Après que la petite fille se soit réveillée, le docteur nous avait parmi de l'amener à la maison. J'avais été conduis dans une berline noire escorté par six garde du corps.
Nous étions arrivés chez lui après quatre heures de route. Le chauffeur a garé. L'un d'eux avait ouvert la portière de la voiture. J' étais descendu admirant les milliards entrée dans cet endroit. Partout brillaient que j'eus honte d'être partie habillée aussi simplement. Les roses arrosé par des guirlandes lumineuses et des statues antiques des dieux grecs ornaient cet endroit par leur beauté.
Je m'étais retourné pour lui regarder. J'avais respiré lourdement lorsqu'il m'invita à le suivre. Escorté alors qu'il tenait sa fille dans sa main droite dans un berceau. Il m'avait regardé car j'avais hésité un moment de franchir la porte.
_Venez. Avait il dit en me prenant par le bras.
Je me retournai. J'avais regardé ses gardes personnel qui s' étaient mise debout à leurs différents poste de travail. Puis dans le silence, je l'avais suivi à l'intérieur.
C'était incroyable. Ce que je voyais n'était pas enfaite sa maison. C'était juste comme une sorte de décoration. C'était lorsque nous traversons cette caricature que j'avais vu sa maison.
C'était un grand palais comme la construction romaine de l' antiquités. Des maisons royale. Et dire qu'il vivait tout seul là de-dans. Lorsque nous sommes entrés, j'avais senti une chaleur étrangère couvrir mon corps.
La maison était silencieuse. Toutes les photos étaient retournés, des miroirs couvert et des fenêtres fermées.
C'est n'était pas si difficile de savoir qu'il y avait deuil là bas. Je m'étais retourné et avait admiré le lieu. J'avais remarqué plusieurs entrées qui conduisait tous à ses allées qui se limitaient à cause du noir qu'il faisait.
_Venez avec moi Mlle. Avait-il dit étant à ma gauche.
Rapidement, je l'avais suivi. Nous avions marché un peu. Il me présenta une grande chambre avec deux berceau; le bleu et le rose.
Le berceau bleue était couvert par un drap blanc. Dans la chambre également, j'avais que la fenêtre soit fermée avec un drap blanc. Puis à ma droite, une porte condamnée. Tout ceci me glaçait le corps. Je frissonnais sans raison.
Je l'avais regardé. Il ne me donnait aucune attention. Il avait placé sa fille dans le berceau rose et jouait tendrement avec ses grosses joux comme des oranges.
J'étais curieuse. J'avais vu temps de choses bizarre alors j'ai voulu savoir plus.
_Monsieur, pourquoi...
_Vous n'avez aucune question à posé Mlle. Ici, c'est moi qui pose des questions et j'attends des réponses.
Il m'avait interrumpu sans lever la tête. J'avais gardé ma bouge ouverte. Que venait il de dire. Je n'avais pas bien compris. Il venait de me privé de la parole chez lui.
Cinq minutes après, il s'était mis debout. Il m'avait approché légèrement. Il avait gardé un écart de deux mètre entres nous. Il avait dit:
_Chez-moi, les domestiques n'ont pas droits de poser des questions. Vous faites uniquement votre travail et s'il est bien fait, je ne vous causera jamais de problème. Mais, si vous essayez d'être curieuse et foudre votre nez là où il ne faut pas, là nous pourrons avoir des problèmes.
_Mais monsieur...
_Oh! M'avait il interrompu avec le doigt. Les domestiques ne prennent pas la parole sans permission. Si je suis entrain de parler, vous attendez jusqu'à ce que je décide de vous donner la paroles.
_Mais monsieur...
_Non, j'ai dis vous demandé la parole. Ne soyez pas têtue.
_Je suis désolée.
_Bien.
Il m'avait regardé silencieux puis il s'était dirigé vers sa fille. Il jouait avec elle pendant un moment.
_ Monsieur.
_Oui.
_Je veux poser une question. Est-ce que j'ai votre permission?
_Oui, si elle concerne le travail.
_Elle concerne le travail. J'avais répondu après un bref silence.
Il s'était levé et avait marché jusqu'à moi. Il s'était assuré de garder une certaine distance entre nous.
_Je vous écoute.
_À quoi consiste mon boulot? Combien d'heures devrais-je travailler et à quel heure devrais-je rentrée à la maison?
_Vous avez posez plusieurs questions mademoiselle laquelle devrai-je répondre?
_Je ne sais pas! Elles le semblent toutes importantes.
_Elles vous semble toute importantes. Avait-il repris mes mots.
_Oui, monsieur.
_ Pour moi, elles ne le sont pas.
_...
_Je vais vous dire une seule chose. Lorsque vous travaillez pour monsieur Bill, vous devez apprendre à être disponible à tout moment.
_Quoi?
_Oups! J'ai pas encore terminé.
_Desolé mais je...
_J'ai dis, j'avais pas terminé.
J'avais gardé silence. Il n'avait pas pris la parole toute suite. Il m'avait longtemps observé avant de le faire.
