C'était avec une joie débordante que j'avais débuté ma journée. Il fallait que j'ai bonne mine en croisant mon patron.
Je me lavai et fis un léger maquillage après mon bain. Je descendis voir les parents. Mon père me mit toujours la pression alors qu'Arnaud était venue me chercher.
Avant que je m'en aille, il s'écria :
_Catherine, t'as pu trouver un boulot aujourd'hui, chérie n'oublie pas d'en trouver un mari. Ta mère et moi devenons déjà assez vieux, nous méritons de voir ta progéniture avant notre mort.
Je l'avais regardé sans rire à cette blague. Je montai dans le véhicule de mon frère avec le visage serré. Il avait gâché ma bonne humeur matinale.
_Ne sois pas vexé chérie. Avait dit Arnaud. Papa veut seulement que tu sois une femme comblée.
_Il exagère déjà non! Pourquoi essayer de toujours me rappeler les mêmes choses sans arrêt enfin? Bon sang! je n'aurai que 23 ans pas 40 ans...j'ai tout mon temps à vivre et peut-être à trouver également l'amour.
_Je sais.
_Et quoi? Je m'étais enflammée. Pourquoi agit il comme si j'étais déjà assez vieille et qu'il fallait à tout prie que j'épouse quelqu'un.
_Catherine, il n'a pas dis celà...
_ Et dis moi, toi!! Qu'est ce qu'il essaye de dire depuis un moment? Il n'a pas cessé de me critiquer, je te signale qu'il a même dit qu'il me jettera hors de la maison après mon vingt troisième anniversaires, c'est dingue non?
_Calme toi Catherine. Il ne fera pas ça !! Je le connais et même s'il le faisait, je suis là pour toi. Tu dois sourire en pensant à la chance que tu as d'avoir un grand frère comme moi. Je vais t'épauler. Avait il dit avec un ton rassurant.
Je me calmai enfin.Quelques secondes après, j'avais repris calmement.
_Pourquoi fait-il cela Arnaud?
_Parce qu'il veut que tu sois indépendante. Avoir un travail et trouver l'amour cela te rendra plus heureuse dans le futur crois-moi.
Je l'avais regardé sans rien dire. Il m'avait recommandé de changer ma mine. Pour trouver un emploi, il fallait avoir une bonne mine. J'avais souris et changer mon humeur.
Il me déposa comme d'habitude et il ne manqua pas de me rappeler que j'étais une championne. Il s'en alla.
J'entrai dans le building pas assez enthousiasmée mais je savais qu'il me fallait ce job.
Après avoir décroché ce boulot, je me disais qu'il fallait que je me trouve un appartement pour mener ma vie comme bon me semble. Je laisse partir mes pensées négatives et suivis mon calmement chemin.
*
*
Lorsque je fus entrée dans le bâtiment, j'entendis les cris d'un bébé. Ils étaient ardents. Ces cris me touchèrent et je me sentis soudainement dérangé comme si, j'étais la maman de ce bébé.
Je marchai rapidement et vis la secrétaire. Je m'approchai d'elle.
_Mme que ce passe t'il? Je lui questionnai.
_ Oh Mlle, vous êtes là. Enfaite, c'est la fille du PDG qui pleure ainsi.
_Il est ici? Je lui questionnai en regardant de partout.
_Oui, dans son bureau.
_Avec un bébé?
_Oui.
J'étais un peu choquée alors j'avais demandé:
_Où se trouve son épouse? Elle aurait pu rester avec le bébé à la maison non!
_Écoutez ma Mlle, monsieur vient de perdre son épouse il ya un mois. C'est ce que nous avons appris. Ils avaient un nouveau né alors, tu comprends la suite.
_Seigneur!! Avais-je pleuré.
_N'ont il pas de la famille? N'a t'il pas une mère, une sœur qui peut s'en occuper?
_Nous ne savons rien de la vie de notre patron. L'on se concentre uniquement sur notre job par ici. Avait elle répondu indiscret.
Elle n'avait plus dit un mot lorsqu'elle vit arriver l'adjoint du PDG.
_Mme Marielle, pourquoi retenez-vous cette demoiselle sachant que le boss soit uniquement venu pour la rencontrer. Si non, il ne devrait même pas être ici. L'avait reproché l'homme.
