– Tu as raison ! Alors là, je te souhaite une agréable nuit vu que tu es encore célibataire !
– Merci ! Sinon, quand voudriez-vous que je démarre avec votre fille ?
– Nous sommes la date 8 aujourd’hui ! Vous pouvez commencer le 10 n’est-ce pas ?
– Il n’y a pas de souci ! Le 10 est jeudi ! Il n’y a pas de problème ! En matinée ou en soirée ?
– Matinée, c’est bon ! Dix heures par exemple !
– D’accord, madame ; il n’y a pas de souci.
– Ok, à demain ! Passe une excellente nuit !
J’ai raccroché l’appel et ai fixé le toit. Assise, j’imaginais Xavier dans son profond sommeil pendant que moi, je pensais au sexe. Calmement, je me suis levée et suis allée me coucher.
***
Jeudi matin.
Il sonnait sept heures quarante-cinq minutes lorsque Xavier, saisissant son sac à main, s’est dirigé vers la sortie.
– Attends papa, il faut que je t’aide ! s’écria Elcha en le rattrapant. Donne-moi ton sac, je vais te l’emmener dans ta voiture.
– Merci ma chérie !
Sous mes yeux, Elcha avait pris le sac à son père et collés l’un contre l’autre, ils s’en sont allés.
Me levant, je me suis dirigée vers la cuisine. Ouvrant la casserole, j’ai regardé si la sauce en restait suffisamment. La refermant, je me suis dirigée vers le gaz et l’ai activé. J’ai soulevé la casserole et l’ai posée sur le feu. Je me redressais lorsqu’est arrivée Elcha.
S’approchant des assiettes, elle les empila dans une grosse bassine et les emmena au front du lavabo. Prenant l’éponge et le savon, elle commença à frotter et à rincer les assiettes.
– Elcha, fais vite et va apprêter la salle d’étude ; il ne faut pas que ton répétiteur vienne t’attendre pour ça…
– Ne t’inquiète pas, maman, j’ai encore au moins deux heures. Je vais tout gérer avant son arrivée.
– Ok !
M’affairant aux devoirs qui m’étaient particuliers, Elcha faisait les siens. Les ayant terminés, elle est rapidement allée arranger la salle d’étude. Se précipitant à la salle de bain, elle est allée se laver pendant que moi je tournais la pâte de maïs sur le feu. Et parce que tout début a toujours une fin, en quelques minutes, moins d’une heure, j’avais terminé la cuisine et me suis filée sous la douche. Ayant pris une bonne douche, j’étais revenue dans ma chambre. Saisissant mon panier de beauté, je me suis mise à me rendre plus belle qu’à jamais.
Eh oui, il me fallait cela ! Il fallait que je me présente toute belle pour atteindre ma cible.
Et puisque Xavier, aussi simple que soit-il, m’avait autorisé toutes les tenues, j’ai enfilé l’une de mes robes transparente. N’ayant pas allaité beaucoup d’enfants dans ma vie, mes seins étaient encore légèrement debout comme mes fesses l’étaient.
Avec un soutien-gorge, j’avais soutenu un tout petit peu mes seins qui, cette fois, étaient plus debout que ceux d’une jeune fille qui n’a jamais connu le sexe.
Qui allait se négliger ? Tout le monde, sauf moi !
Je mettais mes feux de beauté pour charmer mon visage lorsque Elcha est arrivée, toute souriante.
– Maman, le répétiteur est déjà là !
– Super ! J’espère que tu as déjà pris ton déjeuner ?!
– Si !
– D’accord, rapidement, va travailler ! Concentre-toi et pose autant de questions que tu veux !
– D’accord, maman ! Mais le répétiteur t’envoie une salutation !
– Dis-lui que je viens !
– Ok, à tout à l’heure !
Elcha me quitta et se dirigea vers la sortie. M’étant bien mirée dans la glace, je suis finalement sortie, en direction du salon. Empruntant un chemin, je me suis dirigée dans une pièce dont à travers sa fenêtre en vitre, je pouvais clairement voir Elcha et son répétiteur en train de travailler.
Je pouvais les voir mais eux, non ! À travers la fenêtre, je voyais Guy encore plus sublimissime que le premier jour.
