Il s'assit prêt de moi. Il me regardait doucher la petite. Je portais ce jour là, un pantalon djean bleu avec un débardeur blanc dos nu sans soutien gorge. Je sentais son regard se balader sur mon dos. Il faisait semblant d'être concentré sur le bébé mais c'était faux, il était concentré sur mon corps.Mme Viviane avait annoté ce regard et l'atmosphère romantique qu'avait crée le milliardaire sur moi. Sans faire de bruit, elle s'en va.Une fois terminée avec la petite, je voulait lui créer intentionnellement plus de plaisir en lui montrant ce qu'il aime le plus chez moi pour un commencement: mes seins.Je tournai la tête vers lui et il détourna son regard ailleurs._Um, après un bain la petite mérite son lait non? Avais-je demandé._Oui, répondit il d'une façon neutre.J'avais souris discrètement. Je me concentrais et commençai à chercher le nœud de cet habit depuis ma nuque. Je pouvais le faire moi -même mais je faisais semblant en disant:" Merde, il es trop serré."Harry faisait se
_Bonjour Harry, je suis arrivée et ton petit déjeuner également. Puis-je entrer ?" Avait je demandé étant derrière la porte de sa chambre conjugale."Oui," avait il répondu. Je poussais légèrement sur le poignet de la porte avec l' impression de m' aventurer sur un terrain interdit. C'était quand-même la chambre conjugale de mon patron, j'avais pas manqué à ressentir cette impression d'affronter un terrain délicat. Et si Elisabeth Jessica s'y trouvait, comment allait elle prendre une telle chose? Laisser une autre femme qui ne soit pas sa sœur, s'aventurer dans sa chambre conjugale ! J'étais consciente que j'allais vraiment loin mais avais-je le choix ? J'aimais cet homme et même si Jessica s'y trouvait dans les parages et qu'il m'aurait invité à y entrer, je l'aurai fais quand-même avant de penser aux conséquences."Bonjour" je saluai Harry; une fois de plus en gardant mes distances de son lit conjugal. Eh bien ! pour l'autre là, le temps était précipité pour y penser."Bonjour Ca
Le lendemain, nous étions retournés à la maison. Il n'avait pas assez de force pour marcher, je le tenais par le bras en portant le bébé sur mon dos._Tu t'occupes bien de moi. Avait-il dit alors que nous avions atteint le salon de son manoir._J'aime rendre service. Avais-je répondu.L'injection qu'avait fait l'infirmière avait eu des effets secondaires sur lui. Il avait un bras gros alors, il ne pouvait l'utiliser. Je devrais l'aider à tout faire maintenant jusqu'à ce qu'il aille mieux.Il se sentait gêné que je m'occupe de lui. Mais pendant ce temps, moi je le voulais. Je désirais prendre soin de lui pour qu'à force d'être prés de lui, il commence à développer des sentiments pour moi. S'il voyait à quel point j'étais une travailleuse me disais-je, il sera capable de m'aimer en sachant que j'ai cette force de prendre soin de nous trois.Anastasie était également heureuse du fait qu'il y avait eu des effets secondaires sur son bras. Elle m'avait conseillé de le rapprocher plus.Chaq
J'avais quitté l'hôpital en larme en ignorant les pleures de la petite Priscilla. J'avais emprunté un taxi sans savoir où j'allais un si grand matin.Comme nous étions au mois d'octobre, plusieurs étudiants étaient dans ce taxi. Lorsqu'ils descendirent, je le fis également. C'était normal, je ne connaissais aucun autre endroit où aller. J'avais payé le taxi puis j'avais suivi les étudiants. Dans le campus de mon université, j'étais connue comme ancienne étudiante. J'avais pas eu de problème pour y entrer. Je m'assis sur un arbre accompagné de plusieurs autres étudiants. Comme j'étais sortie sans mon portable, j'avais prié un étudiant de me prêter le sien. Il avait accepté. J'avais appelé ma meilleure amie Anastasie." Allô, " qui est-ce? Avait elle demandé."Anastasie, c'est Catherine, j'ai besoin qu'on parle." Avais-je dis la voix tremblante."Oh Cathy, qui ya t'il ? " Avait elle demandé inquiète."Je...c'est un chagrin d'amour." Avais-je répondu."Où es-tu ?" M'avait elle demandé.
Comme ma belle sœur Rosine me l'avait toujours apprise." Ne montre pas à un homme qu'il te rend faible, montre lui que tu es forte quoi qui se passe."En regardant dehors ce jour là, j'avais avalée cette peine. J'avais décidé de faire comme si je n'avais rien attendue de ses propos. Je s’avais qu'il m'observait alors je m'étais retournée avec un visage souriant."Harry, je pense que moi aussi j'aime ce qui se passe entre nous. J'aime vivre ce que nous sommes entrain de partager." Avais-je déclarée."Comment m'avez-vous appelé?" Demanda t'il. "Harry," répondis-je sans gêne. Je l'avais déjà embrasser, je m'en fichais des détails de politesse ou de respect professionnel qu'on accorde au patron puisque j'étais déterminée à le conquérir désormais. "..." Il me regardait dans le silence et je pouvais voir qu'il avait les mâchoires serrées."Es-ce que vous appelez par votre prénom vous cause un problème monsieur ?" Avais-je demandé."NON, " Dit il." Alors pourquoi cet air suprise..." Avais
Mme Viviane m'avait dit: " Ai la foi" j'ai voulu mettre cette foi à l'épreuve. J' avais prié toujours sur lui en suppliant le ciel qu'il se rétablisse. Petit à petit, ses doigts ont bougé. Je n'étais pas si certaines, j'ai pas dépassé mes lèvres des siennes. Je continuais de prier. Je fus convaincu qu'il soit bien vivant lorsqu'il bougea ses lèvres contre les miennes. " Infirmière !! " avais-je crié de joie. Je sortis de la pièce en courant.J'avais informé l'infirmière sur ce qui s'était passé. Elle était étonnée qu'il avait vraiment bougé. "Comment avez faites, Mme ?" Me demanda t'elle."Secret d'épouse. " Répondis-je en souriant."Je vois. Que votre amour triomphe toujours. " Dit elle. Demain, Il ne subira pas d'autres examens. Tout ça c'est grâce à vous." Elle avait ajouté.J'étais si fière de moi, si fière de cet exploit. Alors, l'amour peut vraiment réanimer une personne ? Je m'étais questionnée calmement. Le lendemain, je n'avais pas fermé l'œil. J'avais veillé sur lui comm