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CHAPITRE 6 : L’infidélité

Autor: L'encre
last update Última actualización: 2025-09-09 06:09:55

– Tu as raison ! Alors là, je te souhaite une agréable nuit vu que tu es encore célibataire !

– Merci ! Sinon, quand voudriez-vous que je démarre avec votre fille ?

– Nous sommes la date 8 aujourd’hui ! Vous pouvez commencer le 10 n’est-ce pas ?

– Il n’y a pas de souci ! Le 10 est jeudi ! Il n’y a pas de problème ! En matinée ou en soirée ?

– Matinée, c’est bon ! Dix heures par exemple !

– D’accord, madame ; il n’y a pas de souci.

– Ok, à demain ! Passe une excellente nuit !

J’ai raccroché l’appel et ai fixé le toit. Assise, j’imaginais Xavier dans son profond sommeil pendant que moi, je pensais au sexe. Calmement, je me suis levée et suis allée me coucher.

***

Jeudi matin.

Il sonnait sept heures quarante-cinq minutes lorsque Xavier, saisissant son sac à main, s’est dirigé vers la sortie.

– Attends papa, il faut que je t’aide ! s’écria Elcha en le rattrapant. Donne-moi ton sac, je vais te l’emmener dans ta voiture.

– Merci ma chérie !

Sous mes yeux, Elcha avait pris le sac à son père et collés l’un contre l’autre, ils s’en sont allés.

Me levant, je me suis dirigée vers la cuisine. Ouvrant la casserole, j’ai regardé si la sauce en restait suffisamment. La refermant, je me suis dirigée vers le gaz et l’ai activé. J’ai soulevé la casserole et l’ai posée sur le feu. Je me redressais lorsqu’est arrivée Elcha.

S’approchant des assiettes, elle les empila dans une grosse bassine et les emmena au front du lavabo. Prenant l’éponge et le savon, elle commença à frotter et à rincer les assiettes.

– Elcha, fais vite et va apprêter la salle d’étude ; il ne faut pas que ton répétiteur vienne t’attendre pour ça…

– Ne t’inquiète pas, maman, j’ai encore au moins deux heures. Je vais tout gérer avant son arrivée.

– Ok !

M’affairant aux devoirs qui m’étaient particuliers, Elcha faisait les siens. Les ayant terminés, elle est rapidement allée arranger la salle d’étude. Se précipitant à la salle de bain, elle est allée se laver pendant que moi je tournais la pâte de maïs sur le feu. Et parce que tout début a toujours une fin, en quelques minutes, moins d’une heure, j’avais terminé la cuisine et me suis filée sous la douche. Ayant pris une bonne douche, j’étais revenue dans ma chambre. Saisissant mon panier de beauté, je me suis mise à me rendre plus belle qu’à jamais.

Eh oui, il me fallait cela ! Il fallait que je me présente toute belle pour atteindre ma cible.

Et puisque Xavier, aussi simple que soit-il, m’avait autorisé toutes les tenues, j’ai enfilé l’une de mes robes transparente. N’ayant pas allaité beaucoup d’enfants dans ma vie, mes seins étaient encore légèrement debout comme mes fesses l’étaient.

Avec un soutien-gorge, j’avais soutenu un tout petit peu mes seins qui, cette fois, étaient plus debout que ceux d’une jeune fille qui n’a jamais connu le sexe.

Qui allait se négliger ? Tout le monde, sauf moi !

Je mettais mes feux de beauté pour charmer mon visage lorsque Elcha est arrivée, toute souriante.

– Maman, le répétiteur est déjà là !

– Super ! J’espère que tu as déjà pris ton déjeuner ?!

– Si !

– D’accord, rapidement, va travailler ! Concentre-toi et pose autant de questions que tu veux !

– D’accord, maman ! Mais le répétiteur t’envoie une salutation !

– Dis-lui que je viens !

– Ok, à tout à l’heure !

Elcha me quitta et se dirigea vers la sortie. M’étant bien mirée dans la glace, je suis finalement sortie, en direction du salon. Empruntant un chemin, je me suis dirigée dans une pièce dont à travers sa fenêtre en vitre, je pouvais clairement voir Elcha et son répétiteur en train de travailler.

Je pouvais les voir mais eux, non ! À travers la fenêtre, je voyais Guy encore plus sublimissime que le premier jour.

Aussi débrouillard que soit-il, Guy connaissait la mode. Il savait ce qui attire et ce qui rend plus beau et très beau.

L’observant dans sa belle tenue, j’étais enivrée.

Oui, j’aime la mode et ce mec en sait quelque chose. Xavier n’aime pas la mode. Il trouve que c’est quelqu’un qui n’a rien à faire qui se préoccupe des modèles.

Ayant longuement observé Guy par la fenêtre, je me suis approchée de la porte de la pièce et l’ai ouverte.

– Bonjour madame !

– Oui, bonjour monsieur ! Comment vas-tu ?

– Je vais super bien, merci ! J’avais demandé après vous et Elcha m’a dit que vous étiez sous la douche !

– Tout à fait ! Sinon, j’espère que tu vas super bien !

– Très très bien !

– Bien, je vous laisse travailler !

– Merci madame !

Et je me suis retournée dans la pièce, refermant la porte. Revenant à la fenêtre, j’observais incessamment Guy dans sa sublimissence.

J’aime tout ce qui va avec la beauté, l’esthétique ! J’aime trop ça.

En plus de sa beauté, Guy avait une très belle écriture en plus. Sur le tableau noir, il traçait de très jolies lettres avec sa magnifique écriture.

Pendant plus de quarante minutes, j’étais restée sur la fenêtre, observant les démonstrations de Guy. J’admirais beaucoup ses façons de démontrer les choses des sciences de mathématiques. Avec tout ce qu’il disait, j’étais sûre que Elcha allait apprécier sa tête.

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