_Je suis désolée monsieur Olinga. S'était elle excusée.
_Venez avec moi, Mlle. Avait dit l'homme et je le suivis dans silence.
Lorsque nous arrivions dans le bureau, je vis le PDG tenant son bébé entre les bras. Il marchait partout essayant de la calmer.
_Monsieur, la demoiselle est arrivée.
_ Oui, d'accord qu'elle s'assoit. Avait-il déclaré sans détacher ses yeux de son enfant.
_Asseyez-vous. Avait dit monsieur Olinga.
J'obéis.
Quelques minutes après, il ne dit rien. Il est toujours concentré sur l'enfant..
_Monsieur, la demoiselle...
_Qu'elle attende!! Avait il crié furieusement. Je ne peux me concentrer sur rien d'autre tant que ma fille pleure, vous comprenez!! Elle peut s'en aller si elle est pressée. Je trouverai quelqu'un d'autre.
Mon cœur s'était déchiré sur ce manque de respect mais je ne pouvais pas rentrer sans ce boulot. J'étais plus que déterminé à l'avoir pour chercher un appartement pour moi. Si non, je devrais continuer à vivre chez mon père et entendre ses critiques et son chantage chaque jour.
Je décidai de patienter. Trente minutes plus tard le cris du bébé n'a pas changé. Je me demandais si elle avait pour habitude de toujours pleurer ainsi. Je me levai et marchai lentement jusqu'à lui. Je dis:
_Monsieur...
_Quoi! Il s'écria en me faisant enfin face.
C'était un homme grand, avoisinant 1,85cm. Visage rond, teint bruin. Couleur des yeux noirs, lèvre rouge. Cheveux courts crépus formant des vagues. Son regard était intimidant mais dans le but de calmer son bébé, j'avais ignoré son manque de respect et avais poursuis.
_Donnez-moi l'enfant, je pense pouvoir la calmer. J'avais dis en déposant mes mains sur la serviette blanche où était enveloppée la petite.
L'enfant attendit le sons de ma voix, elle arrêta de pleurer. Mais son père ne le remarqua pas.
_ Je ne donnerai jamais ma fille à qui que ce soit. Avait-il répondu.
Nous nous regardons dans les yeux pendant un moment avant que je décidai de retourner m'asseoir. À peine, j'avais enlevé ma main sur le bébé, elle recommença à pleurer. C'était qu'en ce moment que son père se rendit compte qu'elle avait cessé de pleurer.
_Mlle, m'interpella t'il. Revenez, s'il vous plaît, revenez vous pouvez l'avoir. Vous pouvez la prendre.
Je m'arrêtai.
Il m' approcha. Il me regarda dans les yeux avec hésitation mais il finit par me passer l'enfant.
Je pris la petite dans mes bras. Elle arrêta de pleurer. Je la regardai. Je jouai avec ses petits doigts. Elle était tout petit et très belle. Ses petits yeux brillaient comme des lanternes chinoises. Elle avait des joux rondes. Bref elle était joufflue comme son papa.
Je me retournai et marchai avec elle. Je me mis à lui chanter une berceuse. Elle attrapa mon index et la saisit assez fort que je sus qu'elle m'aimait. Elle était gentille avec moi et se sentait heureuse et en sécurité.
_J'ai tout fait depuis une semaine maintenant, elle n'a pas cessé de pleurer jusqu'à présent. Déclara mon patron en s'adressant à monsieur Olinga Martin.
_On peut voir qu'elle aime la demoiselle patron. Répondit monsieur Olinga.
_Vous avez raison.
Il y eu un moment de silence. Tout était calme. Seule ma belle voix se faisait entendre alors que je chantais une berceuse à la petite. Elle me regardait avec les yeux qui brillent. Je l'avais souris.
_Pour quel poste est-elle venue? Demanda le PDG.
_ C'est votre nouvelle secrétaire monsieur. Elle est bilingue comme vous avez demandé.
_Vraiment!!
_Oui, monsieur !! Avait répondu son adjoint.
_Dors mon petit bébé. Dors...ma chérie...dors, dors,dors.
Je chantais ainsi pendant dix minutes puis elle s'en dormit dans mes bras. Je me retournais et la rendrai à son père.
