Semua Bab Le Roi Lycan et sa Tentation Sombre: Bab 351 - Bab 360

NARRATEURKatherine a repris rapidement ses esprits, s’essuyant le visage avec un mouchoir. Heureusement, elle ne s’était pas effondrée en larmes comme Magdalena.Elle a tenté de s’éclipser, mais finalement, des invités l’ont saisie et l’ont ramenée dans la salle pour l’un des principaux jeux de la soirée.***Elliot avait mis les choses au clair avec Brenda, la remettant à sa place.Quelle absurdité que cette histoire d’amour et de sentiments !Il n’était pas un imbécile. Elliot savait pertinemment que ce qui motivait réellement cette femme était son intérêt pour sa richesse et son titre.Avec dégoût, il a essuyé les traces de rouge à lèvres de sa bouche, ainsi que l’odeur désagréable qui persistait dans son nez.Il ne souhaitait pas que Katherine soupçonne quoi que ce soit, ou pire, qu’elle interprète mal la situation.Il a envisagé de placer davantage d’espions autour de Brenda, juste au cas où. Il ne lui faisait pas confiance le moins du monde.« Madame Hildaly, je vous a

ELLIOTJ’ai suivi la trace de Katherine, une peur sourde s’installant en moi lorsque j’ai réalisé qu’elle s’enfonçait davantage dans la forêt. Mille scénarios se bousculaient dans mon esprit. Quelqu’un l’avait-il capturée ? L’avait-on emmenée de force ? Pourtant, aucune autre odeur ne se faisait sentir. Malgré cela, je n’arrivais pas à me convaincre. Mon anxiété grandissante m’a poussé à envisager tous les scénarios possibles, sauf celui que j’ai finalement découvert.Protégé par l’obscurité, j’ai atteint les abords de la fête des roturiers. Une musique entraînante emplissait l’air, en totale opposition avec les mélodies raffinées qui résonnaient dans la salle de bal. Des voix et des rires inondaient la nuit, mais parmi eux, j’ai perçu une tonalité trop douce à mes oreilles. Son parfum, cette lavande empreinte de joie, m’a enveloppé. Je l’ai cherchée parmi le cercle des danseurs, puis je l’ai aperçue.Elle se déplaçait tout en tenant sa jupe, la soulevant à une hauteur i

ELLIOTAu cours des dernières minutes, j’avais véritablement compris ce que signifie « manger de la boue ». En ce moment, j’étais un mangeur de boue. Il n’y avait pas d’autre façon de me décrire, me débattant avec un cochon au milieu de cette saleté. « Reste tranquille, merde ! » Je me suis jeté sur son dos, mais mes mains glissaient sans cesse, la boue éclaboussant tout autour de nous, tandis que son corps dodu se tordait sous ma prise. Je ne pouvais qu’imaginer le spectacle que je devais offrir. J’ai enroulé mes jambes autour de ses flancs, tentant d’attraper ses oreilles pour tirer sa tête en arrière. Le cochon a commencé à couiner, et je me suis retrouvé à rebondir sur lui, agrippant ses oreilles, le chevauchant autour du corral tel un cow-boy de rodéo. Qu’est-ce qu’ils avaient bien pu nourrir ces animaux pour les rendre si puissants ?! Le bruit était assourdissant, des rires résonnaient de toutes parts, et je m’accrochais au cou épais du cochon, essayant de le maîtriser

KATHERINESon halètement et son grognement résonnaient contre mon cou, tandis que nos cheveux mouillés collaient à notre peau.J’ai envie d’être en colère. Souviens-toi du mal, Katherine. Souviens-toi.« Mmm… », ai-je gémi lorsqu’il a sucé mon cou avec désir, ses canines acérées raclant délicieusement près de mon pouls frénétique.Une de ses mains s’est approchée pour saisir et explorer ma poitrine, tentant de se glisser à l’intérieur de mon décolleté.L’autre a glissé vers le bas pour soulever les plis de ma robe.Je ne pouvais plus me contenir.De ma propre volonté, j’ai commencé à caresser son sexe en érection, gémissant alors qu’il me touchait.Mes ongles s’enfonçaient dans les muscles tendus de son dos, tandis qu’il se balançait sensuellement contre moi, en quête de plaisir.« Attends, putain ! Combien de couches ? », a-t-il grommelé avec impatience en tirant ma robe vers le haut.Je n’arrivais pas à croire que nous allions faire cela ici, dans cette petite pièce sombre

BRENDAJe pouvais l’entendre avaler, le bruit obscène de sa salive se mêlant à son jus, même le bruit de l’eau courante ne parvenait pas à le dissimuler.Il a laissé tomber une main et a commencé à se caresser. Il me tournait le dos, mais tout ce qu’il faisait était douloureusement évident.Il ne faisait pas semblant. Son désir pour cette femme émanait de chaque pore de son corps. C’était comme si je n’étais pas présent, comme si je n’existais pas.Des larmes me piquaient aux coins des yeux. Je ne m’étais jamais sentie aussi rejetée. Il était clair qu’il l’avait choisie plutôt que moi.Un être élémentaire faible qui ne pourrait jamais lui offrir ce que je pouvais, quelqu’un de son genre, capable de garder son secret et de satisfaire son côté bestial. Je n’en pouvais plus et je me suis enfuie dans la forêt.La déception et la jalousie rongeaient mon âme. Je l’emmerde ! Voyons ce qu’il fera lorsque Thesio viendra contrecarrer ses plans.Je ne l’ai pas prévenu. Il a fait son choi