stupeur, et a dit à contrecœur : «Alors, j'y vais, d’accord ?»

Tant pis pour moi, l'héritier d'une famille puissante, j’étais obligé de me plier pour cent mille euros !

Pathétique et lamentable !

«D’accord, jeune maître. Je viendrai vous chercher demain.» Fortuné a ri.

Au moment où il sortait de la voiture, Pascal a entendu une voix perplexe : «Pascal, pourquoi es-tu là ?»

Pascal a inconsciemment du tourné la tête pour regarder, c'était en fait Valérie d’air perplexe, qui le fixait avec un regard étrange.

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