Semua Bab Patron Irrésistible : Prisonnière de Ton Charme: Bab 651 - Bab 660

Point de vue de PascalCe matin, je me suis réveillé en pensant à ce que je pourrais faire pour m'entendre avec Lexie. Mes amis avaient raison. Il fallait que j'arrête de la traiter comme une petite fille, parce qu'elle n'en était plus une. Cela m'était apparu avec une clarté douloureuse hier, quand je l'ai vue. Cette adorable fillette était devenue une femme éblouissante. C’était une déesse capable d'ensorceler les hommes et de les rendre fous d'amour. Cependant, je savais que je ne pouvais pas être l'un de ces hommes. C'était peut-être pour cela que je m'efforçais de garder vivante l'image de la petite fille dans mon esprit.Non, je ne pouvais pas regarder Lexie comme une femme. Ce serait un désastre, parce que je tomberais certainement sous son charme. Et elle m'était interdite d’avance. Elle ne pouvait pas être une simple conquête, ni un passe-temps. C'était la sœur de l'un de mes meilleurs amis. J'avais assisté à sa naissance, je l'avais tenue dans mes bras quand elle n'était q

Point de vue de LexieJ'ai quitté le bureau de Pascal, soulagée par l'arrivée de tante Lucinda. J'étais sur le point de me mettre à pleurer devant lui. Je me suis installée à mon bureau et j'ai essayé de me concentrer sur mon travail. Mais j'étais fatiguée et ma tête débordait d'inquiétudes. La porte s'est ouverte et tante Lucinda s'est arrêtée à côté de moi.« Ma chérie, nous allons voir Alexandre et ensuite nous sortons déjeuner. Tu viens avec nous ? » Tante Lucinda avait un sourire accueillant.J'adorais cette femme et je l'admirais. Toujours si pleine d'énergie et avec des vibrations si positives, tante Lucinda chassait la tristesse partout où elle passait.« Oh, tantine, je ne peux pas venir. J'ai déjà des projets », ai-je répondu.« Si c'est avec Rick, il sera sûrement convoqué pour déjeuner avec ma mère aussi », a répondu Pascal en me souriant. Il me souriait ? Oh, il faisait certainement bonne figure devant tante Lucinda.Je n'avais aucun projet pour le déjeuner. Et je n'

Point de vue de PascalJe ne savais pas si je devais en vouloir à mon ami ou le remercier de cette interruption. Dès que j'ai entendu la voix d'Alexandre, j'ai fermé les yeux et me suis écarté de Lexie. Elle était complètement gênée. Elle s'est levée rapidement en baissant la tête. Elle a dit un « Excusez-moi » maladroit avant de quitté mon bureau en trébuchant sur le fauteuil près du canapé.Alexandre a suivi la scène du regard. Dès qu'elle a fermé la porte, il s'est laissé tomber dans le fauteuil sur lequel Lexie avait trébuché. Il s'est mis à rire comme un fou.« Je le savais ! Je savais qu'un jour j'aurais ma revanche pour toutes les fois où tu m'as interrompu avec Catherine ! »Alexandre riait aux éclats, s'amusant bien trop de mon malheur.« Ce n'est pas ça du tout, mec ! » me suis-je plaint. « Cette situation va me rendre fou. »« Allez, vide ton sac. » Alexandre a fait un geste de la main pour m'encourager à parler.« Alexandre, plus j'essaie d'arranger les choses avec e

Point de vue de LexieLe reste de l'après-midi s'est écoulé dans un flou total. Je n'ai pas vu Pascal ; il est resté enfermé dans son bureau jusqu'à la fin de la journée. Je me suis concentrée sur mon travail, mais je n'arrivais pas à arrêter de penser à ce que Catherine m'avait dit. Pascal est venu me chercher.« Lexie, on y va ? » Emmanuelle est apparue à la porte et m'a appelée.« Vas-y, Emmanuelle, je dois encore rester », ai-je répondu sans quitter l'écran des yeux.« Alors je vais t'attendre. » Emmanuelle est entrée dans la pièce.« Ce n'est pas la peine, tu peux y aller, ça risque de prendre du temps », ai-je répliqué.« Qu'est-ce que tu fais ? »« Je révise un contrat, et c'est un gros. »« Alors garde les clés de la voiture. »« Pas question, Emmanuelle. Je prendrai un taxi. »« Non, Lexie, soit tu gardes la voiture, soit je m'assieds et je t'attends. »« Ce n'est pas la peine, Emmanuelle, je raccompagnerai Lexie. » Pascal est sorti de son bureau à ce moment-là.«

Point de vue de LexieDieu merci, nous étions vendredi et nous devions nous rendre à la ferme familiale de Manu après le travail. M. Guzman serait là aussi, mais au moins, là-bas, je n'aurais pas à lui parler. M. Guzman... J'avais remarqué qu'il s'énervait quand je l'appelais ainsi. C'était ma petite vengeance pour qu'il soit si désagréable avec moi.« Bonjour, ma belle ! Ce sourire te va à ravir. »Rick était entré dans la kitchenette du bureau où je me servais une tasse de café. Il m'a déposé un baiser sur la joue.« Oh, c'est parce qu'on va passer une semaine entière à la ferme, dans le calme et la tranquillité. N'est-ce pas merveilleux ? »Je l'ai regardé avec un sourire encore plus radieux.« Ouais, j'espère vraiment, mais avec toi et Pascal ensemble, on ne sait jamais. »Il avait ri en me taquinant. Je lui avais tiré la langue. Après qu'il a pris son café, nous nous sommes dirigés vers nos bureaux. Nous nous étions séparés au bureau de Manu. Je me suis retournée rapideme