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Chapitre 16

Une demi-heure après, chacun a montré son cadeau à la grand-mère. Bien que les cadeaux des autres ne soient pas aussi fastueux que celui de Charles, ils étaient toujours chers, n’importe quel cadeau coûtaient plus de trois cents mille euros.

Le cadeau de Chloé a attiré aussi attention des autres. Elle a préparé une paire de bracelets dont la couleur et la qualité étaient parfaites, ils étaient vraiment extraordinaires.

La grand-mère les aimait sans aucun doute en offrant une couronne de lauriers à Chloé. Après avoir reçu ce cadeau, elle a dénoncé au public : « Chloé était la sœur aînée de sa génération, et elle était aussi une fille soigneuse et douce. Maintenant, elle restait célibataire, ainsi, si certains d’entre vous veulent devenir son futur mari, venez pour demander sa main, s’il vous plaît ! Mais, tout compte fait, son fiancé ne peut pas être trop espiègle, car il devra être un exemplaire dans la famille. »

À ces mots, Chloé a rougi. Beaucoup d’invités étaient aussi touchés de ces paroles.

Chloé, ayant un statut bien appréciable dans les Averie, était une belle fille charmante. Elle était une Muse ou une perle !

Maintenant, Chloé était assise près de Laurent. Vu que tous étaient placés selon leur âge et leur génération, bien des gens enviaient Laurent qui était assis au milieu des deux beautés, Charlotte à droite et Chloé à gauche.

Laurent a hoché la tête à la vue de ces bracelets.

« Ces bracelets étaient vraiment de bonnes choses. » a dit Laurent, plongé dans les monologues, « Ils sont faits en jade et en courtois.»

Le jade et le courtois étaient tous les deux des matériels splendides. Ils étaient somptueux, fins et transparents. Alors, ces bracelets coûtaient au moins quatre cents mille euros.

Restant assise, Chloé a entendu Laurent murmurer. Elle a froncé les sourcils et s’est tournée vers lui.

En fait, Chloé et Laurent n’avaient aucune relation : Chloé était une Muse dans le paradis, au contraire, Laurent était un campagnard sué dans des labours. À partir de ce mariage scandaleux, Chloé n’a même jamais parlé avec lui.

Mais maintenant, Chloé lui a dit avec curiosité : « Laurent, connais-tu le jade et le courtois ? »

Chloé était renversée. Personne n’a reconnu les matériels de ces bracelets dans les Averie, mais Laurent, il arrivait à les distinguer !

Laurent a hoché la tête : « Si, combien as-tu payé pour ce cadeau ? »

« Six cents mille euros. »

« Cela ne vaut pas le coût. Ils ne valent que presque quatre cents mille euros. » a dit Laurent, d’un ton regret.

« Mais pourquoi ? »

Chloé était vraiment curieuse. Une de ses amies intimes lui avait vendu ces bracelets, et pourtant, elle avait dit que c’était une mévente.

« Il y a plusieurs éléments pour qualifier un jade : la forme, la dureté, la température et la couleur. » a dit Laurent d’un ton base, « En matière des trois premiers standards, tes bracelets sont de très bonne qualité. Mais malheureusement, ils n’ont pas de couleur splendide, tu vois, la couleur ne se répartit pas très bien dans tes bracelets. Dans le marché, ils coûtent presque cinq cents mille euros. Si tu l’achètes à ton amie, ils coûteront seulement quatre cents mille euros. Elle a tiré un profit énorme au cas où elle t’aurait vendu ce cadeau à six cents mille euros. »

Chloé restait bouche bée devant Laurent !

Même les spécialistes ne sauraient analyser ces qualités avec une telle sureté !

Néanmoins, Laurent ? N’était pas-il un bon à rien selon les autres ? Il avait des connaissances sur le jade ? Impossible !

« Grand-mère, voici mon cadeau ! » Un jeune homme d’une vingtaine d’année s’est avancé.

Ce jeune homme, appelé Frédéric Frey, était le petit-fils dans les Frey.

Après qu’il avait ouvert la boîte, tout le monde était étonné.

Il y avait un chèque !

1 million 314 mille 521 euros !

Ce chiffre a bénéficié du nombre des jours, et cela était l’incarnation d’une affection dans tous les jours. Quoique rhétorique, cette somme était non négligeable !

« Grand-mère, je veux devenir le futur mari de Chloé. Je l’aime depuis longtemps. » a dit Frédéric fermement.

Tous les regards ont visé à Chloé !

À ce moment-là, Chloé a discuté du jade avec Laurent, il était très proche d’elle.

Ainsi, Frédéric s’est mis tout à coup en colère. Il voudrait se marier avec Chloé, mais elle était en train de parler avec ce Laurent ? Parler avec les autres, cela marchait, mais Laurent ? Laurent était un rebut !

« Bon à rien, éloigne-toi de ma Chloé ! » Frédéric a gonflé contre Laurent.

Laurent a souri. À cet instant, Chloé a dit : « Grand-mère, je pense que nous devons réfléchir sur ce mariage. »

Il y avait du monde, alors, Chloé ne voulait pas refuser directement. Frédéric était un homme malin, et il avait des succès dans ses commerces. Cependant, son horizon n’était pas vaste, il n’était pas le goût de Chloé.

