Mes parents et moi avions célébré toute la soirée la bonne nouvelle. Le jour d'après, je me suis réveillée pour me rendre à mon nouveau travail. J'étais enthousiasmée.
" Catherine." Avait commencé mon père. "Nous attendons toujours avoir des nouvelles sur ton conjoint. Ne nous fait pas trop attendre."
Fâcher, j'avais serré les dents et dis : " père, arrêtez de me mettre la pression vous voulez bien!" J'avais dis. " Je n'ai que 22 ans et j'aurais bien-sûr 23 ans bientôt mais cela ne devrait pas vous amener à m'agacer avec cette histoire de mariage sans cesse."
"Qu'attends-tu parle 22 ans? Ou même 23 ans? Dans mon tutelle, avant 30 ans, tu devras déjà avoir un travail, un époux et au moins deux enfants...tu comprends?" Demanda t'il avec une voix grave assez effrayante.
" Si tu ne remplis pas tous ces trois vœux de ma part alors tu cesse d'exister pour moi. T'avoir dans ma famille sera comme porter un costume de honte et je ne veux vraiment pas avoir honte de mes enfants et tu ne deviendras jamais celle qui me ferras Catherine."
Je l'avais regardé avec un coeur meurtri. La colère débordait mon être et j'avais voulu pleurer mais j'avais su me retenir. Furieusement, je quittai la table sans prendre mon déjeuné."
"Oui, c'est ça, vas-y. Fais comme bon te semble mais n'oublie pas, tu me dois bien ça Catherine à moi et à ta mère. Si tu ne veux pas apporter la honte sur cette famille, trouves toi un mari." Avait crié mon père.
Je descendis sur la grande voie et stoppai un taxi. Je lui donnai alors ma destination qui était l'entreprise «white angel».
Devant l'entreprise, j'étais descendue et avait payé l'homme. Je me dirigeai alors vers l'ascenseur. Là dedans, j' essayai de retrouver ma bonne humeur. Comment pourrai-je arriver à mon lieux de travail avec une salle mine, un premier jour?
L'ascenseur s'offrit, je descendis et retouches rapidement mon make-up. J'avais souris à moi même et dis: " Avec ce nouveau job, je vais me trouver un appartement pour vivre là dedans tranquillement, loin de mon père qui m'agace."
Évidemment, celà me fis sourire. Je réalisai qu'il était très important pour moi de chercher à trouver des solutions à mon problème que de passer mon temps à me plaindre. Si mon père demandait déjà que j' épouse quelqu'un, c'était sans doute parce qu'il ne voulait plus m'avoir sur son toit. Je devais alors apprendre à survivre par mes propres moyens. Pas besoin de trouver un époux maintenant.
Lorsque j'avais pris le couloir qui menait vers mon bureau, j'ai été frappé par les pleurs intenses d'un bébé.
"S'agirait il de ce même bébé d'hier?" Je m'étais demandé.
J'avais maintenant précipité mes pas vers les cris. C'était elle. Je remarquais l'inquiétude sur le visage de son papa. C'était une autre femme qui essayait de calmer ce bébé.
"Oh ma demoiselle !!" Avait pleuré la secrétaire de direction. " Vous êtes ici."
"Que se passe t'il encore Mme ? " J'avais demandé.
"Monsieur est venu pour vous." Avait t'elle répondu. " Il n'a pas fermé l'oeil de la nuit. Il dit qu'après votre départ hier l'enfant n'a pas cessé de pleuré lorsqu'elle s'est réveillée sans vous voir." M'avait expliqué la dame.
"Sans me voir comment ? "Je l'avais questionné.
Elle chouchouta à mon oreille, " Il pense que sa fille se sentira à l'aise avec vous. "
J'étais étonnée. Je marchais incertaine devant l'enfant. "Pourquoi se sentira t'elle à l'aise avec une inconnue qu'avec son papa?" Je m'avais interrogé. " Peut-être même qu'elle s'était calmé hier dans mes bras par hasard !"
"Oh mon amour, "pleura la dame qui l'avait entre ses bras. "Ne pleure plus calme toi."
J'avais regardé le visage de mon patron, il avait des yeux rouges. Fatigué par un manque de sommeil. Il était très fatigué et s'était assis sur une chaise comme une personne agonisante. J'avais alors su qu'il passait un moment très compliqué de sa vie.
