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Beranda / Romance / Mon mari milliardaire en état végétatif / Chapitre 11

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Chapitre 11

Penulis: Viviane
Sylvie a pris la carte bancaire tendue et s’est figée un moment.

Elle ne s’attendait pas à ce que Bastien honore son engagement aussi rapidement.

« Merci, grand-père », a-t-elle répondu.

« De rien ! Tu fais partie de la famille Raimond, il est donc normal de dépenser l’argent de la famille Raimond ! », a dit Bastien.

Dans l’après-midi, Sylvie est allée au centre commercial et y a acheté des vêtements, puis elle s’est rendue à l’ancien Groupe Blanc qui était devenu le Groupe Martin, elle s’y est tenue pendant un moment avant de partir.

Le soir, Sylvie a montré ses nouveaux vêtements à Léo : « Regarde ! Je les ai achetés avec l’argent de ta famille ! Ils sont très beaux, n’est-ce pas ? »

« Ils me vont bien, mais c’est dommage que tu ne puisses pas me voir. »

« De plus, j’ai demandé à ta famille cent millions en liquide parce que je veux revitaliser le Groupe Blanc. »

Après avoir dit cela, Sylvie a souri amèrement.

« C’est après tout l’industrie de mon père, le Groupe Blanc était en faillite, mon père devait être très triste ! »

« Si mon père sait que je revitalise le Groupe Blanc, il sera très content, non ? »

Elle a pris une profonde inspiration : « Bon alors, on n’en parle plus, parlons de toi maintenant. »

Sylvie s’est approchée de Léo pour le regarder encore de plus près, voyant son visage beau, ainsi, sa tristesse s’est beaucoup dispersée, elle a même souri.

« Tu as l’air beaucoup mieux ces derniers temps ! Tout cela peut m’être attribué, papa serait certainement fier s’il savait que j’ai épousé un si beau mari. »

Elle lui a touché les lèvres avec sa main.

Emma se tenait à la porte et a tout vu, elle s’est couvert la bouche et a ri.

Son fils, en tant que légume, pouvait attirer les filles, et en tant que mère, bien sûr qu’elle en était fière.

« Sylvie », a dit Emma en frappant à la porte et en la saluant.

En entendant cela, Sylvie a frissonné de choc et a immédiatement retiré sa main.

Elle avait vraiment oublié de fermer la porte !

Elle s’est recoiffée et s’est reprise avant de se diriger vers la porte : « Qu’est-ce qu’il y a, maman ? »

Emma a répondu : « Tu iras à l’école demain, n’est-ce pas ? Je demanderai à Simon de t’y déposer, j’essuierai le corps de Léo demain matin, tu ne feras que tes effets et iras à l’école, d’accord ? »

Après avoir dit cela, Emma a sorti une carte et lui a tendu.

Sylvie s’est empressée de la repousser : « Maman, je ne peux pas la prendre, grand-père m’en a donné une ce matin. »

« C’est l’argent de poche que je te donne, grand-père t’a donnée ce que tu as demandé avant, ce n’est pas conflictuel, tiens-la, tu pourras acheter ce que tu veux. »

Emma a mis la carte dans la main de Sylvie et a jeté un coup d’œil à Léo : « La mine de Léo récemment est de mieux en mieux, c’est grâce à toi ! Je te remercie ! »

En tenant fermement la carte dans sa main, Sylvie avait des sentiments mitigés.

Emma était vraiment forte, d’une seule parole, elle pouvait faire se sentir coupable Sylvie, ainsi, celle-ci pourrait prendre encore plus soin de Léo.

Le lendemain marquait le début de l’année scolaire.

Bien qu’Emma ait dit que Sylvie n’avait pas besoin d’essuyer le corps de Léo, celle-ci s’est encore levée tôt pour le faire avant d’aller à l’école.

« Simon, tu me déposes devant », a dit Sylvie en mettant son cartable.

« Madame Blanc, c’est encore loin de l’école », a répondu Simon.

« Cela ne fait rien, ça fait longtemps que je n’ai pas fait d’exercices, je veux courir à l’école. »

Elle était déjà l’ennemie publique des filles de l’école, si elle a été vue descendant de la voiture de la famille Raimond, ajoutant à ce qui était arrivé à la famille Blanc, elles pourraient de nouveau inventer des rumeurs scandaleuses.

À cette pensée, Sylvie est descendue de la voiture, en un rien de temps, elle est arrivée à l’école.

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Johanne Breton
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