_ Vous serez à mon service 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24. Si j'ai besoin de vos services, vous devriez être présente. Et n'oubliez pas, je viens de vous engager pour un travail si important, c'est d'ailleurs pour ça que je vous payerai si cher.
Je l'avais regardé sans aucune émotion. Il ne m'avait pas encore signé de chèque alors, j'avais décidé de m'en aller de cet endroit vite fait si j'avais pas droit à la parole ni de jours de repos.
_Monsieur, puis-je parler?
_Oui, si c'est important.
_C'est important.
_Allez-y.
_Monsieur, je ne pense pas pouvoir faire ce travail.
_Pourquoi?
_Je ne veux pas vous donner d'explications.
_Pourquoi?
_Parce que c'est c'est personnelle.
_Pourquoi?
_Comment?
_Pourquoi c'est personnelle? Nous parlons affaires, si votre raison de refuser ce travail soit personnelle, je dois le savoir parce qu'elle concerne le service que vous devez rendre à ma fille.
_...
J'avais gardé le silence et l'avais regardé amusé. Alors me disais je. Croit-il pouvoir m'empêcher de rejeter un boulot.
_Vous voyez. Avait il brisé le silence. Cette raison n'est pas importante. Alors, vous restez et je vais vous signez votre premier chèque.
Je ne voulais plus de cet argent. C'est vrai je voulais devenir indépendante mais, je n'étais pas prête à accepter les conditions de ce travail. Elles étaient énormes pour moi.
J'étais heureuse d'avoir terminée mes études car elle m'avaient vraiment coupé du monde. Je devrai être entrain de travailler puis me faire plaisir et découvrir le monde. Accepter de travailler pour cet homme était juste absurde. C'était comme retourné sur les bancs et suivre les instructions des professeurs très sévères.
_Ça ne vaut pas la peine monsieur. Avais-je déclaré. J'ai pas besoin de cet argent. J'ai pas encore travaillé pour vous alors, je ne mérites aucun salaire car j'ai pas l'intention de travailler pour vous non plus.
_J'ai déjà signé le chèque pour vous Mlle, vous faites de ça comme bon vous semble. Pour moi vous êtes mon employé et vous êtes responsable de ma fille. Avait-il répondu en me tendant le chèque.
_Vous n'êtes pas sérieux!
_Je le suis. Avait il répondu en me forçant la main de recevoir le chèque.
J'avais serré les dents et lui regardé. Sans trop vouloir jouer au chat et à la souris, j'avais pris sa main et plaça le chèque.
_Desolé monsieur Bill, je vous ai dis, je ne suis pas disponible à faire ce travail. Cherchez une autre personne. J'avais dis en le regardant droit dans les yeux.
Le silence avait couvert la chambre. J'avais fais deux minutes à le regarder. Sans perdre une seule minute, je m'étais retourné pour partir.
_Vous ne pouvez pas partir. Avait-il.
J'avais serré mes dents puis j'avais précipité mes pas vers la porte de sortie.
_Ma fille a besoin de vous Mlle.
En attendant cette phrase, je m'étais retourné. Je l'avais regardé et regarder tout ce qui me paraissait étrange avant de redéposer mon regard sur sa personne.
_Mais moi je ne veux pas travailler dans endroit où j'ai pas des droits, monsieur. Avais-je répondu. Si vous changez vos principes, vous avez mon numéro, appelez moi. J'avais ajouté avant de claquer la porte.
***
Il s'assit prêt de moi. Il me regardait doucher la petite. Je portais ce jour là, un pantalon djean bleu avec un débardeur blanc dos nu sans soutien gorge. Je sentais son regard se balader sur mon dos. Il faisait semblant d'être concentré sur le bébé mais c'était faux, il était concentré sur mon corps.Mme Viviane avait annoté ce regard et l'atmosphère romantique qu'avait crée le milliardaire sur moi. Sans faire de bruit, elle s'en va.Une fois terminée avec la petite, je voulait lui créer intentionnellement plus de plaisir en lui montrant ce qu'il aime le plus chez moi pour un commencement: mes seins.Je tournai la tête vers lui et il détourna son regard ailleurs._Um, après un bain la petite mérite son lait non? Avais-je demandé._Oui, répondit il d'une façon neutre.J'avais souris discrètement. Je me concentrais et commençai à chercher le nœud de cet habit depuis ma nuque. Je pouvais le faire moi -même mais je faisais semblant en disant:" Merde, il es trop serré."Harry faisait se