Aussi débrouillard que soit-il, Guy connaissait la mode. Il savait ce qui attire et ce qui rend plus beau et très beau.
L’observant dans sa belle tenue, j’étais enivrée.
Oui, j’aime la mode et ce mec en sait quelque chose. Xavier n’aime pas la mode. Il trouve que c’est quelqu’un qui n’a rien à faire qui se préoccupe des modèles.
Ayant longuement observé Guy par la fenêtre, je me suis approchée de la porte de la pièce et l’ai ouverte.
– Bonjour madame !
– Oui, bonjour monsieur ! Comment vas-tu ?
– Je vais super bien, merci ! J’avais demandé après vous et Elcha m’a dit que vous étiez sous la douche !
– Tout à fait ! Sinon, j’espère que tu vas super bien !
– Très très bien !
– Bien, je vous laisse travailler !
– Merci madame !
Et je me suis retournée dans la pièce, refermant la porte. Revenant à la fenêtre, j’observais incessamment Guy dans sa sublimissence.
J’aime tout ce qui va avec la beauté, l’esthétique ! J’aime trop ça.
En plus de sa beauté, Guy avait une très belle écriture en plus. Sur le tableau noir, il traçait de très jolies lettres avec sa magnifique écriture.
Pendant plus de quarante minutes, j’étais restée sur la fenêtre, observant les démonstrations de Guy. J’admirais beaucoup ses façons de démontrer les choses des sciences de mathématiques. Avec tout ce qu’il disait, j’étais sûre que Elcha allait apprécier sa tête.
– Bien sûr ! C’est l’argent qui me dicte actuellement sa loi ! Sinon, je vais tout renouveler bientôt !– Wouah ! Et combien environ pourrait coûter ce renouvellement ?– Hum ? Ça va vraiment me coûter hein ! Mais je sais que je vais y arriver un beau jour, j’en suis certain !– Écoute, mon cher Guy ! J’aime quand on m’obéit. Je viens de te poser une question qui mérite bien une réponse ! Mais, tu ne m’as pas répondu !– Oh, au temps pour moi ! Le renouvellement de tout le salon va coûter environ neuf cents mille francs. Parce que même les meubles, je vais tout changer !– D’accord, neuf cents mille francs ! Accorde-moi un instant.Saisissant mon sac, j’ai pris mon téléphone. J’ai rapidement composé un code ; un code qui me permet habituellement de créditer mon compte lorsque j’ai besoin d’argent. Au bout de quelques secondes de manipulation, j’ai retiré techniquement une somme importante de mon compte bancaire sur mon compte Orange Money.– Rappelle-moi ton numéro s’il te plaît, lui
– Oh, dis-lui que je lui envoie aussi un coucou !– Ok, à très vite maman !– Oui, à très vite ! Bonne concentration !– Merci maman !Après le départ d’Elcha, le souvenir d’une scène de la nuit m’a hanté l’esprit.Oui, j’ai commencé par me souvenir d’un événement de la nuit.La nuit dernière, comme toutes les autres, Xavier m’a laissée pour s’endormir.– Jusqu’à quand je dois vivre cette vie ? me suis-je demandé. Je pense que je dois me conformer à ces femmes qui, étant bien sous le toit d’un homme, se trouve un pneu secours qui leur fait vivre d’agréables moments.Et là, ma décision venait d’être prise ! Je dois me trouver un rival à Xavier. Je dois avoir un pneu secours pour des cas de crevaison ; oui, un pointeur endurant !Je me suis levée et me suis dirigée vers la pièce où j’ai l’habitude d’observer Guy avec ma fille, apprenant.Au début, je l’ai bien observé par la fenêtre. J’ai longuement écouté sa belle et douce voix. Observant ses lèvres bouger, je me suçais les lèvres. C’é
