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Chapitre 5 La relation de fiançailles

Penulis: Irène Grodin
Les deux sont entrés dans l’entreprise des Hubert et le tournage s’est déroulé incroyablement bien.

Lorsque Jean trouvait que les vêtements étaient laids, mais la remarque d’Inès de « pas mal » a suffi à le faire taire.

Si Jean cherchait la petite bête, un seul regard d’Inès et il n’osait plus rien dire.

Notre Jean gâté était si soumis, après tout, il avait peur qu’Inès le frappe !

Le tournage qui devait prendre cinq heures a été bouclé en seulement deux heures, grâce à la coopération de Jean.

Après le tournage, Jean a demandé à Inès en tirant sa main : « Inès, Inès, viens, viens avec moi, je t’invite à manger ! »

« Non, je n’ai pas encore fini mon travail », a répondu Inès avec froideur.

Des employés de l’entreprise étaient à proximité. Des discussions ont éclaté dans le groupe de chat entre eux.

« Incroyable ! Le petit maître Guillot invite Inès à manger et il est refuse ! »

« Mais merde, quelle est la vraie histoire de cette Inès ? Une campagnarde non seulement chouette mais géniale comme ça ? »

« Si Jean m’invitait, je me mettrais en grève pour manger avec lui ! Ah ah ah ! »

Jean, rejeté, était sur le point de pleurer, mais il ne pouvait que dire : « Non mais, ma chère Inès, pourquoi tu travailles chez Hubert au lieu de vivre dans ton manoir et de voyager autour du monde ? La famille Lopez serait-elle ruinée ? Mais moi, je peux te soutenir, tu sais ! »

Inès l’a regardé avec dédain : « Le fabuleux destin d’Inès Lopez, tu ne le comprends pas. »

Puis Inès est retournée au département des secrétaires pour continuer son travail.

Tout le monde pensait que Jean allait partir en colère, mais ce qui s’est passé ensuite était d’autant plus étrange : le jeune maître, qui était habituellement impatient et qui n’attendait personne, est resté dans la salle de repos pour attendre Inès jusqu’à la fin de son travail.

Lors de la fin de la journée, Marion est sorti de son bureau et s’est adressé à Inès qui était assise à sa place : « Grand-père a réservé un restaurant, nous y mangeons ensemble, allons-y. »

Marion ne voulait pas y aller, mais son grand-père avait eu une crise cardiaque récemment et l’avait menacé : « Si tu ne viens pas, je retirerai mes aiguilles. »

Marion, contraint, a dû accepter.

Lorsque Marion a juste posé la question, Jean est entré.

« Inès, Inès, tu as fini ton travail ? On peut aller manger maintenant ? »

En entrant, Jean a remarqué Marion.

« Marion ? »

Inès, surprise, a proposé : « Pourquoi ne pas y aller ensemble ? »

Finalement, les trois se sont retrouvés au restaurant réservé par le grand-père de Marion.

Sur le chemin, Jean parlait sans arrêt, Inès répondant de temps en temps.

Arrivés au restaurant, Jean est devenu encore plus attentionné, tirant la chaise pour Inès, ajoutant des plats, etc.

Marion se sentait comme un étranger.

« Dis, Inès, pourquoi es-tu venue travailler chez Hubert ? Quelle est ta relation avec Marion ? »

Jean avait toujours l’intuition que leur relation n’était pas simple.

Inès a jeté un coup d’œil à Marion : « Mon grand-père me l’a demandé. Notre relation ? Les fiançailles. »

Jean s’est étouffé avec son eau et a craché : « Quoi ? » Il a continué : « La fiancée du PDG venue de la campagne, c’est toi ? »

Inès a acquiescé nonchalamment.

Ayant entendu tant de rumeurs, Jean ne pouvait s’empêcher de dire : Inès venait certes de la campagne, mais de celle où les manoirs valaient des milliards, avec des dizaines de villas...

« Vous deux... » Jean les regardait, incrédule.

« Pas d’amour, nous annulerons les fiançailles dans trois mois », a dit Inès calmement.

Jean, rassuré, a hoché la tête, ne pouvant s’empêcher de dire : « Tant mieux, Marion ne te mérite pas ! Il est froid et ennuyeux, pas aussi bien que moi. »

Marion, qui mangeait tranquillement, a levé les yeux : « ? »

Il ne méritait pas Inès ?

« Jean, tu sais la voiture que tu voulais et que ton frère m’a demandé de t’acheter en cadeau... alors... »

« Non, non, non, Marion, ce n’est pas ce que je voulais dire. »

Jean a souri en gêne.

Le repas s’est déroulé dans une ambiance plutôt agréable. Inès et Marion ont dit au revoir à Jean à la porte du restaurant.

« Au revoir, Inès ! Je passerai te voir quand j’aurai le temps. »

Inès lui a caressé la tête avec affection : « Au revoir, petit Jean, fais attention sur la route ! »

Humm, comme caresser un chien de traîneau à la maison.

Mais pour Marion, ce geste avait une signification différente. L’homme dont les yeux étaient légèrement plissés, a déclaré dans la voiture peu après : « Alors, tu es sûre de ne pas m’intéresser parce que tu as déjà quelqu’un en tête. »

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