Semua Bab Le Roi Lycan et sa Tentation Sombre: Bab 201 - Bab 210

SILAS« Je ne peux pas mourir, je ne peux pas mourir, je ne peux pas... mourir ! JE NE PEUX PAS MOURIR ! » J’ai crié avec une intensité frénétique, emporté par une colère qui pulsait dans mes veines, rugissant à l’intérieur de cette prison, tel un condamné à mort. À travers cet œil déformé, je pouvais observer tout ce qui se déroulait à l’extérieur de ce qu’ils désignaient comme un « arbre ». Les arbres sont censés donner la vie, mais celui-ci n’était qu’une autre abomination engendrée par ces êtres damnés: une mort lente et douloureuse, comme si nos vies d’esclavage ne constituaient pas déjà un enfer suffisant.« Je suis désolée, mon chéri. », ai-je entendu une voix douce alors que j’avais déjà perdu tout espoir.J’ai ouvert mon œil maudit et je l’ai aperçue, une femme d’une beauté saisissante tenant un bébé, son regard empreint de faiblesse et de compassion, ses doux murmures, son pouvoir de guérison pénétrant profondément dans mon âme meurtrie. C’était une sorcière. Je l’

SIGRIDAlors que je boutonnais mon pantalon, Silas est revenu, et j’ai ressenti de la gratitude pour l’espace qu’il m’avait accordé. « Tout se passe bien là-bas ? Aucun problème ? », lui ai-je demandé en prenant place à la table. « Non, madame. La plupart des clients sont déjà partis ou dorment encore. », a-t-il répondu, s’apprêtant à vider l’eau de la baignoire. « Laisse cela à l’aubergiste. Viens manger. J’avais prévu de rester plus longtemps, mais je ne peux pas. Nous devons rentrer aujourd’hui. », ai-je déclaré, sans m’étendre sur les raisons. J’étais frustrée. J’avais dépensé de l’argent pour quelque chose qui ne m’intéressait pas et je ne pouvais même pas rendre visite à mon grand-oncle. Cependant, je ne pouvais pas rester dans cette situation inhabituelle, emprisonnée dans le corps d’Electra. « Qu’attends-tu ? » Alors que je tartinais de la gelée sur une tranche de pain, je me suis retournée et l’ai vu debout à mes côtés. « J’attends que tu aies fini pour pouvoir

SIGRID« Oui, mais... Il n’était pas nécessaire de se dévêtir complètement. », ai-je tenté de retrouver la confiance qui m’échappait. « J’ai des blessures sur tout le corps, madame. », t-il répondu, d’un calme imperturbable. J’ai levé les yeux pour croiser son regard. Comme à chaque fois, cet œil doré ne cessait d’observer chacun de mes mouvements. Certains pourraient trouver cela troublant. Pour ma part, cela évoquait davantage l’image d’un chiot abandonné. « D’accord, mais si tu te sens mal à l’aise, tu peux couvrir tes... parties. », ai-je dit en m’approchant de lui, les yeux rivés sur sa poitrine, son corps meurtri. J’ai commencé à me concentrer sur les cicatrices de fouet et les marques étranges gravées sur sa peau, probablement causées par des instruments de torture. J’ai soupiré, me tenant devant Silas. Comment pouvais-je même envisager de le regarder avec convoitise, en imaginant tout ce qu’il avait enduré ? Cette Electra était indigne. « D’accord, reste là.

SILASMes doigts se sont enfoncés dans le pli humide du tissu doux de sa culotte.J’ai caressé sa vulve de haut en bas, en appuyant plus fermement sur cette zone sensible qui aurait dû la rendre folle.Elle était trempée et dans le besoin.« Chut, ah… » Elle a cambré le dos, perdue dans son désir, ses poings serrant les draps, tandis que tout mon corps était pratiquement sur le sien, sur le lit.J’ai écarté le tissu et me suis plongé dans le péché entre ses jambes.Doux et humide, glissant, tremblant, délicieux...J’ai exploré son intimité. Mes baisers glissaient le long de son cou, où ses gémissements résonnaient contre mes lèvres.J’ai frotté son clitoris, l’ai légèrement étiré et ai passé mon doigt dessus, le déplaçant de haut en bas. Il s’est durci et a palpité sous mon toucher vigoureux.« Encore... » J’ai senti sa main s’agripper à mes cheveux et j’ai fermé les yeux, savourant son contact.Je souhaitais qu’elle me touche également, qu’elle ressente le désir pour moi, qu

SIGRID« Electra ! » J’ai entendu le cri irritant de Drusilla derrière moi au moment où je pénétrais dans le domaine de la sorcière suprême. D’un regard agacé, je me suis retournée pour lui faire face. Elle était vêtue d’une élégante robe bordeaux, ses cheveux tirés en arrière en une longue tresse descendant dans son dos. « Je pensais être en retard et que Morgane me réprimanderait, mais si son favori traîne toujours, alors je suis sauvée. », a-t-elle murmuré, tandis qu’un homme derrière elle essuyait son front avec un mouchoir blanc brodé. Cet élémental, d’une beauté juvénile, était visiblement trop jeune, et même sous son costume soigné, je pouvais apercevoir des ecchymoses sur ses poignets lorsqu’il levait la main pour essuyer sa sueur. Elle ne pouvait même pas se débarrasser de sa propre sueur désagréable. « Cela suffit. Éloigne-toi de moi, je souhaite parler à ma sœur. », a-t-elle dit sèchement, le repoussant sur le côté avant de s’avancer vers moi, tentant de m’attra