All Chapters of Mon Mari Puissant: Chapter 11 - Chapter 20
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Chapitre 11
Portant les chaussures à hauts talons, Vivian a frappé le tapis du pied : « Je voudrais qu’il m’appelle maman, et puis jette-le dehors. » « Toi, bâtard, tu entends ce que Mademoiselle Rosier a dit ? L’appelle maman maintenant. Sinon... » Vincent a violemment rugi. À peine avait-il terminé sa parole, une vingtaine d’hommes robustes ont mis leur main en arrière, puis ils ont tiré un bâton l’un après l’autre. « Sinon, ne m’en veut pas si je vais te cogner. Mais maintenant, je peux te montrer une issue : l’appelle maman tout de suite. » Vincent, avec des sourires aux lèvres, a dit, « Et puis, si tu veux quitter ici sain et sauf, agenouille-toi pour lui demander pardon. Sinon, je vais te battre jusqu’à ce que tu ne puisses pas tenir debout. » Vivian n’arrivait pas à retenir ses sourires, à ce moment-là, elle a fait deux pas en avant sur ses hauts talons, et a sorti son portable de son sac. Elle filmerait et enverrait cette vidéo à Charlotte au cas où Laurent aurait peur
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Chapitre 12
« Toi... » une fois entendu la parole de Claudel, Charlotte a froncé les sourcils, « Mais non, je n’ai pas encore divorcé avec mon mari. » Quoique Laurent soit un peu inutile, il n’épargnait pas ses efforts en faisant des tâches ménagères depuis leur mariage. Il serait reçu des insultes au cas où il commettrait la moindre faute, néanmoins, il ne se plaindrait jamais. Et cette fois-ci, Laurent a emprunté cinq millions dont son entreprise avait besoin, à vrai dire, il l’a sauvée. La veille, lorsque Charles avait proposé que chacun payerait sa part dans la Tour Perle, c’était Laurent qui l’avait aidée à s’échapper de cette situation embarrassante en utilisant l’argent qu’il avait mis de côté pendant ces années. Claudel a fixé Charlottes avec douce : « Ma chère Charlotte, sur quel point je suis inférieur à Laurent ? Lui, il est complètement un rebut ! Assure-toi, à l’occasion de l’anniversaire de grand-mère, je participerai à la réunion familiale avec un cadeau splendide ! Elle
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Chapitre 13
« Charlotte, la fête Saint-Valentin s’approche. Si je peux recevoir une série royale comme cadeau, je me trouverais dans le paradis ! » a dit Dolorès. « C’est impossible. » Charlotte a ri. En effet, la série royale n’existait pas dans le marché, le prix était seulement une chose clinquante. Puisqu’il n’y avait que 520 dans la sphère mondiale, cette série aurait été immédiatement achetée par les autres. Ces consommateurs étaient sans aucune doute issus des castes nobles et privilégiées, des familles comme les Averie n’étaient pas aptes à l’acheter. « Alors, mon amie. » Charlotte a souri, « M’accompagne pour acheter quelques vêtements, d’accord ? L’anniversaire de grand-mère s’approche, et moi, je dois être revêtue de manière somptueuse. » Dolorès a hoché la tête et a pris son amie intime par le bras. Ces deux jeunes femmes sont entrées dans un centre de commerce. Le jour suivant, chez Saphir. Laurent était assis dans le bureau du directeur après s’être levé sur l
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Chapitre 14
« Charlotte, penses-y ! Au cours de ce mariage, tu as subi tant de mépris, n’est-ce pas ? » a dit Annie d’une voix indifférente, « Pendant ces trois années, nous lui avons offert de quoi vivre. Aujourd’hui, il a emprunté cet argent pour sauver ton entreprise, c’est ce qu’il nous doit. Il n’y a aucune dette entre nous et Laurent. Maintenant, tu dois le quitter, tu dois quitter ce crétin tout de suite. » « Mais maman... » Charlotte s’est mordu les lèvres. « D’ailleurs, Claudel m’a téléphoné. Il viendra dans la réunion familiale à l’occasion de l’anniversaire de grand-mère. » Annie a ajouté, « Il a dit qu’il avait déjà préparé un cadeau splendide, et ta grand-mère sera satisfaite. Si elle le trouve aussi bon, tu pourras te marier avec lui. » En parlant, elles ont vu un homme se diriger vers elles. Il portait des costumes de haute qualité, avec une valise dans les mains. C’était le père de Charlotte, Stéphan Averie. Charlotte et Annie se sont avancées vers lui, et tous le
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Chapitre 15
Chloé, portant une jupe, était devant la porte de Saphir. Elle se voyait si ravissante que des paparazzis ont fixé leur caméra vers elle, ils la considéraient comme une nouvelle vedette. Même les gardes l’ont prise pour une vedette, alors, ils ne l’ont pas empêchée. Chloé s’est dirigée directement vers le bureau de directeur, cependant, tandis qu’elle allait frapper à la porte, Hélène est sortie du bureau et l’a côtoyée. À ce moment-là, Hélène allait préparer un thé pour Laurent, et elle a rencontré par coïncidence Chloé à la porte. À peine avait-elle connu son identité que Chloé a été emmenée par les gardes. Chloé était une beauté connue dans cette ville. Une frange des hommes la courtisait, et c’était toujours elle qui refusait les autres. Malheureusement, elle a été emmenée, cela l’a rendue désespérée. La grand-mère s’est rendue compte de ce qui s’était passé, elle se sentait de plus en plus désemparée. ... Le lendemain, dans la villa des Averie. Aujourd’