Voir un père singulier qui devait s'occuper de son entreprise et de sa petite fille en même temps me rendis émotive.
Je me dirigeai lentement vers son bébé et dit à la vieille dame: " Donner moi le bébé un instant, je vous prie."
Elle s'était retournée pensive un moment. Elle avait le regard par dessus ma tête. Alors, je m'étais retourné pour voir ce qui retenait autant son attention.
J'avais pas les doutes, c'était bien le père de cet enfant. Il m'avait regardé dans le silence pendant un moment avant d'ordonner à la dame de me passer l'enfant. Quand je l'avais ténu dans mes bras, elle arrêta aussitôt de pleurer. Tout le monde était étonné y compris moi.
Après sept voir dix minutes de silence, elle avait recommencé à pleurer. J'avais touché son ventre puis son front puis j'avais déclaré : " monsieur, je pense qu'elle a faim mais surtout, elle a de de fièvre."
Il m'avait regardé silencieux. Il semblait ne pas savoir de quoi je parlais.
"Avez-vous quelques choses pour la nourrir?" J'avais demandé.
"Je pense que son lait doit être dans sa berceuse, Mlle." Avait répondu cette dame qui l'a tenait précédemment.
"J'aurais besoin de ça. " J'avais dis.
La femme alla alors me l'apporter. Mon patron m'offrir une chaise pour que je m'assois. Je m'étais assise et avait pris avec moi le biberon. Je l'avais donné à l'enfant et elle bu.
Après avoir bu, elle avait commencé à transpirer. Je souris sachant qu'elle allait se sentir mieux. J'avais vérifié sa couche et je l'ai nettoyé soigneusement. La petite princesse trouva sommeille dans mes bras.
*
*
Partout était devenu calme. Tous les employés me regardaient comme ci j'avais fais de la magie. Mais c'était rien à mes yeux. Je venais juste de calmer un enfant comme je le faisais toujours avec mes cadets.
" Merci infiniment Mlle. Vous avez fais pour ma fille un faveur, je m'en souviendrai toujours." M'avait déclaré mon patron. Sa voix était remplie de fatigue et c'était à peine s'il tenait debout.
"De rien monsieur !!" Avais-je répondu brièvement sans trop commenter quoique ce soit.
Je l'avais alors rendue l'enfant. Il l'avait pris dans ses bras et je m'étais retiré.
À quelques pas seulement, l'enfant se réveilla et pleura à nouveau. Il revint rapidement me l'a rendre. Je la pris et marchai avec elle mais elle ne voulut se calmer.
"Nous devons la conduire à l'hôpital." Avais-je déclaré inquiète.
Il me regarda me regarda un moment avant de tomber d'accord avec moi. Nous conduisons l'enfant à l'hôpital et les docteurs s'occupèrent de la petite.
"Docteur, comment va t'elle?" Avais-je demandé après qu'elle soit mise sur prévisions.
"Elle a beaucoup souffert car vous avez diagnostiqué sa maladie un peu en retard mais elle ira mieux désormais." M'avait répondu le docteur.
"Merci infiniment madame." Avais-je dis émotive comme si le bébé soit le mien.
"Votre fille a de la chance de vous avoir comme parents même si vous soyez jeunes tous les deux . Alors, je vous prierai de veiller sur elle." Avait dit la dame.
Mon patron et moi se partageons un regard rapide avant de fixer à nouveau la dame.
"C'est attendu." Je répondis.
Elle s'en alla et nous rejoignons la petite dans son lit. Elle n'avait que deux mois et demi, elle était si petite à me yeux et je la trouvais fragile dans mes bras.
Après avoir passé quelques heures avec mon patron à veiller sur sa fille, je regardai ma montre et vit qu'il était 20 heures. Je décidai de retourner chez moi.
Il était silencieux pendant longtemps. Il avait sommeil mais refusait de fermer l'oeil. J'avais l'impression qu'il me soupçonnait de lui enlever sa fille. Mais pourtant, j'aurais voulu qu'il se repose pour une minute.
"Monsieur, je dois partir." Avais-je dis debout avec mon sac sur mon épaule.
"Déjà?" Avait-il demandé.