_Bonjour Harry, je suis arrivée et ton petit déjeuner également. Puis-je entrer ?" Avait je demandé étant derrière la porte de sa chambre conjugale."Oui," avait il répondu. Je poussais légèrement sur le poignet de la porte avec l' impression de m' aventurer sur un terrain interdit. C'était quand-même la chambre conjugale de mon patron, j'avais pas manqué à ressentir cette impression d'affronter un terrain délicat. Et si Elisabeth Jessica s'y trouvait, comment allait elle prendre une telle chose? Laisser une autre femme qui ne soit pas sa sœur, s'aventurer dans sa chambre conjugale ! J'étais consciente que j'allais vraiment loin mais avais-je le choix ? J'aimais cet homme et même si Jessica s'y trouvait dans les parages et qu'il m'aurait invité à y entrer, je l'aurai fais quand-même avant de penser aux conséquences."Bonjour" je saluai Harry; une fois de plus en gardant mes distances de son lit conjugal. Eh bien ! pour l'autre là, le temps était précipité pour y penser."Bonjour Ca
Le lendemain, nous étions retournés à la maison. Il n'avait pas assez de force pour marcher, je le tenais par le bras en portant le bébé sur mon dos._Tu t'occupes bien de moi. Avait-il dit alors que nous avions atteint le salon de son manoir._J'aime rendre service. Avais-je répondu.L'injection qu'avait fait l'infirmière avait eu des effets secondaires sur lui. Il avait un bras gros alors, il ne pouvait l'utiliser. Je devrais l'aider à tout faire maintenant jusqu'à ce qu'il aille mieux.Il se sentait gêné que je m'occupe de lui. Mais pendant ce temps, moi je le voulais. Je désirais prendre soin de lui pour qu'à force d'être prés de lui, il commence à développer des sentiments pour moi. S'il voyait à quel point j'étais une travailleuse me disais-je, il sera capable de m'aimer en sachant que j'ai cette force de prendre soin de nous trois.Anastasie était également heureuse du fait qu'il y avait eu des effets secondaires sur son bras. Elle m'avait conseillé de le rapprocher plus.Chaq
J'avais quitté l'hôpital en larme en ignorant les pleures de la petite Priscilla. J'avais emprunté un taxi sans savoir où j'allais un si grand matin.Comme nous étions au mois d'octobre, plusieurs étudiants étaient dans ce taxi. Lorsqu'ils descendirent, je le fis également. C'était normal, je ne connaissais aucun autre endroit où aller. J'avais payé le taxi puis j'avais suivi les étudiants. Dans le campus de mon université, j'étais connue comme ancienne étudiante. J'avais pas eu de problème pour y entrer. Je m'assis sur un arbre accompagné de plusieurs autres étudiants. Comme j'étais sortie sans mon portable, j'avais prié un étudiant de me prêter le sien. Il avait accepté. J'avais appelé ma meilleure amie Anastasie." Allô, " qui est-ce? Avait elle demandé."Anastasie, c'est Catherine, j'ai besoin qu'on parle." Avais-je dis la voix tremblante."Oh Cathy, qui ya t'il ? " Avait elle demandé inquiète."Je...c'est un chagrin d'amour." Avais-je répondu."Où es-tu ?" M'avait elle demandé.
Comme ma belle sœur Rosine me l'avait toujours apprise." Ne montre pas à un homme qu'il te rend faible, montre lui que tu es forte quoi qui se passe."En regardant dehors ce jour là, j'avais avalée cette peine. J'avais décidé de faire comme si je n'avais rien attendue de ses propos. Je s’avais qu'il m'observait alors je m'étais retournée avec un visage souriant."Harry, je pense que moi aussi j'aime ce qui se passe entre nous. J'aime vivre ce que nous sommes entrain de partager." Avais-je déclarée."Comment m'avez-vous appelé?" Demanda t'il. "Harry," répondis-je sans gêne. Je l'avais déjà embrasser, je m'en fichais des détails de politesse ou de respect professionnel qu'on accorde au patron puisque j'étais déterminée à le conquérir désormais. "..." Il me regardait dans le silence et je pouvais voir qu'il avait les mâchoires serrées."Es-ce que vous appelez par votre prénom vous cause un problème monsieur ?" Avais-je demandé."NON, " Dit il." Alors pourquoi cet air suprise..." Avais
Mme Viviane m'avait dit: " Ai la foi" j'ai voulu mettre cette foi à l'épreuve. J' avais prié toujours sur lui en suppliant le ciel qu'il se rétablisse. Petit à petit, ses doigts ont bougé. Je n'étais pas si certaines, j'ai pas dépassé mes lèvres des siennes. Je continuais de prier. Je fus convaincu qu'il soit bien vivant lorsqu'il bougea ses lèvres contre les miennes. " Infirmière !! " avais-je crié de joie. Je sortis de la pièce en courant.J'avais informé l'infirmière sur ce qui s'était passé. Elle était étonnée qu'il avait vraiment bougé. "Comment avez faites, Mme ?" Me demanda t'elle."Secret d'épouse. " Répondis-je en souriant."Je vois. Que votre amour triomphe toujours. " Dit elle. Demain, Il ne subira pas d'autres examens. Tout ça c'est grâce à vous." Elle avait ajouté.J'étais si fière de moi, si fière de cet exploit. Alors, l'amour peut vraiment réanimer une personne ? Je m'étais questionnée calmement. Le lendemain, je n'avais pas fermé l'œil. J'avais veillé sur lui comm