Il prit sa fille et me sourit. Dans son regard, je vis une grosse fatigue. C'était pas si difficile de deviner qu'il n'avait pas beaucoup dormi ces derniers temps.
_Merci, Mlle hum...
_Bintcha Catherine. J'avais répondu.
_Je suis heureux pour ce service. J'apprécie énormément.
_C'est rien monsieur, j'avais répondu.
_ Vous vous connaissez vraiment avec les enfants? M'avait-il questionné.
_J'ai grandi dans un milieu où il y'avaient plusieurs enfants. Avais-je répondu brièvement.
_Ah, je vois. Avait-il dit en regardant sa fille.
_Hum!! Je soupirai.
Quelques minutes après, il leva la tête et me regarda. Il dit:
_Pour votre poste mademoiselle, sachez que vous êtes retenue. Je fais confiance à mon adjoint, s'il dit que vous êtes là bonne personne, je n'en doute pas une seconde. Vous pouvez dès demain matin, commencer. Laisser votre adresse et toutes vos informations personnelles.
_D'accord monsieur. Avais-je répondu.
_Monsieur Martin, présenter à la demoiselle, son bureau de travail et récupérez toutes ses informations personnelles pour moi. Avait-il recommandé à son adjoint.
_Comptez sur moi monsieur. Avait-il dit avec une voix haute comme un agent des services secrets.
_Mlle Bintcha, venez avec moi. Juste à l'extrémité gauche de son bureau était un magnifique bureau avec une belle chaise de bureau couleur noir.
Monsieur Martin me le présenta comme mon nouveau bureau. Je visitai l'endroit, c'était magnifique.
_Essayez la chaise mademoiselle. Ce lieux vous appartient désormais. C'est votre lieu de travail.
Je m'étais assis sur la chaise. Je me suis sentie comblée. J'adorais déjà mon lieu de travail. Il y' avaient un ou deux trucs à retoucher, je décidai d'étendre au moins une semaine avant d'apporter un changement à mon goût.
Je laissai mes informations personnelles et retournai joyeuse dans ma maison.
**
Eh oui, comme c'était étonnant de la part de la vieille femme de voir un tel spectacle. J'avais crû qu'elle fera un commentaire dessus mais elle avait fermé les yeux sur le sujet. Donc en soirée nous somme allées nous balader dans la librairie d'Harry. J'avais découvert une seconde personnalité de lui. Il adorait des bouquins. Alors que la porte c'était ouverte, mes yeux étaient tombés sur des milliers de bouquins._Woah!! As-tu lu tous ces bouquins ? Avais-je demandé les yeux remplis d'émotions._Juste quelques centaines..._Quelques centaines ? Je m'étais exclamée dans l'incroyable._Oui, avait il répondu en me regardant avec un regard remplis de questions._J'ai déjà lu des livres, je suis peut-être dans une trentaine pas une centaine. Avais-je dis en plaçant mes mains dans les poches de mon djean. Son regard se balada discrètement sur mon corps ._Ah, je vois. Avait il dit simplement. Viens, avait- il dit en me donnant sa main droite. Je l'avais suivi et nous marchions ensemble
Il s'assit prêt de moi. Il me regardait doucher la petite. Je portais ce jour là, un pantalon djean bleu avec un débardeur blanc dos nu sans soutien gorge. Je sentais son regard se balader sur mon dos. Il faisait semblant d'être concentré sur le bébé mais c'était faux, il était concentré sur mon corps.Mme Viviane avait annoté ce regard et l'atmosphère romantique qu'avait crée le milliardaire sur moi. Sans faire de bruit, elle s'en va.Une fois terminée avec la petite, je voulait lui créer intentionnellement plus de plaisir en lui montrant ce qu'il aime le plus chez moi pour un commencement: mes seins.Je tournai la tête vers lui et il détourna son regard ailleurs._Um, après un bain la petite mérite son lait non? Avais-je demandé._Oui, répondit il d'une façon neutre.J'avais souris discrètement. Je me concentrais et commençai à chercher le nœud de cet habit depuis ma nuque. Je pouvais le faire moi -même mais je faisais semblant en disant:" Merde, il es trop serré."Harry faisait se
