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Home / Romance / Pas de temps pour mes funérailles, mais quand je renais, tu deviens fou / Chapitre 153

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Chapitre 153

Author: Élodie Doré
Tout en restant en ligne, Sylvie s’est précipitée vers le bord de la route pour héler un taxi.

À l’autre bout du fil, la voix de Gérard s’est faite plus sérieuse.

« Bien que le projet d’investissement de VoluRise soit finalisé, il nécessite de nombreux partenaires. Ta mère a passé ces derniers jours à boire avec les clients et les partenaires pour les convaincre de ne pas partir, mais IntelliCréa a réussi à les détourner. »

Sylvie a froncé les sourcils en écoutant.

« Pour empêcher ces clients et partenaires de partir, elle a passé ses journées à boire avec eux, à les flatter. » Gérard a continué : « Hier soir, elle a eu une hémorragie gastrique et a été hospitalisée. Aujourd’hui, elle a besoin d’une signature pour l’opération, mais elle ne voulait pas que je te le dise. »

Le cœur de Sylvie s’est alourdi.

« J’y vais tout de suite. »

« Ne t’inquiète pas trop. Je suis allé à l’hôpital hier soir. Le médecin a dit que ce n’était rien de grave, qu’on était intervenu à temps. »

Sylvie
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    « Après tout, tu ne vis plus avec Alain, et il a bu, alors ne le dérange pas. Laisse-le rentrer se reposer tôt », a dit Héloïse.Sylvie n'était pas du genre à faire des histoires pour ce genre de choses.Et c'était vrai qu'elle ne pouvait effectivement pas trouver de voiture ici.« Dans ce cas, organise un chauffeur pour moi maintenant. »Sylvie ne pouvait plus rester ici une seconde de plus.Héloïse a légèrement hoché la tête.« Alain, je vais m'en occuper. »Après son départ, Sylvie a ouvert la portière et est descendue de la voiture.« Désolé. » La voix de l'homme était extrêmement rauque.La main de Sylvie, qui fermait la portière, s'est arrêtée un instant.« M. Chéron, ce n'est pas la première fois que cela arrive. J'espère que la prochaine fois, tu sauras distinguer les personnes. »« Nous sommes en instance de divorce, j'espère que tu sauras garder tes distances. »Après ces mots, elle a claqué la portière.Sylvie a regardé Alain, son dégoût était évident.Ce n'éta

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    « Il semble s'être tordu le pied, emmène-le à l'hôpital », a ajouté Sylvie.Aujourd'hui était le jour des obsèques de la famille Veil, il était naturel que Noah soit présent.Noah a remercié Sylvie une fois de plus, puis s'est retourné pour partir avec le petit garçon dans les bras.La pluie fine n'a pas cessé, et un vent froid soufflait par intermittence.Une fois qu'ils sont partis, Sylvie ne pouvait s'empêcher de frotter ses bras, sentant un frisson la parcourir.C'était alors qu'une veste noire a été posée sur ses épaules, apportant une chaleur qui a pénétré sa peau, la réchauffant instantanément.Sylvie a légèrement frissonné et, en se retournant, a croisé le regard calme d'Alain.Son visage ne trahissait aucune émotion, il l'a regardée simplement et a dit : « Nous devrions rentrer. »En voyant Alain, Sylvie a ricané froidement, a enlevé la veste et la lui a jetée : « Je n'en ai pas besoin. »Il a attrapé la veste et l'a regardée pendant quelques secondes en silence.Fin

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