All Chapters of Le Sang du Clair de Lune: Chapter 171 - Chapter 180

Je passai en revue le peu de linge dans la salle de bains, me débarrassant des quatre derniers jours de crasse : de Rosalie, du sang, du gore, de Thea, tout cela tourbillonnant dans les égouts. Puis je m’allongeai sur les draps. Je n'étais pas fatigué, mais à la lumière du jour, je le serais. Où était-on en sécurité ici ? Pouvais-je vraiment compter sur le personnel de l’hôtel pour ne pas ouvrir la porte ? Les rideaux étaient épais – comme tous les rideaux à Vegas – mais étaient-ils complètement impénétrables à la lumière du jour ? Je ne le saurais que lorsqu'il serait trop tard.Il ne me restait que quelques centaines de dollars. J'étais sûr qu'après cela, je pourrais soutirer plus d'argent aux gens en utilisant mon petit tour de magie – le coup de Rosalie – mais j'avais déjà passé assez de temps à quémander pour savoir que je ne voulais pas vivre comme ça. Être obligé de continuer à le faire me semblait injuste.Et en plus de tous mes soucis de sécurité... j'avais faim.Pas vraiment

Sa main s'enfonça et ses doigts effleurèrent ma bite alors que cette dernière commençait à gonfler, coincée le long de la jambe de mon pantalon.— Bientôt, tu ne pourras plus faire marche arrière.Alors que ses doigts s'enroulaient autour de moi, je fermai les yeux.— Je ne veux pas faire marche arrière.— Bien sage, dit Paco en faisant de son pouce et de son index un anneau autour de moi, me tirant vers le haut jusqu'à ce que je fusse libéré de mon pantalon.Chaque contact me semblait électrique, comme si un courant passait à travers lui, à travers ma bite, à travers moi, s'échouant sur le mur métallique derrière moi, puis à nouveau lorsqu'il se pencha.» Je vais te sucer, Jack. Je veux goûter ton sperme, dit-il en faisant un large mouvement, et chaque partie de moi frissonna en entendant la promesse dans ses mots.Alors qu'il s'agenouillait devant moi, je fermai les yeux, puis il pinça ma hanche.» Je ne suis pas une fille en bas. Regarde, ordonna-t-il : et c'est ce que je fis.Il y

— Vous ne m'avez pas vu, lui grognai-je avec mon pouvoir. J'étais torse nu, mais je n’eus pas le temps de lui voler son tshirt : je courus vers la porte, je l’ouvris et je sautai au milieu de la circulation. J'esquivai les voitures qui klaxonnaient jusqu'à ce que je me jetasse dans les buissons au bord de la route.J'appris plus tard que l'étage de l'hôtel où je me trouvais avait subi un incendie nécessitant une évacuation, et ce fut à ce moment-là qu'ils me trouvèrent et supposèrent que j'étais déjà mort par inhalation de fumée. Mon seul salut fut que le coucher du soleil était proche et qu'ils me mirent dans le sac avant de m'emmener à l'extérieur.Et maintenant, j'étais dans le même état que lorsque j'avais quitté Rosalie. Tout mon élan vers l'avant, tout mon argent, mon matériel artistique avait disparu.— Qu'est-ce qui t’est arrivé ?Il y avait de l'irritation dans la voix de Bruce, ainsi qu'une sorte de peur parentale.— Je suis désolé.Il m'avait fallu quelques semaines pour re

— Laisse-moi faire, dis-je, et je tendis la main pour attraper le type qui s'apprêtait à donner un coup de poing à Paco, non pas en le faisant tourner par l'épaule, mais en le tenant à la place. Il se mit à hurler tandis que ses os délicats craquaient et éclataient et que son bras s'affaissait soudain, n'étant plus contrôlé comme il aurait dû l'être, puisque tous les points d'attache de ses muscles glissaient vers le bas.Je ne le lâchai pas. J'aurais vraiment dû garder l'autre type conscient pour qu'il s'excusât : la fille était accroupie sur lui, en train de pleurer, et le troisième ami était en pleine réflexion du type je veux faire quelque chose, mais j’ai trop les jetons, comme s'ils dansaient sur place, l'alcool réduisant à néant leur capacité d’action.— Du coup t’es désolé, non ? demandai-je à celui que je tenais, en lui tirant l'épaule vers l'extérieur et vers le haut.— Oui, acquiesça-t-il en se redressant sur ses orteils, sa voix s'élevant comme si je lui avais donné un cou

J’eus à peine le temps de l'avertir que j’allais jouir, mon sperme se répandant entre mon ventre et le lit. Paco resta parfaitement immobile au-dessus de moi, gémissant à chaque vague de succion occasionnée par mon cul.» Je… je ne sais pas ce qui s'est passé…Encore une fois, pas depuis le lycée. Putain…— Chut, dit Paco en se penchant pour m'embrasser sur la joue. Ça t’a plu ?— Oui. Mon Dieu, oui, répondis-je.— Et je peux continuer ?Il était encore tout dur en moi, et mon cul voulait encore qu'il le prît.— S'il vous plaît, dis-je, en remuant les hanches pour le prouver.— C'est fait, dit-il en recommençant à pousser.Je me redressai et sentis qu'il allait de plus en plus vite.— Oh mon Dieu.J'enroulai mes mains dans les draps pour essayer de m'empêcher de jouir à nouveau si vite, et Paco prit cela comme un défi, afin de baiser le sperme hors de moi. Il me hissa à quatre pattes et je me pressai contre lui alors qu'il s'enfonçait à fond et… je poussai un cri sauvage lorsque j’env