Semua Bab Le Roi Lycan et sa Tentation Sombre: Bab 221 - Bab 226

SIGRIDUn gémissement rauque s’est échappé des profondeurs de ma poitrine. Mon corps s’est courbé, les jambes écartées, la tête penchée au-dessus de l’épaule de Silas. Mes orteils se recroquevillaient, s’appuyant contre le fond de la baignoire. Une main agrippait le bord tandis que l’autre se mouvait en rythme, éclaboussant de l’eau à l’extérieur tout en guidant la main de Silas sous l’eau. J’ai enfoncé mes ongles dans son poignet, l’incitant à s’enfoncer en moi exactement là où j’en avais besoin. « Plus vite... Silas, encore... Ah, juste là, oui... » Je gémissais de manière incontrôlable, l’esprit vide, consumée par le désir. « Mmm, chut… », l’ai-je entendu grogner, suçant et embrassant mon cou, prenant et caressant sensuellement mes seins avec sa main libre, jouant avec mes mamelons. Il était presque sur mon dos, tel un animal sauvage en cage, se retenant de me dévorer entièrement. Chaque fois que ce faux pénis glacé me pénétrait, il atteignait directement cet endroit

SIGRID J’ai levé les yeux vers le miroir et j’ai surpris son regard sur mon cou, mais il a immédiatement feint de ne pas le faire. « Mauvais esclave, je pourrais te punir pour cela ! Au lieu de me caresser, tu aurais dû appliquer le baume ici ! » « Madame, puis-je vous brosser les cheveux ? », a-t-il proposé en se penchant pour prendre la brosse, feignant l’innocence. Personne n’a réagi. ¸J’ai remis en place la manche de ma chemise de nuit et j’ai acquiescé. Mes yeux se sont posés sur le côté de son cou, où la profonde morsure que je lui avais infligée me renvoyait un regard rouge et féroce. La vérité est qu’il n’avait pas mordu aussi profondément que je l’avais fait. Quoi qu’il en soit, nous étions tous deux un peu fous, inutile de le nier. Le brossage était d’une douceur incroyable. Il a patiemment passé la brosse dans chaque mèche, caressant mes cheveux, mon cuir chevelu, ma nuque et mon front. Qui lui a appris à le faire si bien ? Pendant un insta

SILASLorsque tout le monde s’est assoupi, j’ai commencé à percevoir des gémissements sourds dans l’obscurité. Je me suis approché de la porte de sa chambre, située dans les quartiers de service. Je déplorais que ma maîtresse ne l’ait pas envoyée à la caserne. Pourquoi lui accorder un traitement particulier ? À présent, je comprenais pourquoi. Elle était astucieuse et avait ses propres desseins. « Mmm, madame est si belle... » « J’aime ma dame... mmm, madame, je désire vous toucher... », murmuraient des voix féminines indécentes. J’ai serré les dents et frappé le mur, faisant tomber un fragment des vieilles briques. Je devais me maîtriser. Il m’était impensable d’alerter les autres serviteurs ou de céder à cette impulsion meurtrière. Cette femme gémissait comme si elle était au lit avec ma maîtresse. Cela devait être l’effet d’un sortilège. Elle pensait probablement lui faire plaisir dans sa chambre. Tout cela était faux, mais rien que l’idée des scènes qui traversaien