Semua Bab Patron Irrésistible : Prisonnière de Ton Charme: Bab 661 - Bab 670

Point de vue de PascalJ'ai failli l'embrasser encore une fois ! Me retrouver seul avec cette fille était en train de devenir un véritable problème. Et nous allions passer les prochaines heures ensemble, confinés dans l'étroitesse d'une voiture. J'ai ressenti un soulagement lorsque les portes de l'ascenseur se sont ouvertes sur le garage de l'immeuble.J'étais presque certain qu'elle flirtait avec moi. Quand je lui ai demandé si elle ne m'aimait pas, c'était juste une blague. Je m'attendais à une réponse impertinente et effrontée, mais elle s'est laissée troubler de cette façon charmante. Ses joues se sont empourprées et ses yeux se sont écarquillés. Je commençais à avoir du mal à rester distant avec cette fille.Nous avons atteint ma voiture et je lui ai ouvert la portière. Elle a examiné attentivement le véhicule, puis m'a fixé du regard.« Une supercar ? Sérieusement ? » Elle a secoué la tête de désapprobation et est montée dans la voiture.« Ma chérie, ce n'est pas juste une v

Point de vue de PascalJ'ai attendu Lexie dans le salon de l'appartement. Je réfléchissais à quel point elle était facile à vivre, amusante, chaleureuse et amicale avec tout le monde. Déjeuner avec elle dans ma cuisine avait été une chose naturelle et si agréable. Comme si nous l’avions toujours fait. Lexie était comme un rayon de soleil d'été, chaud et accueillant. C'était très dangereux.Quand elle est revenue au salon, j'ai cru que j'allais m'effondrer. Elle portait une jupe rouge parsemée de petites fleurs blanches et un chemisier blanc qui laissait voir une bande de son ventre. Le décolleté mettait en valeur le haut de sa poitrine. La jupe était longue et ample, mais une fente sur la jambe gauche remontait presque jusqu'au haut de sa cuisse. Sa jambe galbée apparaissait entre les volants qui soulignaient la fente. Elle ressemblait à la vision d'une rose printanière, la fleur la plus belle et la plus rare du monde.Je ne pouvais pas laisser son charme me dominer. J'avais besoin

Point de vue de PascalFlavian avait pris les devants. J'ai fait un geste galant en laissant Lexie passer en premier. Un geste qui n'avait rien d'innocent. Je marchais derrière elle. Erreur fatale. Ces jambes parfaites qui dépassaient de son short ne m'aidaient vraiment pas à retrouver mon calme.Nous avons rejoint le bureau. Flavian a refermé la porte derrière nous et nous a fait face.« Qu'est-ce que vous fabriquez tous les deux ? »Flavian nous observait d'un regard peu amène.« Frangin, c'est de sa faute. »Lexie tentait de me faire porter le chapeau. Pourtant, elle m'avait bien provoqué et cette fois, c'était elle qui avait commencé.« Ça suffit, Lexie ! »Flavian a haussé le ton. Elle a fait la moue. Je n'aimais pas qu'il lui parle sur ce ton.« Flavian... »J'allais ouvrir ma grande gueule pour la défendre, mais heureusement Flavian m'a coupé.Putain ! À cet instant, j'ai réalisé à quel point j'étais hypocrite. Je lui criais dessus tout le temps ! Si ma mère apprenait

Point de vue de PascalEn découvrant ce plateau garni uniquement de crevettes panées, mon sang s'est glacé. Elle risquait sa vie sans même s'en rendre compte. Quand elle était contrariée, elle mangeait machinalement, sans prêter attention à ce qu'elle avalait. Déjà, elle commençait à se gratter. Le gonflement commençait à apparaître. L'injection. Il lui fallait l'injection immédiatement.J'ai reposé le plateau et me suis précipité vers elle.« Tu peux marcher ? »Ma voix trahissait ma panique malgré mes efforts pour rester calme. Elle s'est levée tant bien que mal, les jambes flageolantes. Mon bras s'est enroulé autour de sa taille. Je l'ai portée quasiment à travers la maison, tant j'étais pressé.« Ton injection est dans ta chambre ? »Son hochement de tête m'a confirmé ce que je redoutais. Sa respiration se faisait déjà laborieuse. J'ai pressé le pas.Nous avons atteint la chambre. Je l'ai installée sur le lit avant de fouiller frénétiquement la pièce. L'impression de revivr

« Lexie »Après le départ de nos familles, nous avons rejoint les autres qui s'étaient rassemblés dans la cour. Ils discutaient et semblaient prêts à partir. En nous voyant, ils se sont tus et nous observaient un instant, comme s'ils nous scannaient.« Vous deux, vous êtes encore comme ça ? Il faut qu'on y aille ! » Catherine, qui organisait le groupe, a rapidement pris les choses en main. « Lexie, tu vas avec Melissa, elle habite plus près de chez toi... »« Elle vient avec moi, Cat. » Pascal a parlé avant que Catherine puisse finir. Tout le monde s'est tourné vers lui. « Quoi ? Elle est venue avec moi, elle repart avec moi ! » a-t-il répondu.« Oui, on s'entraîne à parler sans se disputer. » Je l'ai regardé avec un demi-sourire et j'ai trouvé ses yeux qui pétillaient en me regardant.« Ah, je vois ! » Melissa nous a fixés comme si elle ne croyait pas un seul mot. « Et où est-ce que vous vous entraîniez ? Parce qu'après le lancer du bouquet, je ne vous ai plus vus ni l'un ni l'au