"Il est 20 heures." Avais-je répondu brièvement.
"D'accord...ok..."
"À demain."
"Oui."
...
Le lendemain, je m'étais réveillée avant les parents. J'étais sortie de la maison comme une fugitive. Je ne voulais pas que mon père me harcèle à nouveau avec son histoire de mariage.
Lorsque j'arrive au bureau, le bras droit de mon patron me demande de l'accompagner à l'hôpital. Dès que j'ai entendu la phrase: « ce sont les ordres du patron» j'ai pas discuté et je l'avais suivi immédiatement.
"Mlle où était vous passé?" M'avait questionné une infirmière. "
"Que se passe t'il?"
"C'est votre fille. Elle n'a pas arrêté de pleurer et votre époux est dans tous ses états."
"Mon époux?" J'avais demandé.
"Oui. Heureusement, il a envoyé quelqu'un vous chercher."
Sur ses mots, je ne répondis point. Nous arrivâmes dans la salle où se trouvait mon patron et sa fille. Lorsqu'il me vit, il conduisit l'enfant à moi.
"Elle n'a pas cessé de pleurer depuis trois heures de la matinée. Je ne sais pas quoi faire."
Je pris le bébé entre mes bras. Il prit mon sac et le posa sur une table. Il me regardait bercer le bébé. Je marchai en chantant et il me suivait. Nous étions comme un couple avec leur nouveau né. Cette proximité me fit pensé à mon père et à ses stupidités envers le mariage. Je me sentis soudainement dérangé de l'avoir aussi près.
La petite se calma puis je voulus sortir. Il me demandais si je rentrais, j'avais répondu non. Je me dirigeai alors au café. Il vint me trouver avec une proposition.
"Mlle Catherine, j'ai pensé à changer votre poste actuel. Je n'ai plus besoin d'une secrétaire, j'aurais besoin de vous comme la nourrice de ma fille."
***
Il s'assit prêt de moi. Il me regardait doucher la petite. Je portais ce jour là, un pantalon djean bleu avec un débardeur blanc dos nu sans soutien gorge. Je sentais son regard se balader sur mon dos. Il faisait semblant d'être concentré sur le bébé mais c'était faux, il était concentré sur mon corps.Mme Viviane avait annoté ce regard et l'atmosphère romantique qu'avait crée le milliardaire sur moi. Sans faire de bruit, elle s'en va.Une fois terminée avec la petite, je voulait lui créer intentionnellement plus de plaisir en lui montrant ce qu'il aime le plus chez moi pour un commencement: mes seins.Je tournai la tête vers lui et il détourna son regard ailleurs._Um, après un bain la petite mérite son lait non? Avais-je demandé._Oui, répondit il d'une façon neutre.J'avais souris discrètement. Je me concentrais et commençai à chercher le nœud de cet habit depuis ma nuque. Je pouvais le faire moi -même mais je faisais semblant en disant:" Merde, il es trop serré."Harry faisait se
_Bonjour Harry, je suis arrivée et ton petit déjeuner également. Puis-je entrer ?" Avait je demandé étant derrière la porte de sa chambre conjugale."Oui," avait il répondu. Je poussais légèrement sur le poignet de la porte avec l' impression de m' aventurer sur un terrain interdit. C'était quand-même la chambre conjugale de mon patron, j'avais pas manqué à ressentir cette impression d'affronter un terrain délicat. Et si Elisabeth Jessica s'y trouvait, comment allait elle prendre une telle chose? Laisser une autre femme qui ne soit pas sa sœur, s'aventurer dans sa chambre conjugale ! J'étais consciente que j'allais vraiment loin mais avais-je le choix ? J'aimais cet homme et même si Jessica s'y trouvait dans les parages et qu'il m'aurait invité à y entrer, je l'aurai fais quand-même avant de penser aux conséquences."Bonjour" je saluai Harry; une fois de plus en gardant mes distances de son lit conjugal. Eh bien ! pour l'autre là, le temps était précipité pour y penser."Bonjour Ca