_Bonjour Harry, je suis arrivée et ton petit déjeuner également. Puis-je entrer ?" Avait je demandé étant derrière la porte de sa chambre conjugale."Oui," avait il répondu. Je poussais légèrement sur le poignet de la porte avec l' impression de m' aventurer sur un terrain interdit. C'était quand-même la chambre conjugale de mon patron, j'avais pas manqué à ressentir cette impression d'affronter un terrain délicat. Et si Elisabeth Jessica s'y trouvait, comment allait elle prendre une telle chose? Laisser une autre femme qui ne soit pas sa sœur, s'aventurer dans sa chambre conjugale ! J'étais consciente que j'allais vraiment loin mais avais-je le choix ? J'aimais cet homme et même si Jessica s'y trouvait dans les parages et qu'il m'aurait invité à y entrer, je l'aurai fais quand-même avant de penser aux conséquences."Bonjour" je saluai Harry; une fois de plus en gardant mes distances de son lit conjugal. Eh bien ! pour l'autre là, le temps était précipité pour y penser."Bonjour Ca
Le lendemain, nous étions retournés à la maison. Il n'avait pas assez de force pour marcher, je le tenais par le bras en portant le bébé sur mon dos._Tu t'occupes bien de moi. Avait-il dit alors que nous avions atteint le salon de son manoir._J'aime rendre service. Avais-je répondu.L'injection qu'avait fait l'infirmière avait eu des effets secondaires sur lui. Il avait un bras gros alors, il ne pouvait l'utiliser. Je devrais l'aider à tout faire maintenant jusqu'à ce qu'il aille mieux.Il se sentait gêné que je m'occupe de lui. Mais pendant ce temps, moi je le voulais. Je désirais prendre soin de lui pour qu'à force d'être prés de lui, il commence à développer des sentiments pour moi. S'il voyait à quel point j'étais une travailleuse me disais-je, il sera capable de m'aimer en sachant que j'ai cette force de prendre soin de nous trois.Anastasie était également heureuse du fait qu'il y avait eu des effets secondaires sur son bras. Elle m'avait conseillé de le rapprocher plus.Chaq
J'avais quitté l'hôpital en larme en ignorant les pleures de la petite Priscilla. J'avais emprunté un taxi sans savoir où j'allais un si grand matin.Comme nous étions au mois d'octobre, plusieurs étudiants étaient dans ce taxi. Lorsqu'ils descendirent, je le fis également. C'était normal, je ne connaissais aucun autre endroit où aller. J'avais payé le taxi puis j'avais suivi les étudiants. Dans le campus de mon université, j'étais connue comme ancienne étudiante. J'avais pas eu de problème pour y entrer. Je m'assis sur un arbre accompagné de plusieurs autres étudiants. Comme j'étais sortie sans mon portable, j'avais prié un étudiant de me prêter le sien. Il avait accepté. J'avais appelé ma meilleure amie Anastasie." Allô, " qui est-ce? Avait elle demandé."Anastasie, c'est Catherine, j'ai besoin qu'on parle." Avais-je dis la voix tremblante."Oh Cathy, qui ya t'il ? " Avait elle demandé inquiète."Je...c'est un chagrin d'amour." Avais-je répondu."Où es-tu ?" M'avait elle demandé.
Comme ma belle sœur Rosine me l'avait toujours apprise." Ne montre pas à un homme qu'il te rend faible, montre lui que tu es forte quoi qui se passe."En regardant dehors ce jour là, j'avais avalée cette peine. J'avais décidé de faire comme si je n'avais rien attendue de ses propos. Je s’avais qu'il m'observait alors je m'étais retournée avec un visage souriant."Harry, je pense que moi aussi j'aime ce qui se passe entre nous. J'aime vivre ce que nous sommes entrain de partager." Avais-je déclarée."Comment m'avez-vous appelé?" Demanda t'il. "Harry," répondis-je sans gêne. Je l'avais déjà embrasser, je m'en fichais des détails de politesse ou de respect professionnel qu'on accorde au patron puisque j'étais déterminée à le conquérir désormais. "..." Il me regardait dans le silence et je pouvais voir qu'il avait les mâchoires serrées."Es-ce que vous appelez par votre prénom vous cause un problème monsieur ?" Avais-je demandé."NON, " Dit il." Alors pourquoi cet air suprise..." Avais