– J’aimais une belle et jolie femme. Mais malheureusement, elle m’a trompé. Depuis cette trahison, j’ai perdu le goût de tomber de nouveau amoureux d’une femme…– Quoi ? Mais c’est stupide ! En amour, on doit toujours s’attendre à la déception ; à la trahison et quoi encore ?! Puisque c’est tout cela qui compose l’amour ! Et aimer, c’est être prêt à avoir le cœur briser un beau jour. Et une chose très importante : on n’aime jamais avec tout son cœur. Quand on aime avec tout son cœur, voilà exactement ce qui arrive ! Une fois blessé par l’être en qui on a mis toute sa confiance, on a désormais du mal à aimer de nouveau de peur d’être une fois encore blessé. Voilà pourquoi, bien étant heureuse sous le toit de mon époux, je ne l’aime pas à 100% ; juste 55%…– Quoi ? Mais…mais là, vous ne l’aimez pas !– Si, que je l’aime ! Mais je ne peux que l’aimer à ce pourcentage car, je sais qu’il peut se lever un jour et me dire qu’il ne m’aime plus !– Mais vous êtes très belle et il ne peut jamai
Après les avoir longuement observés, lui et ma fille, je me suis retournée au salon. Fouillant le téléphone, l’heure était rapidement passée sans que je ne m’en rende compte.– Maman, a appelé ma fille, monsieur Guy demande le chemin !– Avez-vous déjà terminé ?– Si, il est midi déjà !– Ah d’accord ! Va m’appeler ton répétiteur.– D’accord, maman !Ma fille, m’obeissant, alla l’appeler.– Toc toc toc !– Entre, monsieur Guy ! lui lançai-jeSous mon autorisation, Guy est entré et s’est approché.Me levant, je l’ai orienté vers la table à manger.– Comment as-tu trouvé ma fille ?– Votre fille est très intelligente ! Elle assimile vite les choses.– Dieu merci ! Et toi Elcha, comment était la séance ?– Très intéressante ! J’ai trop aimé, sincèrement.– Merci ! Alors, monsieur Guy, je voudrais que tu partages notre repas de midi avec nous…– Désolé, madame ; je n’ai pas l’habitude de partager mes repas dans les maisons inconnues…– Maisons inconnues ?– Si !– S’il te plaît Guy, mets
– Tu as raison ! Alors là, je te souhaite une agréable nuit vu que tu es encore célibataire !– Merci ! Sinon, quand voudriez-vous que je démarre avec votre fille ?– Nous sommes la date 8 aujourd’hui ! Vous pouvez commencer le 10 n’est-ce pas ?– Il n’y a pas de souci ! Le 10 est jeudi ! Il n’y a pas de problème ! En matinée ou en soirée ?– Matinée, c’est bon ! Dix heures par exemple !– D’accord, madame ; il n’y a pas de souci.– Ok, à demain ! Passe une excellente nuit !J’ai raccroché l’appel et ai fixé le toit. Assise, j’imaginais Xavier dans son profond sommeil pendant que moi, je pensais au sexe. Calmement, je me suis levée et suis allée me coucher.***Jeudi matin.Il sonnait sept heures quarante-cinq minutes lorsque Xavier, saisissant son sac à main, s’est dirigé vers la sortie.– Attends papa, il faut que je t’aide ! s’écria Elcha en le rattrapant. Donne-moi ton sac, je vais te l’emmener dans ta voiture.– Merci ma chérie !Sous mes yeux, Elcha avait pris le sac à son père
Ma fille, comme elle en a l’habitude, se courba et me fit un baiser sur la joue droite avant de se diriger vers la sortie.***Il sonnait vingt heures, l’heure du repas dans mon foyer.Mon époux, ma fille unique, moi-même, tous les trois, nous étions à table, en train de manger.– Elcha, appela Xavier, je veux te changer ton téléphone portable…– Youpiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Merci papa ! Et dis, quelle marque veux-tu m’acheter cette fois ?– Fais une proposition, toi-même !– D’accord, il y a de belles marques ! Les mercredis sont tes jours de repos. Alors, je voudrais bien que tu m’emmènes dans une boutique à ton prochain jour de repos.– Ne t’inquiète pas, ma chérie ! On ira ensemble.– Merci papa ! Et sincèrement, merci d’être tout le temps un bon père dans ma vie. Je t’aime plus que tout, tu sais ?À cette phrase, j’ai tourné mon regard pour observer Elcha dans la bêtise qu’elle venait de raconter.– Ça va, maman ! Arrête de me toiser ! Je t’aime, toi aussi !Xavier éclata de rire en