Le lendemain, nous étions retournés à la maison. Il n'avait pas assez de force pour marcher, je le tenais par le bras en portant le bébé sur mon dos._Tu t'occupes bien de moi. Avait-il dit alors que nous avions atteint le salon de son manoir._J'aime rendre service. Avais-je répondu.L'injection qu'avait fait l'infirmière avait eu des effets secondaires sur lui. Il avait un bras gros alors, il ne pouvait l'utiliser. Je devrais l'aider à tout faire maintenant jusqu'à ce qu'il aille mieux.Il se sentait gêné que je m'occupe de lui. Mais pendant ce temps, moi je le voulais. Je désirais prendre soin de lui pour qu'à force d'être prés de lui, il commence à développer des sentiments pour moi. S'il voyait à quel point j'étais une travailleuse me disais-je, il sera capable de m'aimer en sachant que j'ai cette force de prendre soin de nous trois.Anastasie était également heureuse du fait qu'il y avait eu des effets secondaires sur son bras. Elle m'avait conseillé de le rapprocher plus.Chaq
J'avais quitté l'hôpital en larme en ignorant les pleures de la petite Priscilla. J'avais emprunté un taxi sans savoir où j'allais un si grand matin.Comme nous étions au mois d'octobre, plusieurs étudiants étaient dans ce taxi. Lorsqu'ils descendirent, je le fis également. C'était normal, je ne connaissais aucun autre endroit où aller. J'avais payé le taxi puis j'avais suivi les étudiants. Dans le campus de mon université, j'étais connue comme ancienne étudiante. J'avais pas eu de problème pour y entrer. Je m'assis sur un arbre accompagné de plusieurs autres étudiants. Comme j'étais sortie sans mon portable, j'avais prié un étudiant de me prêter le sien. Il avait accepté. J'avais appelé ma meilleure amie Anastasie." Allô, " qui est-ce? Avait elle demandé."Anastasie, c'est Catherine, j'ai besoin qu'on parle." Avais-je dis la voix tremblante."Oh Cathy, qui ya t'il ? " Avait elle demandé inquiète."Je...c'est un chagrin d'amour." Avais-je répondu."Où es-tu ?" M'avait elle demandé.
Comme ma belle sœur Rosine me l'avait toujours apprise." Ne montre pas à un homme qu'il te rend faible, montre lui que tu es forte quoi qui se passe."En regardant dehors ce jour là, j'avais avalée cette peine. J'avais décidé de faire comme si je n'avais rien attendue de ses propos. Je s’avais qu'il m'observait alors je m'étais retournée avec un visage souriant."Harry, je pense que moi aussi j'aime ce qui se passe entre nous. J'aime vivre ce que nous sommes entrain de partager." Avais-je déclarée."Comment m'avez-vous appelé?" Demanda t'il. "Harry," répondis-je sans gêne. Je l'avais déjà embrasser, je m'en fichais des détails de politesse ou de respect professionnel qu'on accorde au patron puisque j'étais déterminée à le conquérir désormais. "..." Il me regardait dans le silence et je pouvais voir qu'il avait les mâchoires serrées."Es-ce que vous appelez par votre prénom vous cause un problème monsieur ?" Avais-je demandé."NON, " Dit il." Alors pourquoi cet air suprise..." Avais
Mme Viviane m'avait dit: " Ai la foi" j'ai voulu mettre cette foi à l'épreuve. J' avais prié toujours sur lui en suppliant le ciel qu'il se rétablisse. Petit à petit, ses doigts ont bougé. Je n'étais pas si certaines, j'ai pas dépassé mes lèvres des siennes. Je continuais de prier. Je fus convaincu qu'il soit bien vivant lorsqu'il bougea ses lèvres contre les miennes. " Infirmière !! " avais-je crié de joie. Je sortis de la pièce en courant.J'avais informé l'infirmière sur ce qui s'était passé. Elle était étonnée qu'il avait vraiment bougé. "Comment avez faites, Mme ?" Me demanda t'elle."Secret d'épouse. " Répondis-je en souriant."Je vois. Que votre amour triomphe toujours. " Dit elle. Demain, Il ne subira pas d'autres examens. Tout ça c'est grâce à vous." Elle avait ajouté.J'étais si fière de moi, si fière de cet exploit. Alors, l'amour peut vraiment réanimer une personne ? Je m'étais questionnée calmement. Le lendemain, je n'avais pas fermé l'œil. J'avais veillé sur lui comm