La grand-mère s’est rapidement rendue en compte, elle a dit, souriante : « Frédéric, nous pouvons discuter de ce mariage après la cérémonie, d’accord ? »

Frédéric a regardé Laurent avec haine, ses yeux ont rougi de honte.

À la première vue de Chloé, Frédéric était tombé amoureux de cette demoiselle.

En guise de demoiselle hautaine et distante, Chloé n’a presque jamais parlé avec les hommes. Mais aujourd’hui, elle a échangé des paroles avec Laurent avec plaisir. Frédéric était très fâché.

« Grand-mère, monsieur Claudel Gautier est arrivé ! » Quelqu’un a dit.

Tous les regards se sont tournés vers la porte !

Claudel, dans un costume, ayant coiffé une chevelure admirable, avait l’air très attirant. Il s’est avancé vers la grand-mère avec une longue boîte.

« Claudel est arrivé. » La grand-mère a souri.

Tous étaient au courant que Monsieur Gautier avait préparé un cadeau extraordinaire, alors, une forte curiosité se planait en air. Chacun avait entendu dire que ce cadeau pourrait faire plaisir à la grand-mère. Quel cadeau ? Pourquoi il avait tant de confiance en lui ?

Claudel s’est courtoisement incliné. Son apparence était simplement un masque clinquant, en fait, il était à bout de ses forces. Les Travers l’avaient abandonné en coupant tous ses maillages et tous ses fonds.

Aujourd’hui, il a vidé son compte pour acheter ce costume. Il n’y avait qu’une solution devant lui : Claudel devait arriver à son but.

« Grand-mère, moi, Claudel, je dévoile directement mon désir. » Claudel a dit lentement, « Je suis tombé amoureux de Charlotte d’un coup de foudre. Mais elle s’est mariée avec un tel déchet ! Trois années de mariage ont rendu ce mariage un scandale ! Charlotte a subi tant de moqueries, je ne peux pas la laisser dans cette situation souffrante ! Aujourd’hui, je dois dévoiler mon cœur. »

Claudel a profondément respiré : « Je veux me marier avec Charlotte Averie ! »

Ses mots ont fait des ravages dans les participants.

Il a dévoilé ses buts trop directement ! C’était comme donner des gifles à Laurent ! Mais Laurent était un bouffon, il était fait pour être humilié ! Chacun pouvait l’offenser et le brimer.

« Depuis des années, Charlotte occupe complètement mon os et ma chair. » Claudel a ajouté, « Je peux tout abandonner pour elle. Pardonne-moi ! Je ne suis pas un génie. J’ai fait des efforts mais j’ai simplement trois cents millions d’euros. J’ai vendu ma petite entreprise, simplement parce que Charlotte m’a dit qu’elle adorait l’Amour de Cristal ! »

Quoi ?

Tout le monde était choqué en regardant les chaussures de Charlotte.

Tous les regards se sont focalisés sur ces hauts talons ! La forme ondoyante et élégante a attiré l’attention de tous !

Ces chaussures merveilleuses ont souligné la beauté de Charlotte.

« C’est un miracle. Ces chaussures coûtent trois cents millions d’euros ... »

« Il n’existait que 99 dans le monde. Pour les acheter, un maillage personnel est aussi important. »

« Charlotte a de la chance ! Si j’ai ces hauts talons, je dormirai avec ces chaussures... »

Des jeunes femmes discutaient sans cesse. Aucune fille ne pouvait se résister devant le charme de l’Amour de Cristal.

À ce moment-là, beaucoup de femmes ont regardé Claudel avec affection.

Annie et Stéphan ont hoché la tête. Ils étaient très satisfaits de ce jeune homme.

Laurent, en revanche, avait l’air complexe. Qu’est-ce qui n’allait pas avec ce Gautier ? Il a dit que c’était lui qui avait acheté ces chaussures ? Il était fou ou quoi ?

Claudel s’est incliné de nouveau : « Grand-mère, aujourd’hui, c’était votre anniversaire. Je dois vous exprimer mon respect. Voici mon cadeau ! »

À ces mots, Claudel a ouvert la boîte !

Tout le monde l’a entouré en poussant des cris !

« Cela, cela c’est ... »

Tous étaient stupéfaits, même la grand-mère s’est avancée vers lui !

Il y avait un rouleau de peinture !

Claudel a étendu ce rouleau pour faire parade : « Cela, c’est Les Nymphéas de Claude Monet. J’ai acheté cette œuvre de mon ami. Je sais, grand-mère aime des antiquités. Cette peinture exprime mon respect envers la grand-mère. »

Quoi ?

Laurent s’est levé de sa chaise.

Les Nymphéas de Claude Monet ?

Mais deux jours précédents, ses amis l’avaient aussi offert Les Nymphéas ?

À vrai dire, ses amis ne pouvaient pour rien au monde lui offrir une peinture fausse ! Alors, il avait la peinture authentique, autrement dit, celle de Claudel...

« Cela ... Cela c’est Les Nymphéas ? Puis-je croire mes propres yeux ? » La personne la plus respectée des Frey, Nathan Fey, restait bouche bée !

En tant que la personne la plus privilégiée des Frey, Nathan a connu trop de trésors pendant sa vie. Cependant, son cœur se battait vite maintenant ! C’était une œuvre de Claude Monet, c’était Les Nymphéas ! Ce cadeau coûtait sans doute plus de deux cents millions d’euros !

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