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Chapitre 16
Une demi-heure après, chacun a montré son cadeau à la grand-mère. Bien que les cadeaux des autres ne soient pas aussi fastueux que celui de Charles, ils étaient toujours chers, n’importe quel cadeau coûtaient plus de trois cents mille euros. Le cadeau de Chloé a attiré aussi attention des autres. Elle a préparé une paire de bracelets dont la couleur et la qualité étaient parfaites, ils étaient vraiment extraordinaires. La grand-mère les aimait sans aucun doute en offrant une couronne de lauriers à Chloé. Après avoir reçu ce cadeau, elle a dénoncé au public : « Chloé était la sœur aînée de sa génération, et elle était aussi une fille soigneuse et douce. Maintenant, elle restait célibataire, ainsi, si certains d’entre vous veulent devenir son futur mari, venez pour demander sa main, s’il vous plaît ! Mais, tout compte fait, son fiancé ne peut pas être trop espiègle, car il devra être un exemplaire dans la famille. » À ces mots, Chloé a rougi. Beaucoup d’invités étaient aussi
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Chapitre 17
« Montre-le-moi. » La grand-mère s’est levée. Les jeunes se sont écartés. Elle a ajusté ses lunettes et a attentivement regardé cette peinture. De petites touches, des utilisations chromatiques, des traces minutieuses ! C’était le huitième miracle du monde ! « C’est une peinture authentique. » Nathan a élevé son pouce, « C’est un miracle, je peux voir Les Nymphéas ici ! » « Oui ! Ces trésors ne se montrent que dans les musées ! » « C’est extraordinaire ! Ces touches merveilleuses, cela mérite une des peintures les plus connues de Monet ! » Les gens faisaient sans cesse des compliments. La grand-mère s’est épanouie de joie. « Très bien ! Très bien ! Très bien ! » La grand-mère a fait l’éloge sans arrêt et a reçu minutieusement cette peinture, « Posez ce trésor dans la boîte ! Vite ! Et n’oubliez pas de le garder attentivement ! » « D’accord. » Les serveurs domestiques ont dit. Puisque tout le monde a constaté que c’était une œuvre de Claude Monet et q
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Chapitre 18
« Des ordures ? » Ces mots ont fait rire à Ingrid, en effet, cette boîte se limitait dans les Versailles du règne des Bourbons. Le matériel était aussi somptueux, elle avait été faite du pommier. Évidemment, le temps a laissé des traces et des citatrices sur sa surface. Mais, elle pouvait découvrir sa délicatesse et sa joliesse ! Cette boîte coûtait presque des centaines de mille euros, pourquoi les Averie l’ont prise pour un déchet ? Influencée par ses habitudes professionnelles, Ingrid a ouvert son sac à dos et a sorti une loupe. Les Poiriers faisaient des commerces des antiquités de génération en génération, et ils trouvaient souvent des trésors dans la rue. Ainsi, chaque Poirier devait apporter une loupe. « Mademoiselle Poirier ? Qu’est-ce que vous faites ? » La grand-mère a ajouté : « Cela, c’est simplement un déchet. Les serveurs vont le jeter dans la poubelle tout de suite. » Ingrid n’a rien dit en découvrant cette boîte à travers de sa loupe. Son
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Chapitre 19
Ingrid était au seuil de continuer sa parole. À ce moment-là, la grand-mère a souri et s’est dirigée vers Charlotte avec un verre de vin. À la vue de cette action, tout le monde s’est arrêté de manger. « Charlotte, ma chère petite-fille. J’ai une chose à te dire. » Elle a dit lentement. « Oui, grand-mère. » a répondu Charlotte. La grand-mère a hoché la tête, « Charlotte, aujourd’hui est mon anniversaire, peux-tu réaliser un de mes souhaits ? Peux-tu négocier avec Saphir ? S’il met d’accord avec notre demande et qu’il nous laisse faire de Jacqueline Bonnet une star, nous pourrons y tirer des profits. Peux-tu m’aider ? » « Grand-mère, je... » Charlotte, en revanche, a jeté un coup d’œil en cachette sur son mari. Auparavant, elle avait fait des efforts pour négocier avec Saphir, et pourtant la grand-mère avait donné tous les lauriers à Charles. À vrai dire, Charlotte était déçue. Laurent lui avait dit qu’elle devrait y refuser... Elle s’est aperçue que
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Chapitre 20
C’était Vincent ! Bien qu’elle ne le connaisse pas, ses amis parlaient souvent de lui ! Jeune, courageux, cruel, Vincent était très connu dans la ville. D’ailleurs, il avait un soutien invincible : Fernand Duval ! Qui était Fernand Duval ? Il était le directeur du Palais d’Artémis, le plus fastueux hôtel de toute la ville. Elle pouvait découvrir son air vicieux. Laurent allait être blessé gravement. « Ne reste pas ici, vite ! » Charlotte était énervée et inquiète, elle s’est levée mais les autres l’ont empêchée. Elle ne savait pas pourquoi elle voulait le sauver. À vrai dire, elle méprisait son mari, cependant, elle était triste quand Laurent allait recevoir des coups. Mais les autres ne le pensaient pas. Ils voulaient admirer ses tragédies. Claudel avait la fringale à voir ce spectacle, il a saisi Charlotte, « Ne t’inquiète pas pour un tel crétin ! Il a fait des siennes et a offensé Monsieur Averie. Tant pis ! » Vincent a saisi la machette et s’est
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