Semua Bab Patron Irrésistible : Prisonnière de Ton Charme: Bab 241 - Bab 250

Point de vue d'HenryJ'avais hâte de voir Sandrine. Aujourd'hui, elle viendrait chez moi après son travail au centre commercial - enfin, elle serait à moi ! J'avais préparé une surprise pour elle chez moi, une soirée incroyablement romantique.Vers la fin de l'après-midi, je n'arrivais déjà plus à rester en place dans mon bureau. J'ai décidé d'aller acheter un café, puis j'ai fait le tour du bâtiment pour essayer de me distraire. Juste au moment où j'allais sortir du bureau, j'ai entendu par hasard Melissa discuter avec Catherine. Elles parlaient d'aller au centre commercial pour regarder quelques robes que Sandie avait mentionnées.Une idée m'a aussitôt enthousiasmé. Je suis retourné à mon bureau et j'ai appelé mes frères un à un, car si une fille allait au centre commercial, j'étais sûr que les autres filles suivraient.Nous avons convenu de nous retrouver là-bas. Nous sommes arrivés en avance et nous nous sommes installés dans un café près de la boutique où travaillait Sandrine, d'o

Point de vue d'HenryJe devenais dingue à cause de l'attitude froide que Sandrine avait envers moi. Le pire, c'est qu'Enzo m'avait appelé pour me demander ce que j'avais bien pu faire, parce qu'il était tombé sur elle au centre commercial et qu'elle lui avait dit que nous avions rompu. Comme si ! Hors de question que j'accepte ça aussi facilement.Heureusement, elle allait travailler dans l'entreprise d'Alexandre, ce qui me donnait un avantage, puisque je pouvais la voir en allant visiter son entreprise. Mais pour être honnête, la situation d'Alexandre et Pascal n'était pas meilleure que la mienne.Et puis il y a eu ce déjeuner ridicule avec les filles et les amis du frère de Virginie - Dieu merci, Sandie n'était pas là. Ces types draguaient nos copines ouvertement, et les filles semblaient s'en amuser.Vendredi, on avait prévu une soirée jeux chez Pascal. Je pensais que ce serait l'occasion idéale de passer du temps entre potes, de discuter un peu. Depuis que j'avais rencontré Sandie

Point de vue de SandrineMême si j'aurais aimé passer une autre nuit dans les bras de Henry, ce n'était pas possible. Après avoir passé toute la journée de dimanche chez Pascal, je devais rentrer pour me préparer au lundi - le premier jour de mon nouveau travail. Henry a fait un caprice comme un enfant.« Si j'avais su que tu ne passerais pas la nuit ici, je ne t'aurais jamais laissée sortir du lit ce matin. » s'est-il plaint une nouvelle fois en m'accompagnant jusqu'à la porte.« Mais alors, on n'aurait pas pu passer une journée aussi agréable avec nos amis. » lui ai-je rappelé.« Oui, c'est vrai que c'était agréable ! Mais être en toi, c'est bien plus plaisant que de rester avec eux. » Son air boudeur m'a fait rire, mais au fond, moi aussi, j'avais envie de revivre un moment d'intimité avec lui. Nos corps s'accordaient si parfaitement, c'en était indéniable - comme s'ils avaient été créés l'un pour l'autre.Après avoir dit au revoir à Henry, je suis rentrée chez moi et ma mère m'a a

Point de vue d'HenryLe week-end dernier avec ma déesse a été absolument merveilleux. J'ai été submergé par une euphorie pure. Nous avons admiré les paysages paradisiaques de cette île déserte, nagé longtemps dans la mer, et chaque recoin du yacht a gardé les traces de notre étreinte. Bordel ! J'aimais déjà ce yacht, mais maintenant, il est devenu mon endroit préféré sur Terre.Dimanche soir, elle a dormi chez moi. J'en ai profité pour lui offrir une trousse de maquillage et un body blanc que j'avais achetés quelques jours plus tôt. Elle les a beaucoup aimés, mais elle m'a averti de ne plus lui faire de cadeaux à l'improviste. Je lui ai répondu que ce body n'était pas pour elle, mais pour moi - je voulais le lui enlever moi-même, pièce par pièce.J'ai accompagné ma déesse au bureau de Miller, elle rayonnait littéralement - heureuse et pleine d'énergie. Moi aussi. Je ne m'étais pas senti aussi bien depuis longtemps. Être avec Sandrine est devenu le meilleur moment de ma journée.Je suis

Point de vue de SandrineDepuis lundi soir, je n'avais pas revu Henry. Je lui avais demandé de passer plus de temps avec son neveu, et j'en avais profité pour aider maman à faire ses valises, car nous allions emménager dans notre nouvel appartement la semaine prochaine.La semaine était passée rapidement. Alexandre m'a demandé de redécorer le bureau qu'il partageait avec Catherine, et j'ai adoré cette mission. Le seul souci, c'était cette vipère de Céleste, qui ne ratait aucune occasion de me faire subir ses petites tortures.« Il y a des beaux parleurs dans ce bureau qui se prennent pour des génies », a lancé Céleste d'un ton moqueur en me voyant me diriger vers le bureau d'Alexandre.« Tu dois vraiment m'aimer, pas vrai ? Écoute-moi bien, chère Céleste », lui ai-je répondu d'un ton neutre en la fixant, « reste aussi loin de moi que possible ! » « Fais gaffe, mauviette ! » « Mon Dieu, épargne-moi... ou je vais finir par lui frotter la figure contre le sol », ai-je soupiré en levant